Quartus 1670 : Sant'Andrea, nouveau départ

Citation :

nous nous sommes rendu compte qu'il y avait plusieurs cibles. Dont moi. Étonnant, je croyais que le prince Mondavi m'appréciait Smile

c'était purement amical!

Antonien de la Cour:
Vous pouvez maintenant m'appeler, ou presque "Monsieur le Vicomte"; Vicomte de quoi je ne sais pas encore mais j'ai été nommé je crois. A part ça je suis toujours en quête des yeux de Lysenderus. Le premier œil a été retrouvé : dans la basilique de la ville. on va donc le laisser en place, mais nous allons voir à trouver le second. Je ne sais pas ou cela nous mènera mais avoir quelqu'un d'érudit et agréable pour ce jeu de piste est vraiment amusant et divertissant. Cette quête nous a poussé à fréquenter les souterrains de la ville et apprendre que la famille Lucani serait issu de la Villanova. Ils sont drôle ces Vodacci tout de même. Et surtout, le temps de remonter et la libération de la ville était faite. Cette fois on ne pourra pas me prendre pour un héros, mais j'ai tout de même pu profiter de la fête de la victoire !

Siro Alesio Sandrino della Vestini

Tout s'est passé très vite. Je discutait de mes envies de décorations pour ma prochaine académie d'escrime en ville, quand l'attaque éclata sur le port. Au même moment sortis de nulle part – apparemment je n'étais pas le seul à connaître les souterrains–, des assassins et surineurs sortirent un peu partout en ville. Tout de suite je me suis rendu au palazzo... Il était évidemment attaqué et après m'être défait de quelques hommes j'ai accouru vers ma fille. Dans les étages. Empêtré dans des hommes de mains collant je n'ai pas pu empêcher ni l'enlèvement d'Augusta Ambrogia, ni la mort d'Alberto. ma fille eu une réaction des plus vodacci : "je veux sa tête". Aidé par Amilda j'ai retrouvé la trace de l'assassin du Prince Savino.
Un bref combat plus tard et Augusta était libre, mais la cicatrice dans le cœur de ma fille n'est pas prête de se refermer. Encore une rude épreuve pour elle. Comme si elle avait besoin de cela. A peu près au même moment des navires attaquaient l'île Mondavi et Tigrano à repris son poste. L'ancien Prince est mort, ses Lames avec et la ville est à cet instant en liesses. Tout le monde fait la fête et je dois bien avouer que le passage de Rebecca pour quelques jours est un vrai rayon de soleil qui me pousse à suivre le mouvement, même si un coin de mon esprit est un peu inquiet pour Luchina.
Enfin me voilà fixé en ville. Tout s'est bien terminé. Le sang n'a que trop coulé et j'espère que la nouvelle mission de mon Prince me fera respirer un peu plus. Même si on sera toujours très loin de l'air pure de Casigula Rosa, j'ai maintenant des alliés et ami en ville....

La suite, dans quelques mois!

Jaime

Voilà, c'est fait.
Non seulement la ville est libre, malgré l'assaut désordonné de mercenaires peu grâcieux, mais également la Principauté. Longue vie à Tigrano ! J'ai d'ailleurs été cité pour le coup de la guillotine, entre autres.

Ceci dit, j'ai également épaulé le Comte alors qu'il défendait sa villa, avant de l'accompagner en quête de sa douce - ce qui m'aura permis de ferrailler dans la maison des courtisanes et de sauver du déshonneur au moins une damoiselle. Bigre, occire un doppelsödner avec les braies sur les chevilles, de dos, n'a rien d'héroïque, mais ça soulage ! Surtout que ces rustres se sont attaqués à ma demeure et ont occis mon majordome dévoué.
Je lui ferais des obsèques dignes de ce nom !

Et puis de l'escrime, à droite et à gauche, du ferraillement, du ferraillage, croises-tu le fer, non, eh bien oui - voilà, ça n'était pas si sanglant, mais tout de même...

Voici donc un lieutenant de police criminelle, auquel le Prince Villanova a proposé une place à son académie d'escrime... Pour son fils, puisque, oui, enfin, le lieutenant s'est décidé à se porter parrain des deux orphelins du tueur. Proposition à réfléchir...

Et Manon restera un peu, "jusqu'à ce qu'elle s'ennuie".
Allons bon, soyons fous ! (aujourd'hui, c'est permis)

Benzidi

... s'en allait au port de la ville non loin de là, récupérer les journaux de la doyenne de ces Dames de Sophie.
Ce que je fis. Non sans jeter un oeil au siège fait à la maison du bourgmestre. Chance, en bon médecin, je parle Eisenör. Et ce sont des Eisenörs qui font siège.
Quoi de plus simple pour faire acroire que je suis de l'entourage du "général" de ces mercenaires, de lui servir un verre d'eau, agrémenté par mes soins et, tandis qu'il suffoque et s'étouffe - le poison n'était pas destiné à ce genre d'usage - prétexter punir l'empoisonneuse (une fille de salle qui n'avait pas le choix, je l'avais désignée pour ne pas être suspecté, évidemment).
Je n'ai même pas dégainé ma rapière.
Ce smercenaires sont de véritables idiots, et crédules avec ça !

La doyenne n'a pas survécu, trop âgée, trop faible, mais ces journaux sont à l'abri...

P

Citation :

our son fils, puisque, oui, enfin, le lieutenant s'est décidé à se porter parrain des deux orphelins du tueur. Proposition à réfléchir...

Oh, je croyais que tu voulais les adopter ? Il va falloir te décider... Et n'oublie pas que les propositions du prince sont toujours à 5tuple tranchant.

Bah oui, mais il ne suffit pas de dire "ce sont mes enfants". Si?