[demi campagne montaginoise] Ah ça ira, ça ira , ça ira

Et oui entre quelques campagnes Pandore a des pulsions rolistique la poussant a nous faire jouer ses vieux scénar écrits sur la révolution montaginoise. Ce n'est pas ma période préférée, rapport au lien historique, mais je me suis laissé prendre au piège, au jeu...

Mon personnage, Grégoire Ulysse D'Etalon de Viltoille, est un noble ayant fait des études de dentistes en Avalon. Passant ses soirées estudiantines aux pubs de Carleon il en vint a apprendre les armes et plus particulièrement l'école de Robertson. On y apprend avec un panache à l Montaginoise à manier rapière et cape !

Je ressemble un peu à ça

Mais le temps que l'information arrive à Carleon et que je puisse me rendre sur place ma famille avait été comment dire...ventilé par la Révolution. Exilé ou mort je ne sais pas, tout le monde est éparpillé et j'essaie de savoir encore à l'heure qu'il est qui est en vie. Du coup c'est naturellement que j'ai rejoint la société secrète de la Lyre de Seigle pour combattre la nouvelle tyrannie en place par le Conseil des Huit.

Et pour cette histoire j'ai du faire équipe avec un assassin de premier ordre, un homme passionné qui nous a accompagné pour sauver une DED.

To be continued.

hé hé... Oui, c'est sympa de ressortir de vieux scénarii et de les tester "en vrai" sur les joueurs!

... mais revenons au début :
tout commença par une soirée calme dans les rues de Charousse. Et brisant le charme nocturne de la promenade me menant à mon office de dentiste, un cri. Que dis je, un hurlement de femme en détresse. Plus communément appelé DED !
Je fonce, décroche ma cape d'une main, me saisie de ma lame du mystère de l'autre et fait face aux gredins; Ils sont 6. Ils se jettent sur moi, un petit pas de coté me permet de les esquiver, et un second assaut
je l'accompagne d'un mouvement de ma cape pour les aveugler et de rage ils se remettent en position pour l'assaut. Mais il ne faut pas jouer longtemp avec ces petites bêtes là, alors une touche deux touches ! je me débarasse des malutrus pour sauver.... Damoiselle Du Parc, grande actrice (et belle) du moment ! je la laisse retourner chez elle sans en dire plus que cela et la regarde partir, rassurée dans la pénombre.

...

So ?

...
une fois sauvé, je me suis rendu calmement chez moi pour finir ma nuit; Au lendemain, capté par les bruits de la foules et les rumeurs je me suis retrouvé avec mon comparse de société secrète à l'éxécution d'Olympe de Gouge de Rachecourt. Femme réclamant des droits pour les femmes. Plus que des femmes qui dirigent au Conseil des 8 elle voulait des lois pour l'éqyuité des sexes, et sont traité a donc été jugé "anti-révolutionnaire". Donc direction le "rasoir" pour le coupage de règle en règle. Avant qu'on puisse intervenir, la tête d ela pauvre femme roulait dans le panier...
Mais d'un petit ton rancunier nous avons commencé a organiser notre vengeance; Et pour cela une bonne idée sortie d'une époque révolue : le ridicule !

Et oui l'arme en question allait se matérialiser par l'éccrochage de sous vêtements féminins sur ce rasoir en pleine nuit. Pour courroner le tout, équipé de scie il fallait couper juste ce qu'il fallait pour que les "décrocheur" tombent de haut s'ils voualeint enleverr nos décorations. Ce que nous avons donc mis en place, à un couac près : en effet, 2 gardes se trouvant sur place, en visu de notre lieu de crime, il fallait les enlever de l'équation; Mon comparse a voulu s'en charger, et moi j'ai cru qqu'il allait les assomer mais il les a tué. glups; un grand malade celui là.
Nous nous sommes donc séparés en assez mauvais termes pour nous retrouver au QG de la Lyre de seigle le lendemain soir pour un rendez vous important.

...

…Un petit rendez vous nocturne à la taverne dite QG de la Lyre de Seigle ou on est content d’y entendre ce soir de la musique castillane au lieu de la traditionnelle avalonienne allant avec le défunt ancien dirigeant de la société secrète. On est aussi content d’y manger correctement d’y retrouver d’anciennes connaissances et parmi celle-ci les serveuses qui vous empêches de vous concentrer sur votre commande. Vous en retenez au final « plat du jour »… limite « tout ce qu’il vous plaira ».
Bref en fin de soirée nous avons rencontré la famille d’un noble ; Mr de Roche, voulant récupérer sa fille dans un couvent pour fuir la montaigne vu qu’on allait probablement lui donne la chasse sous peu ; Pour se faire nous avions l’aide de gens de la société, plus le fils et l’autre fille du dit monsieur. Un plan fut vite mis en place et après quelques heures d’espionnages de la part de certains le frère envoya un mot à la sœur emprisonnée pour la faire sortir dans les jardins du couvent afin de prendre la charrette en face et déguerpir. Sauf que comme je le sentais trop simple le plan ne fonctionna pas . Sur place nous avns eu un comité d’accueil des plus déplaisant, et surtout la trahison du frère qui avait vendu tout le monde ; Au final la jeune sœur a été enlevée, le frère a trahis et a rejoint les « vrais révolutionnaires », l’autre sœur veut se venger, et nous laissé pour mort avons rampé jusqu'à chez nous tellement nous étions bloqué et surtout après être tous montés dans la charrette pour se rendre compte que les gredins avaient égorgés les chevaux.
La suite bientôt donc.

Vengeance !!!!!!!!!!!!!!!!!

j'ai adoré votre "vengeance" sur le rasoir! Une totale impro comme je les aime...

Et, oui, la serveuse de la Lyre de Seigle est assez perturbante, avec l'accent avalonien qui va bien en plus!!!

Cette première partie était voulue pour que vous vous en preniez plein la tête. c'était écrit. la suite devrait être plus sympa... Je me demande si je n'aurais pas dû vous faire plus sympathiser avec Robert le traître???

Il a un pti coté Robert the bruce du film braveheart lors de sa 1ere trahison...peut etre qu'il nous tuera pour le bien du peuple alors

fablyrr a écrit:

Il a un pti coté Robert the bruce du film braveheart lors de sa 1ere trahison...peut etre qu'il nous tuera pour le bien du peuple alors

Ben je ne sais plus qui est ce Robert The Bruce...
Sûr qu'il voudra vous tuer, cela dit!

c'est lui

oki!

Cahin cahan nous sommes rentrés en direction de chez moi, mais quelqu'un de la société secrète nous intercepta pour nous mener illico presto dans une cache

Nous avons été ensuite au fond des égouts de charousse. Je dis au fond car a peine quelques mètres de souterains ont suffit à un Loup Noir pour nous intercepté. La grosse bête faisait du un contre trois et nous l'avons eu. heureusement.
Combat épique de coup de couteau, rapière de l'autre pendant que le troisième larron, moi, je jouait de la cape pour l'occupper.


Enfin nous sommes retournés à la surface. Nous avions tous des petits trucs a faire; Moi rentré chez moi par exemple. Mais en y entrant, j'y trouvait un lieu fouillé par des brutes un désordre comme il en existe peu même au fond de l'estomc des es membres du Conseil des Huit. J'ai donc pris le minimum vital de médecine et ai voulu partir en laissant un message sur le mur...à la pointede m on épée : "Gregus, ennemi, des ennemis du peuple". Pas très fin mais je ne sui spas poète. C'est d'ailleurs ce que l'homme d'arme dans mon dos me signala quand je voulu prendre la route de la porte de sortie....


to be continued.

De l'avantage du type en planque... surprendre l'adversaire et faire des commentaires discourtois!!!

Un révolutionnaire...



Un autre homme... De passage

Avec les éléments en mains nous soulignant le fait que le citoyen Arnaud de Charousse avait eu une jeunesse un peu chade avec une comtesse, nous nous rendîmes là ou elle se trouvait : un couvent au nord de Charousse.

Le voyage de l'aller se passa correctement, et une fois arrivé au village à deux pas du dit couvent, on commençait à se poser des questions. On nous regardait de derrière des volets ? les gens dormaient tôt ? Pas un chat dans la rue. Nous passâmes au pas et continuâmes vers ce qui s'imposa dans notre champ de vision comme simplement... un tas de ruines.
La bâtiment avait brulé. Il ne restait plus qu'a savoir quand, s'il y avait des survivants etc... Mettant mes connaissance en science de la nature pour évaluer le charbon des poutres, leur humidité et autres dommages du temps, on pu évaluer que cela faisait environ deux mois que l'édifice était retombé sur sa base terrestre.
Mais de comtesse queneni... Mais ! Car il y a un "mais", une vieille femme nous surpris en sortant d'un buisson. une espèce de vielle sorcière...physiquement j'entends, mais on apprit plus tard qu'elle aimait a soigner les gens avec des remèdes que la bonne médecine réprouve et que, de fait on la considérait comme sorcière. Mais bref, après une brève négociation elle nous révéla que le prêtre du village gardait chez lui la dernière survivante de l'incendie, criminel, et qu'elle pourrait peut être nous donner une piste, car la pauvre n'avait plus toute sa tête.
Nous allâmes chez le curé, et pendant que mon camarade-psychopathe allait discuté avec la sœur-victime, je m'occupait du curé.....
Oui je suis dentiste et lui avait une rage de dents alors j'ai décrassé un peu ce qui lui restait de dents. un vrai miracle... enfin si j'ose dire, mais à la fin il ne souffrait plus.

to be continued...

je l'aimais bien, ma vieilel rebouteuse toute pourrite!

ou moi aussi