Beyons the stars (New Orleans) en cours

Bureau de l'Intégrité ?

Ils vérifient l'étanchéité des mages, et sorciers, par exemple ?

Le bureau de l'intégrité est un équivalent de police des polices. Il a été créé dans un batiment indépendant des services de police suite à plusieurs plaintes pour violence policière.

Ah, dis comme ça, ça plaisante moins, d'un coup (d'un seul).
Donc, si nous synthétisons, ce gentil policier a un service qui lui tient un peu... la Jambe !

Ca fait quand même un peu secte, le nom. Mais je comprends d'un autre côté : la secte des policiers non corrompus de NO qui vérifient les autres...

pour secte tu parle de : service de l'intégrité, du Cercle ou des jambes

Bingo !
Tous des sectaires, je dis

TRANCHE DE VIE

Et vous êtes ? mon pti choux, lança la vieille prostitué de Lafayette.
- Elrod Bell, détective privé. Je cherche à retrouver une voiture de 84, couleur verte lagon qui aurait été stationnée dans le coin pendant plusieurs jours.
- Bah vous êtes loin de l'image de Sam Spade...
- Je fais mon travail m'dame vous savez, c'est pas le gouverneur qui va m'offrir une retraite... Donc cette voiture vous l'avez vu ? Elle était là quand ?

Detective Elrod Bell

...

**********
"hophophop !!!!! On se calme mon joli !"
L'homme recula prudemment et remis son chapeau.
"Non, je n'ai pas triché et c'est pas de ma faute si t'es pas en veine. Donc on se calme OK ?" Le mauvais perdant s'avança vers lui et sorti un couteau à cran d'arrêt. "Nan, ça c'est pas une bonne idée. Tu sais, quand on a été Marines comme moi il y a des tics nerveux. Un couteau ça incite au pétage de bras. Là on ne parle pas de force mais de technique donc si tu te souviens de John Bofette... oui ? tu vois ? Jambes et bras cassés ...? C'était moi et pourtant c'est pas un manche. Donc une dernière fois, sauf si t'as les moyens de te payer l'hosto' on en reste là..."
Le mauvais joueur presque à boire les paroles de Justinien Lafleur hésita et se jeta quand même sur lui....

Justinien Lafleur


*********

Les deux types reculèrent maison en l'air. "whoua t'es malade ???!!! On faisait que parler tu vois ????"
La femme avait sortie son arme à feu quand les deux types sortis du bar avait fait leurs avances salaces. "Bandes de petits connards. Vous voyez un cul et vous vous laissez guider par votre queue. Vous l'avez vu celui-là ? Agamemnon c'ests on pti nom et je ne vous dit même pas le nombre de fois qu'il est plus long que votre queue quand vous m'avez vu. Donc je vous laisse une chance, vous courrez là maintenant ou alors mon pti copain qui fait du 750 coups minutes vous découpe les jambes de métèques avec ses cartouches de .223... Alors toujours joueurs ? "
Les deux types ne répondirent pas et partirent en courant.

Cassandra Terrence

Jambes de métèques ?
Encore une qui est d'extrême-gauche!

exa-cte-ment

TRANCHE DE VIE 2

"Bonjour, Margaret Peppers à l'appareil, du Times Picayune. Oui j'aimerai avoir un rendez-vous avec le Procureur ss'il vous plait.... Ah et il pourrait quand ? Ah.... mais vous êtes sûre... Bon dommage; Merci"
- Tu vois je t'avais dit que ça ne marcherais pas, lança son collègue d'a coté. Faut eller les voir ces gens là....
- Oui John, mais il faut faire cela dans les formes. J'ai appelé, il ne peut pas me recevoir, et maintenant je vais l'intercepter au Palais de Justicce ce midi ... Il sera pris de cours et moi j'espère avoir une partie de mes réponse ou le pousser à me donner une interview... On n'est pas obligé d'être ageressif tu vois.
- ouais vive les ptites fleurs....

Margaret Peppers, Journaliste au Times Picayune


--------------------------

- Lumière tamisée, partie de la salle dans la pénombre, petite musique douce... tu essaye de me draguer ou quoi ?
- Et non, pas ce soir. Mais depuis que je suis le proprio j'éconiomise l'énergie tu vois. J'allumerai le fond de la salle quand j'aurai du monde. Quand à la musique j'essaye de casser l'image de sauvae de l'ancien proprio...J'espère même sous peu avoir quelques billets en plus pour des petits groupes de jazz comme ça se faisait dans le temps; On est dans le Carré ... Faut pas perdre nos racines.
-Tes racines Gary sont irlandaises....
- Non ça c'est l'excuse de l'émaricain moyen qui a envi de se rassurer. ca remonte jusque là mais depuis plusieurs génération ma famille s'est installée en Louisiane... Mes racines sont là, celle de ma famille ailleurs mais ici on vit le moment présent; Je te sert un verre ? Tu as vu pour la construction du stadium ...ça promet d'être bien; Et le maire va aussi soutenir la construction de l'hôpital, tu vois tout arrive ....

Gary Anders, barman au "Color"

Tiens, des gens qui ont l'air cool!

Scénar 1 - Saison 1 : « Tant qu'un homme n'a pas découvert quelque chose pour lequel il serait prêt à mourir, il n'est pas à même de vivre. « [Martin Luther King]

Oh oh...

Histoire de taule froissée (Mars 2011)

J'avais ce foutu bois, pas donné en plus, à l'arrière du pick-up. Pour la véranda, vous comprenez. Une maison sans véranda, c'est un peu comme un dragon sans... Ouais, un dragon, vous avez bien lu... Donc une maison sans véranda c'est comme un dragon sans amis.
Oui, des amis.

Bref, je conduis, c'est un matin sympa, et au carrefour de Garyville, PAF, un type me fonce dessus avec sa berline. BOUM, je perds l'avant du pick-up, la bagnole part en vrille, amas de taule, une autre voiture fracassée. Une femme carrément canon en sort, on se croise sur la route. Une fille sublime avec deux téléphones en même temps.
"J'ai appelé les secours, dit-elle."
"Parfait, il va en avoir besoin, réponds-je".

Sacrément en rogne.

Et là...

Et là bordel, je suis un dragon sous forme humaine, en planque dans une mine de sel où les gens sont carrément martyrisés. Et NOUS attendons le signal. Quel signal ? Va savoir...

Retour à la réalité; le type au volant me regarde et me sort un truc du genre:
"Est-il mort? Mon passager, je l'ai eu?"
Pas de pot, il n'a pas de passager. Quelques goutelettes noires sur son siège, dont j'ai récolté ce que j'ai pu. Puis le journaliste est mort, ce qui ne m'a pas empêché de l'insulter (on a enquêté, j'ai même annoncé le décés à son journal, ils ne savaient pas, glups).

Quant à Ruby... Eh bien c'est un peu comme ma soeur, en noire, et sans le côté profond de l'Iowa. Nous avons partagé une soirée en compagnie de ses amis. Je lui ai avoué mon ancien boulot (la première fois depuis 10 ans, comme ça!).
Ouais, ma soeur.
Comme l'autre, là, le garagiste, Lebleau; sympa. Comme un frangin oublié depuis longtemps. Trop longtemps. A peine rencontré qu'une nouvelle vision nous emporte...

C'est lui, le signal, en piqué, gigantesque, depuis le ciel. Il élève un sacré mur de givre, je reprends ma forme, m'envole sans ailes, majestueux - j'accapare l'attention, que mes compagnons puissent bosser serein... J'approche la noblesse, prêt à les... A les quoi? Les désintégrer ? Bordel...

Après quoi nous nous sommes parlé dans nos têtes...

Besoin de réfléchir...

La suite à venir...

"....the winter coming..."

Joe Lavigne. Mon nouveau "cas désespéré" selon mes associées (tant que je - donc le cabinet - suis payée, elles s'en fichent), un tueur de flic présumé jugé à la va-vite et dans le couloir de la mort à Angola. Même s'il a tiré -il a tout intérêt à me dire la vérité - il y a des chances pour que la peine de mort soit commuée en perpétuité. Les tragédies de Katrina ont permis tout un tas d'abus et de jugements à l'emporte-pièce... en particulier sur les noirs. Je réfléchis à cela quand une espèce de cinglé me fonce dessus, emboutit ma voiture et se crashe dans le décor. Passé les premiers moments de surprise, et une fois l'air-bag dégonflé, je sors de la voiture, passe aussitôt des coups de téléphone : police secours pour l'accident, la prison pour prévenir et l'association pour prévenir également qu'il faut déplacer le rendez-vous de Joe.
En fait d'accident, il y a un homme dans la même situation que moi. Il braille sur le mourant, je m'apprête à lui dire que cela ne sert à rien quand...

Une mine de sel, en forme de croissant. Des esclaves, partout. Moi, je fais partie des gardes, je me suis arrangée pour incarner une vétérane, et être proche des cages. "Nous" attendons le signal ; au menu, délivrer Mina et récupérer...

Retour à la réalité. L'homme, la cinquantaine roots, me fait face,a ussi ahuri que moi. Nous nous connaissons sans jamais nous être vus. A peine commencé-je à développer cette certitude, l'ambulance et la police arrivent. Le type est mort - on nous encourage à faire un tour du côté de l'hôpital. Mission : retourner à la Nouvelle-orléans, envoyer un fax à mon assurance. Le reste suivra rapidement. Finalement, l'inconnu - Lionel McArthur dit Lion - me propose de partager un taxi. Sur le chemin, nous bavardons un peu, il me donne la substance noire indéterminée récupérée sur le siège du passager ("Lucifer Vernon ou je ne sais qui") fantôme, je vais les faire analyser. Le soir, nous nous retrouvons au Chat noir, mon QG quand j'ai vraiment besoin de me changer les idées. Veronica répère le rôle de Cléopâtre version "music hall", en l'attendant Lion et moi devisons - il me parle de son passé de mercenaire, de ses guerres, batailles, missions d'assassinat - et de la peinture sur soie. Je lui parle, un peu, d'harvard et de mes chagrins d'amour, mais penser à Tania me fiche le cafard. J'entame avec conviction un troisième pink lady quand Veronica vient nous rejoindre.

La suite, bientôt

Je n'ai pas rêvé de Tania.
Et je n'ai pas regardé la photo que j'adore :

Le lendemain, après avoir retrouvé Lion devant le garage paumé au milieu de nulle part près du bayou, rencontre avec Lane, le garagiste... Nouveau "rêve" éveillé.

Le signal, c'est l'énorme dragon blanc qui tombe du ciel en piqué, crée une énorme barrière de glace au milieu du désert. Aussitôt, je crée des ombres, mets hors de combat mes "collègues" gardes, libère les prisonniers - dont Mina et envoie des échardes de ténèbres sur nos ennemis. Aussitôt, Mina retrouve sa vraie forme de... dragon... et commence à grimper hors de la mine. parmi gardiens et autres esclaves, c'est la panique : il ne me reste plus qu'à grimper, après on pourra Le récupérer. Me voilà donc... humide, écailleuse et fleurant bon le marécage et l'argile, dragonne des marais en majesté...

Lane, Lion et moi nous sommes donc retrouvés comme des imbéciles à se frotter les yeux. Et à se parler sans utiliser la voix... Se parler dans nos têtes, oui:! Rien que ça. Un peu déboussolée, mais bizarrement amusée et en accord avec ce qui s'était produit, j'ai proposé un pique-nique dimanche et suis partie travailler. Au programme, un procès dans lequel je défends une fille, Consuela Fernandez, qui a porté plainte contre son patron, riche propriétaire, pour viol. Mon adversaire s'est bien défendue, mais j'ai mis le violeur KO. Il a avoué - et je me demande si ma volonté n'a pas, un moment, pris le pas sur al sienne. Dragon un jour, dragon toujours ?
Le soir, deux bonnes bouteilles de champagne avec Abel - qui a trouvé une cabane au fond du bayou!!! Quant à cette histoire de Vernon... Les analyses n'ont rien donné, la secte était des fanatiques persuadés que Lucifer allait venir (?) et a priori, le FBI travaillait dessus puisque mes analyses ont disparu.
Ce n'est pas le tout, mais j'ai un procès à gagner, moi...

oui "Mina" s'est un peu fait maltraitée... mais elle a vite récupérée...

...

TRANCHE DE VIE 3

- Mais tu vois bien que je suis occupée làààà ! Fou moi le camp !

L'homme reparti avec sont assiette plein,e de nourriture. Il revint quelques minutes plus tard dans la loge de la femme.
- Écoutes Victoria, je sais que c'est important pour toi de le faire toute seule mais si je t'aides ne serait ce qu'un peu, tu dormiras un peu plus et tu seras plus fraiche pour monter sur scène dans ton costumes pour Mardi.
- Bon alors ramasse ce qui traine par terre, moi je continue. Tu rassemble les morceaux de tissus par couleur..ou gammes de couleurs. On l'utiliseras une fois que j'arriverai ici en descendant du chariot. Mais fait gafe John, tu vois bien que tu mélanges là..il ne nous reste que trois jours, alors déconne pas avec la plus belle entrée sur scène de ma vie...

Veronica- artiste


*****************

L'homme sortait du garage après un après midi entier de répétition. Il vit les deux individus s'approcher et les reconnus immédiatement. Le nain avança de quelques pas en plus que son garde du coprs - une montagne de muscle d'u mètre quatrree vingt dix.
-Arlan, times is time.
- Il me faut juste quelques jours de plus mac....
- Arlan, tu as joué. Tu as perdu. Déballe le fric ou je te prend ton instrument en gage.
- Ecoutes, je dois jouer pour Mardi Gras, je serais payé juste après... laisse moi trente six heures de plus et c'est bon.
- Mike, prend lui son cuivre...
- Nan, nan attend, j'te file 50 billets et tu me fais un rab de temps ok ??
- Ok mais les billets, c'est pour le délai, las somme ne change pas. A mercredi matin Arlan...

Arlan Labiche - jazzman


Luka Thornton - Book maker


*******************
- Tu vois Wang, là c'est un tout petit peu stressant. J'ai un CV chez un gros cabinet du coin et j'ai toujours pas de réponse concrète... Donc je suis désolé mais penser à un costume pour Mardi c'est une peu au desus de mes forces.
- Calme toi écoutes. Tu as fais sans contrat jusqu'à présent, ton diplôme n'est pas encore passé, tu es douées et tu t'en es sortie. Alors respire et prend quelques jours de break. On est à la Nouvelle Orleans baby. Pas n'importe où. Et quand ? à trois jour du plus beau festival de toutes les states. Donc, tu pose ton livre, et on va faire un tour.
- Ok, mais c'est toi qui invite alors...

Wang Staton - épicier


Morgane Leblanc - Etudiante en droit

Scenar 2 - Saison 1 : "The flooding of New Oreleans was a man-made catastrophe. A federal f**k-up of epic proportions." TREME

Eh bé, ça promet! Si je comprends bien c'est le carnaval, bientôt ?

oui brunch-bayou le dimanche 6 mars 2011... le mardi suivant c'est l'apothéose du carnaval de Mardi Gras. sachant que déjà pendant le week end c'est fiesta un peu en ville