Quartus 1670 : Sant'Andrea, nouveau départ

Jaime

Spoiler:

Benzidi

Spoiler:

Noté pour les deux. En espérant que tu as lu les différents addenda ci-dessus.

Pour la bague, à voir selon réponse, donc...

Sinon Jaime est probablement à sec, pour de vrai...

Lacenaire a écrit:

Pour la bague, à voir selon réponse, donc...

Je parlais :
- des épées de damoclès
- de l'utilisation des vertus et travers.

Vu.

Révision des plans de Jaime, donc (âmes sensibles, euh... bon, assez de warnings)

Spoiler:

Voilà :

Spoiler:

De toute façon ça ne change pas la partie de vendredi soir (mini partie) ni le fait que ce serait bien que tu écrives même brièvement ces missives.

Demain en livraison express !

La guillotine aurait dû arriver... Il y plusieurs jours maintenant. Mais voilà, pas une trace, ni messager - rien. Dandolo, furieux, songe déjà à rétrograder cet imbécile de Leni - à quoi bon être dévoué si on ne sert à rien ? -, mais avant toute chose il va envoyer des hommes au devant du convoi. Des gardes de la ville, au moins, là il est sûr d'éviter les problèmes. Des soldats bien sages qui obéissent sans poser de question. Pour être sûr de les motiver, rien de tel qu'une petite mise au point. Le capitaine Octavio Loretti, futur ex-capitaine ex-tout d’ailleurs va servir d'exemple, lui qui a osé discuter s ses ordres, plaider pour..;quoi, déjà ? Ah, oui, ce pauvre petit voleur qui avait besoin de manger (il avait qu'à travailler!)... on, le voleur est récidiviste, il sera pendu aujourd'hui, et Loretti renvoyé, c'est décidé. Et ses hommes, sous l'égide de... voyons... Pozzi, c'est ça... Loretti et Pozzi ne s'apprécient guère, ça enfoncera le clou un peu plus... partiront au-devant de la guillotine.
Une crampe douloureuse ponctue la fin de sa réflexion. Ca fait des jours que ça dure. Il a renvoyé ses deux cuisiniers, depuis, et fait appel aux services de Trestefort, si la Montaginoise veut protéger son petit cuisinier, elle n'a pas le choix. N'empêche. Leur cuisine est bonne, mais ne soulage en rien ses maux d'estomac.

je crois qu'on a trouvé notre mort

Si on "tue" l'ex capitaine et qu'on le récupère à notre cause en lachant la rumeurs que le juge a fait le ménage on pourra renforcer son image de salop. Ca lui fera plaisir, mais le capitaine a forcément de supporter... donc des gens en plus qui pourront prendre le bon parti moment venu ... ? non ?

fablyrr a écrit:

je crois qu'on a trouvé notre mort

Il faut déjà que vous soyez au courant!!!!

ah bah oui tiens...

Oups. A chaque action, hein...

Bientôt, j'en connais une qui n'aura plus de castillan à protéger

Lacenaire a écrit:

Oups. A chaque action, hein...

Bientôt, j'en connais une qui n'aura plus de castillan à protéger

Pourquoi, tu as décidé de devenir le meilleur ami du juge et de ses alliés ?

oh, d'une certaine façon (jusqu'au retour de flamme forcément Catsillan ! )

6 julius 1670

Encore une journée riche en émotions. Nous avons quitté le port très tôt ce matin avec Luchina et des personnes de Montsange, le précepteur, et Valeria et Gallad pour rejoindre Serine. Dans mes quartiers il y a aussi deux invités. Ce que certains nommeront en leur temps enlèvement j’appellerai cela libération. Des personnes mal traitées et enfermées désireuses de quitter un homme plein de vilénie. Comme nommer cela autrement. Certes il faudra pour faire bonne mesure en politique que ces dames donnent quelques secret afin de trouver logis et réconfort sur des terres à l'abri. Mais voilà, elles sont libre. Une petite satisfaction dans cette journée qui a encore vu cet accord entre mépris et Destin se jouer de moi. Il y a des accords que la Destinée devrait refuser.
Une fois sur place nous avons eu un petit encas familiale ou mon père à transformer ses remords en grand intérêt pour Luchina. Qui n'en demandait peut-être pas tant, elle qui est dans les tourments de sa tristesse amoureuse. Ensuite pour la soirée pré nuptiale nous avons rejoint la foule d'invités ou les grands de Vodacce paradaient tous à leur façon. Savino, le faux prince de Mondavi avait trouvé bon d'amener une femme attachée,, les petits jeux de cour commençaient. La dame Ambrogia m'a fait l'insigne honneur de sa présence et aussi de venir me saluer. J'en suis vraiment très heureux et j'en serais peut-être plus ému si je n'avait pas une Rebecca prisonnière que je ne peux aborder que du regard, de loin et si Luchina, voulant respirer un peu à l'extérieur ne s'était pas faite agressée par un Duc Vestini infâme. Le chanceux est parti avant mon arrivée. je n'ai pu que rapatrier Valeria pour sauver Alberto à l'article de la mort, amener des domestique pour le transporter et voir ma fille triste, violentée ne pouvant qu'observer un spectacle... Je suis spectateur retardataire de drames que je ne peux empêcher. Les balcons de ce théâtre qu'est la vie de mes proches me sont fermés et dès que j'arrive à enfoncer une porte c'est pour voir que j'arrive trop tard.
Alberto est sorti d'affaires. Mes amis, proches en ces moment difficiles ne me proposent que poison et assassinat. La tentation est trop forte, mais pourquoi me faire de telles soumissions à moi, qui essaie tant bien que mal de ne pas tomber dans ce cycle dément du sang... L'agresseur de Luchina a en plus été défié en duel par son précepteur. Gentil au demeurant et dévoué. Je ne peux lui souffler ce duel mais j'enrage intérieurement d'un nouveau pas de la Destinée qui me vole ce que j'aurai du ou pu faire pour ma fille. Autant d'actes volés que je ne peux accomplir pour aider Rebecca. Cette dernière mise en parallèle de cette fille à qui ces streghe ont détruit la vie pour en faire une Waise... Sœur d'Elio aussi. J'en aurait presque de la compassion pour cet homme. Presque car malgré ses actions et but, il a tout de même fait énormément de mal. Ou m'a fait énormément de mal.
J'ai l'impression que ce livre blanc ne cesse de se remplir de mes lamentations, alors au lieu de m'apitoyer sur mon sort, ce soir, je vais rester là, dans la pièce juste à coté de Luchina. Ou elle pourra dormir calmement et ou je pourrais avoir un œil sur elle, au moins le temps de son sommeil. Pendant ce temps je vais me fendre de plusieurs courriers pour lancer une véritable offensive. Car si ce prince Mondavi est entouré de maitres d'armes anciennes lames qui agissent en meute, que ses Streghe lui sont dévouées au point de ruiner la vie d'une personne, et que les Princes échangent des pensées et des paroles pour temporiser une action de seule peur de briser l'équilibre ou leur place dans l'échiquier politique de la Vodacce, je pense pouvoir agir. Déborder sur tous les flancs ce guano qui devrait enrichir le sol des rizière de la Mondavi plutôt que de lui faire l'affront de prétendre la diriger.



***
les courriers :

A l'attention du Prince Donello della Falisci

Cher Prince,
j'espère que ce courrier vous trouvera en bonne santé. Je sollicite par la présente toute l'attention que vous pourrez m'accorder afin de vous demander la faveur d'un entretien, et peut-être plus. J'aurai souhaité si vous le pouvez, que vous m'accordiez une entrevue, de bon matin avant la messe nuptiale de mon Prince. Je me doute que vous devez rester parangon d'une neutralité qui tient lieu d'équilibre pour notre nation comme les autre Prince, quintessence de leur fonction, vous ne pouvez agir sans briser la balance des principautés. Cependant, j'aimerai vous soumettre le fait que je ne tiens pas à renoncer à mes fiançailles avec l'une des membres de votre principauté que vous connaissez peut-être. Elle se nomme Rebecca della la Rosa, fille du Maître de votre Tour, seule femme de cette institution séculaire et très douées en ce domaine. Dévouée à votre principauté et son statut elle à dû accepter un déplacement sur l'île de l'actuel Prince Mondavi. Ce dernier, que je ne porte pas dans mon estime, est en train de l'utiliser, l'exploiter et à termes pourra peut-être en faire une femme qu'il arbore en société au bout d'une corde. Cette femme, outre être ma fiancée, est une perle de votre principauté elle est naturellement douée dans ce qui est l'autre fleuron de culture de votre domaine et plus que tout, au de-là de l'importance politique que tout personne pourrait lui trouver, je l'aime profondément. Dans le labyrinthe politique actuel et vos propres secrets, vous avez peut-être l'obligation de la laisser en place, et je pense qu'elle est plus que douée dans tout type de conseil qu'elle peut accorder à ce Prince, mais je pense qu'elle serait plus à même de sortir de ce giron néfaste. Néanmoins, vous voilà seul maître de sa destiné et décideur de son avenir, car vous êtes son Prince et je ne puis me permettre d'interférer dans vos choix. Je vous demande simplement cher Prince, sur ce tableau d'échiquier qu'est le Grand Jeu de ne pas sacrifier cette Tour, et si vous y consentez, de tout faire pour ne pas détruire mes fiançailles avec elle ou encore, si votre neutralité pour notre nation l'impose, de me donner quelques semaines ou mois afin que je trouve les armes nécessaires pour agir. Ne pouvant être certains d'obtenir un entretien avec votre Princière personne je me devais d'en exposer ma pensée. Si vous m'accorder cet entretien, je serait heureux d'avoir la grâce de votre pensée sur le sujet ou d'étayer mon propos.

Veuillez recevoir, Prince Falisci , par la présente mes plus respectueuses salutations.

Marcheso Siro Alesio Sandrino della Vestini
Ambassadeur à Sant Andrea
Billet du Prince Vestini

**

A l'attention de Madame Jamais Sicée de Sicée,

Madame la Duchesse, j'espère que ce pli trouvera intérêt à vos yeux et qu'il vous trouvera en bonne santé et dans un esprit aussi festif que les fiançailles de mon Prince vous invite à être. Loin de Casigula je viens demander votre aide pour une cause qui est la mienne. Vous le savez peut-être, le Duc Cédric Deneuve de Surly et moi-même sommes alliés en la ville de Sant Andrea ou est ma nouvelle ambassade. Nous œuvrons en commun pour le bien de belles choses comme la culture et le bel esprit. je sais que vous n'y êtes pas insensible comme à bien d'autres sujets qui font de vous une personne à l'esprit pur propre à sa réputation. La communauté montaginoise à subit depuis plusieurs mois des pertes qui ne seront jamais réparées. La dame Lamiel, maître de l'école de Valroux est morte assassinée et le Comte de Soissac à été victime d'un mortel accident que Madame de Montsange pourrait vous détailler si vous porter attention à ma requête. Madame, par la présente je vous demande votre aide, non pas au nom de la communauté de votre nation en ville, mais en mon nom. Je suis maître de l'école de la Pointe au cœur et depuis peu apprenti de l'école de Montsange à travers cela et nos précédente rencontre vous savez que mon intérêt pour les montaginois n'es t pas fin. Vous savez aussi que mes armes, quelles que soit leur nationalité ne suffisent à l'heure actuel, pas. Je suis un homme de cœur, et j'espère de vertu et d'honneur. En tous cas assez pour vous demander d'user de votre influence en Falisci pour permettre à mes fiançailles de vivre... d'exister. Cette alliance qui n'est pas que politique, sont aujourd'hui en péril à cause de l'actuel Prince Mondavi. Le Prince qui vous offre l'hospitalité est d'une neutralité qu'on ne peu lui reprocher, mais vous n'êtes, si je ne fais pas erreur, pas sujette aux même contraintes. Je vous demande aussi de l'aide dans la situation qui est la notre et que pourra vous expliquer le Duc Deneuve de Surly plus discrètement ou moi-même si vous avez quelques minutes de votre temps à m'accorder à Serine.
Si par la plus infime manière vous me soutenez assurez vous que je ferait tout le nécessaire pour vous rendre la pareille le moment venu ou encore des personnes de vos gens.

Veuillez recevoir, Madame Sicée de Sicée , par la présente mes plus respectueuses salutations.

Marcheso Siro Alesio Sandrino della Vestini
Ambassadeur à Sant Andrea
Billet du Prince Vestini

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A l'attention de Dame Lucani, mère des terres du même nom.

Madame j'espère que la personne qui vous lira ce pli pourra avoir le bonheur de vous trouver en bonne santé vous et vos filles. Vous savez surement que je suis à ce jour l'ambassadeur attitré pour mon Prince à Sant Andrea. Je vous écrit cette nuit pour vous aveouer un crime sans nom de mon fait. J'ai il y a peu orchestré la veille du départ pour les noces de mon Prince le saccage des manufacture qui ne portaient plus que le nom de votre principauté. L'homme qui en a la charge a peut-être une poigne de fer pour la diriger, mais il m'a semblé usurpé bien que le nom de cet individu pour inciter à penser le contraire, qu'il dirige cette édifice de richesses. J'ai donc fait en sorte que ces manufactures ne soient plus utilisables pendant quelques semaines, peut-être mois. Soyez assurée que le moment venu je ferai tout en sorte pour faire en sorte qu'elle brille au mieux en souvenir de votre défunt mari. Les individus qui dirigent Sant Andrea aujourd'hui sont d’infâmes personnages qui ruinent la culture, la mémoire et l'esprit de la ville. Sans compter le poids écrasant qu'ils appliquent aux résidentes. Je pense Madame qu'au de-là de ma réputation vous pouvez vérifier mon engagement pour votre principauté et ses valeurs. Mais comme je suis un goujat, après vous avoir révéler mon crime, je me permet de vous demander de l'aide. Pus qu'a tout autre instant j'ai besoin de votre soutien en bien des manières. Ma fiancée est pour le moment l'otage d'un Prince dont il est impossible faire l'éloge, même pas de son style ou d'un de ses cheveux. C'est une femme dont les qualités ne pourraient être listée ici par manque de papier. Elle est aussi une des personnes qui compte le plus à mes yeux et dans mon cœur. Elle n'est point de votre sang, et je sais que dans toutes vos qualité, le sang Lucani fait de vous une des plus puissantes Stregha de Vodacce. Je ne vous demanderai pas d'agir directement contre ce Prince car cela pourrait vous mettre en danger vous ou vos filles, cependant si d'une quelconque manière vous pouvez aider Rebecca della Rosa, je vous en serais plus que gré. A cette heure mon Prince, et mon statut m'empêche d'agir directement mais sachez que mon cœur et mes convictions les plus nobles sont en guerre contre ce Prince. Au risuqe que vous trouviez cela désobligeant, je me permet de vous demander une autre forme d'aide. Vous et votre défunt époux, n'avez pu faire ce que vous avez construit sans préserver des alliés de qualités qui croient dans les valeurs fondamentales Lucani, et non pas dans ce spectacle désobligeant singeant bien mal la culture de Sant Andrea. S'il vous reste quelques alliés en ville, je vous prie de bien vouloir leur faire part de mon engagement pour sauver cette ville. Qu'ils viennent me trouver qu'isl soient dans le besoin ou alors qu'ils veuillent aider.

Veuillez recevoir, Dame Lucani , par la présente mes plus respectueuses salutations.

Marcheso Siro Alesio Sandrino della Vestini
Ambassadeur à Sant Andrea
Billet du Prince Vestini


A l'attention du Prince Gespucci Bernouilli,

Monsieur le Prince,
Je me permets de profiter de ce moment de liesses et d'alliance entre nos deux pieuses principauté afin de vous adresser un courrier discret. Mon Prince n'est en effet pas au fait de ce courrier et ne le sera pas avant la fin des festivité. Je me dois tout d'abord vous adresser mes sincères félicitations pour vos héritiers qui sans aucun doute seront l’écho de toutes les bonnes choses que vous avez faites pour votre principauté le moment venu. J'en suis fort heureux et je remercie ce jour Theus en cela. Vous ne me connaissez probablement pas, mais je suis l'ambassadeur de mon Prince en la cité de Sant Andrea actuellement dirigée par des pions de l'actuel Prince Mondavi. Malgré le voile fallacieux de traditions mis en place depuis peu, les gens souffrent et je ne reconnais nullement là ce que Theus pourrait nommer traditions. Étant un fervent enfant de Santa Philippa et santa Maria, j'espère que mes paroles trouveront votre noble attention. Ce n'est donc pas en tant que Marcheso ou billet de mon Prince mais en tant que pieux et j'espère vertueux individu. Je sollicite votre aide. j'imagine que les complication princières vous obligent peut-être à retenir vos actions en l'instant, mais je ne sollicite de votre part qu'un acte presque neutre de votre part. Cette cité ne compote en effet pas d'ambassade Bernouilli. S'il y en v ait une je pense qu'on pourrait vous faire rapport de ce théâtre de traditions local. Je ne sais pas comien de temps les gens de cette ville supporteront les méfaits et les crimes de son gouverneur faussement traditionaliste, de son juge tortionnaire ou du maitre de sa guilde marchande qui tue ses enfants à la naissance car ce ne sont pas des garçons. Si ce n'est pour ma modeste personne ou votre intérêt politique en l'affaire, veuillez noté Monsieur le Prince que le Cardinal della Spada Lucani est aussi sur place et que sa garde est un peu trop mince à mon gout, si vous pouviez user d'oreilles numaines afin de lui offrir une protection supplémentaire j'imagine que cela serait déjà beaucoup.

En vous remerciant du temps prix pour ce plis, veuillez recevoir, Cher Prince Bernouilli , par la présente mes plus respectueuses salutations.

Marcheso Siro Alesio Sandrino della Vestini
Ambassadeur à Sant Andrea
Billet du Prince Vestini


A l'attention de Camilla Verde della Falisci,

Mademoiselle,

C'est de manière plus protocolaire que je me permet de vous écrire ce billet, qui j'espère vous trouvera avec le sourire du à votre très prochain mariage accroché à vos lèvres. Nous avons partagé en notre temps des valeurs qui nous sommes propres. A l'heure actuelle, je suis ambassadeur dans uns une ville qui ne peut compter sur les même engagement de ma personne. Les dirigeants sont vils en sanguinaires. Je ne dis point cela pour ternir la joie qui doit être votre en ce jour ou je me dois vous féliciter. Non mademoiselle, je fais ce que je n'aurai jamais cru devoir faire un jour car ce n'est pas très courtois. Je demande votre aide. Mademoiselle, ce n'est pas seulement la ville de Sant Andrea qui a perdu ses valeurs, mais c'est le Prince Mondavi qui en ce jour tente de briser un pan de mon existence en tentant de rompre mes fiançailles avec la fille du Maître de la Tour afin de s’approprie comme un objet de caprice, Rebecca. Vous savez forcément que ce mariage futur pour moi n'est pas pour des raisons politique. Par ce pli je vous demande de faire en sorte que votre fiancé ou votre père qui ont les influences nécessaire soutiennent mes fiançailles. je ne sais si je pourrai un jour vous rendre ce que je vous demande, mais je le fais en étant sûr de nos valeurs communes, en leur mémoire et avec toute mon amitié.

Veuillez recevoir, Camilla , par la présente mes plus respectueuses salutations et toute mon amitié.

Marcheso Siro Alesio Sandrino della Vestini
Ambassadeur à Sant Andrea
Billet du Prince Vestini

fablyrr a écrit:

16 sextus 1670

6 julius, plutôt!!

Sinon, merci pour ces longues lettres. J'y réponds en privé très vite.

ok
aller une tite dernière pour la forme histoire de ne pas oublier.

Cher Père,
je sais que ce n'est pas un bon jour pour ce genre de courrier c'est pour quoi vous ne le recevez qu'après ces belles festivités. Je l'écris à cette date car avec ces temps troubles, nous ne pouvons savoir de quoi sera fait le futur. Ce soir, alors que les jeux politiques de la première réception s'échauffait tout doucement ma chère Luchina a été victime d'une agression ayant pour but de la tuer et de nuire à son honneur. Grâce à son garde du corps et à Theus elle va bien. Son agresseur est le frère de notre ambassadeur à Patlow. Je vus écris ce plis car à la fin des festivité, le précepteur qui est arrivé juste a temps à défié en duel, sous les yeux du général Duranio, le mécréant. je ne peux lui souffler ce duel bien que père, cela porterait à l'atteinte de ce docteur qui ne pensait que bien faire. Cependant le futur n'est pas écris. Je sais que l'agresseur appartiens à la famille proche de notre Prince, mais ce qu'il a fait dépasse les principe même d'honneur ou même de mon égo de père. Je vous informe par la présente que s'il n'est pas mort j'irai chercher sa vie devant Theus, par vendetta et pour l’empêcher de nuire de nouveau de la sorte.
J'espère que vous comprendrez mon geste, et que je ne vous porterai pas top de tort, mais comme vous le noterez, je ne demande aucune autorisation je vous en informe simplement parce que vus êtes mon père et dirigeant des ambassades de notre principauté.
Avec toute mon affection.

Siro Alesio Sandrino della vestini.
Billet du Prince Vestini.

je pense que ton père répondra à cette lettre en venant te voir en personne.

Côté Jaime !

J'avais oublié de te faire parvenir un topo sur les suites à donner de l'enquête que mènent Jaime et le Sergent, et je me doute que cela t'intéresse.

Alors, voici:

1/ surveiller le tonnelier de façon presque permanente (alterner entre Tulio et Jaime, pourquoi pas le dit Sergent ou des hommes de confiance);
2/ établir un "planning" des meurtres, selon les infos disponibles (dates recensées, dates plausibles selon autopsies) pour établir un "schéma", ainsi qu'une "carte" des endroits où ont été retrouvés les corps et où travaillaient les victimes.
3/ tout mettre en rapport et en tirer de nouvelles (?) conclusions...

Côté Benzidi, un léger plan machiavélique...

Spoiler:

Répondu!

Ou alors... Une idée un peu... Bref

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