[Mise en bouche] Prophecy - la Compagnie de Boisnoir

Je n'aime pas jouer. Enfin, je n'ai jamais essayé, mais s'enivrer, brailler et jouer, ce n'est pas le genre de distractions que j'apprécie. je suis montée sur le pont, histoire de m'entraîner à lancer quelques couteaux. Et Ypvel est venu me parler. Me raconter son histoire. Je crois qu'il s'en veut vraiment. Pour moi, c'est passé. Ça m'a fait mal sur le coup, et pendant quelques jours, le temps de digérer ce que cela avait produit en moi. Digérer, assimiler, passer à autre chose.
Ypvel fait partie de la compagnie, et c'est quelqu'un que j'aime bien. Voilà.

Qu'est-ce que la richesse ?
beaucoup, pour certains. Une vie, un avenir.
Pour moi, rien. Rien qui justifie, en tous cas, le départ de cette compagnie. C'est pourquoi je me moque de tous ces gains. Je veux juste une monture et du matériel de bonne qualité.
Ypvel est enfin entré officiellement dans notre compagnie. Nous discutons de plus en plus. Faedra et Varik disent que je lui plais. Moi, je crois qu'il a surtout besoin de se construire, et que je suis celle dont il est le plus proche. Je ne le laisserai pas tomber s'il a besoin de moi, mais je ne peux lui donner plus, pour le moment, que mon amitié et ma loyauté. Le début de sentiments que j'éprouvais pour lui, pour le moment, est anesthésié, enterré.
Koten, mon adorable ami, a fait des miracles : guérir à la fois Alyz (mais de quoi ?) et Varik, bel exploit!
Et nous voici partis en mission pour le conseiller du prince des marches, Nyll, un bel érudit (voilà, je développe mon sens de l'esthétique mâle, Faedra devrait être contente!)...

enfin les deux pieds sur terre. A croire que j'ai du sang de Brorne dans les veines. Bon on se sent mieux. Mais en arrivant on découvre un camp militaire dans l'ancien village qu'on a laissé en partant. Des gens du dirigeant des marches locales, présents pour mettre de l'ordre chez quelques bannerets rebelles. Ils en ont contre la nouvelle dirigeante locale : une artisante au carré, pas là pour rigoler. Je n'ai pas encore pu trouver de papier pour écrire convenablement. Ce ne sont donc que quelques notes pour ne pas perdre mon récit. Pour mes vieux jours peut-être.
Tout juste débarqués, avec la capitaine qui grognait dans sa tête, que nous sommes engagés. Il faut aller voir ce qui se passe du coté des bannerets. Donc je prépare quelques objets enchantés pour la route. Je crois qu'un miracle s'est produit, je n'en n'a pas encore la portée. mais c'est moins grave que ce qui touche la compagnie. Trop d'argent. Certains veulent partir. Faut-il un juste milieu financier pour faire ce métier. Assez pour payer les troupes pas trop pour les tenir en haleine jusqu'à la prochaine solde ? Peu importe, moi même très riche je reste. je ne sais ce que je ferai de cet argent, peut êtere des matrices de sort, mais pour l'instant, vivons... !

et un cœur brisé un !!!!
Bon je ne peux pas dire "c'est pas de ma faute, je n'ai aps fait exprès". J'en suis parti responsable, mais cette demoiselle (que je ne nommerai pas ici au cas ou ces notes ressortent un jour), s'est attachée à moi. J'aime bien ça, il faut noter. mais notre relation s'est construite sur une écoute et une aide que je lui ai fourni; Un miracle draconique l'a sortie d'une impasse de son existence, et à partir de là, je crois qu'elle espérait plus qu'une simple nuit. Oui, on aurait pu passer plusieurs nuit. Mais en fait, j'ai préféré couper court à toute espérance, avant que ça lui fasse trop de mal, et que je passe pour un profiteur; Oui, d'accord, j'aurai bien aimé profité. Ca ne se fait pas; Pas avec quelqu'un qu'on aime bien en tout cas;
Mais donc voilà en dehors de ça nous sommes partis en exploration. Nous avons traversé la forêt pour "éviter le chemin trop pratiquer" et rester discret donc. Une fois au coeur de la forêt, des corbeaux tournant au dessus de cadavres, nous indiquèrent que nous étions tout proche. Ni une ni deux nous avons rejoint une clairière où venait de se dérouler un combat; Il ne restait en gros qu'un maître combattant face à plusieurs chevalier. Je ne voulait pas briser des codes de combattant. Du coup, j'ai fait plusieurs sommation aux chevaliers pour qu'ils se rendent. Ils ont refusés, ils sont mort sous les flèches de nos archers. A force de vivre dans la compagnie, j'étais assez motivé pour combattre. Plein d'énergie...mais le chevalier m'a ignoré préférant combattre l'homme à l'épée. Ce qui un est frustrant, deux stupide. Pourquoi tourner le dos à un mage sachant qu'il peut vous affecter à distance et se ruer sur un combattant meilleur que soit; Stupide !
Au final, de retour au village, mais pas avec n'importe qui, le Prince des Marches en personne. Et en plus, il est guidé par une étoile... à voir ce que présentera le futur car pour l'instant, en ville nous avons négocier notre pactole. Nous sommes donc riche.
Mais on a du quitter la ville qui n'a plus de sous. Plus qu'a apprendre-comprendre les matrices que j'ai acheté !

Jard le bien-aimé est guidé par l'étoile dont le nom signifie Solitude. Son panache blanc serait peut-être un artefact de légende (qui a arrêté une guerre entre dragons), peut-être pas. Un prince qui semble ne pas aimer les dragons du tout (son épée serait "tueuse de dragons", pour autant qu'un truc aussi stupide existe). Et j'ai donc dû faire appel à Faëdra pour nous débarrasser d'un bébé-dragon du métal (ma copine draconique étant par ailleurs assez dévergondée... à faire rougir un Voyageur!)
En ville, j'ai décidé de rafraîchir ma garde-robe : Joachim m'a donc accompagnée. je suis assez contente du résultat. Ca durera ce que cela durera, mais au moins je me sens propre et civilisée...
Voilà, sinon, j'ai récupéré un cheval, mais si je dois développer une unité d'archers à cheval, je vais devoir m'entraîner... Franchement, même si je suis très contente d'avoir une monture, je ne suis pas sûre d'avoir envie de ces responsabilités : je ne suis pas la meilleure cavalière du monde, je ne suis pas à l'aise avec les gens et Salem est beaucoup plus qualifiée que moi.  ... au pire, je m'adapterai...

petit bourg a la croisé des chemins. Notre mission, le défendre contre les attaques de brigands pour aider les marchands à avoir une vie plus facile. Bon sauf que sur place tout n'est pas si simple.

....coming soon....

Evidemment j'ai pris des notes, mais je crois qu'Ozyr s'amuse à me les noyer. Alors je vais vous raconter sommairement cela de tête.
En ville nous sommes arrivés et à "l'auberge" nous nous sommes arrêtés.
Apart ça pas grand chose dans un premier temps. La capitaine s'est rendue auprès de la bourgmestre ou bourgmestesse, je ne sais comment on dit dans le coin. De notre côté nous prenions nos marques dans le coin. J'ai fais un tour du village et j'ai vite remarqué cette forge abandonnée. Après un petit sort et quelques recherche il en ressort que c'est une sorte de forge servant à créer des matrices de sort du feu. Enfin servait. Elle n'est plus active depuis des siècless. Mais il est fort possible que l'autre compagnie, notre ennemie, veuille s'en servir pour créer des sorts de destruction comme on a pu trouver sur cette ile pourrie (Jaspor). Etait ce la clé du problème ? Je ne sais pas; Peu de temps après nous nous sommes fais attaquer par les sauvages. Enfin, je me suis surtout fait attaquer par une de ces créatures du plan élémentire de Kroryn. A la botte du dragon de la même filiation qui nous a pris en grippe. Imbattable. Rien n'est impossible. Il faut combattre le feu par le feu !!!
Enfin bon, j'ai surtout invoquer un torrent glacé. Miracle : il a ouvert un portail pour laisser passer un descendant d'Ozyr. Nous avons pu mettre en déroute le monstre. Enfin, le ratatiner.
Dans l'histoire, il a perdu sa corne frontale, a été blessé assez sauvagement e tlesz ennemis du bourg l'ont eu mauvaise.
Ils nous ont rapidement réattaqués....
coming soon

petit résumé : le bourg est sous la menace d'un dragon. Mais ça c'était avant car on vient de découvrir que des fanatiques humanistes contrôlent des sous sols vieux comme Brorne et ne veulent pas les lacher, au rique de les faire exploser si les Moorg attaquent de nouveau. la mince affaire que voilà. Ils se disent ouvert avec leur science et leurs oreilles bouchées, ils ne valent pas mieux que les autre fanatiques ne voulant rien entendre. Au final, j'ai pris des gnons à ne plus savoir qu'en faire, ils me poussent à reconsidérer mes tendances, (ne jamais devenir fanatique) la ville n'est pas prête a accepter vraiment l'aide de la compagnie et on va se faire attaquer sous peu.

La fête je me sens comme un vrai mercenaire, je commence à compter mes cicatrice et pouvoir leur coller une petite histoire à chacune, mon aigreur serait elle le fait d'une graine de tendance poussant en moi ? Je m'en moque, je verrai plus tard. Là je veux en terminer, arriver dans une académie de mage pour prouver mon statut et prendre un bain. Trouver une jolie fille pour une nuit, boire, oublier et être un vrai mercenaire qui crache par terre avec une armure sur le dos et tout... enfin pour ce dernier point on verra,.

Je ne suis pas une conteuse.
Comme me l'a fait remarquer Anders, je suis pragmatique. Alors, le résumé des derniers jours va être bref.
J'ai hérité d'une apprentie, Miranda. Elle mord beaucoup, mais ne fait pas mal. Et surtout, c'est une gosse paumée. Je ne pouvais pas la laisser en arrière. Elle mérite mieux que de finir ses jours à Elgen, parmi cette bande de ploucs. Les gens pensent que je l'ai accueillie, ou recueillie, parce que j'étais pareille au même âge. Ils se trompent. A neuf ans, je n'étais ni irréfléchie ni à fleur de peau. J'étais une survivante. Je ne pouvais pas me permettre d'être impulsive. Cela m'aurait valu trop de coups. Je ne suis peut-être pas très futée, mais j'ai appris à attendre le bon moment, à retenir mon coup, contenir ma haine pour frapper.
Faedra a failli mourir. Je suis restée avec elle. Si on ne peut se permettre de pleurer les morts humains, parce que c'est dans l'ordre des choses, on peut souffrir de celle des dragons. Parce que ce n'est pas naturel. Heureusement, elle a survé&cu. M'a demandé de devenir son élue. J'ai accepté, on verra bien où cela nous mène. Mais de toute façon, c'est la personne dont je me sens la plus proche. Plus qu'une amie.
Varik est mort. C'était dans l'ordre des choses, j'imagine.
Zayid est mort sous mes yeux, tué par un Merog. C'était surréaliste, cette mort.
Lina n'est pas en bon état, et son loup n'a pas survécu. Avec la mort de son mentor, ça fait beaucoup de pertes, pour elle. Son destin est-il de mourir ici ?
Alyz est liée à Uktekin. Rien à dire, il n'est pas désagréable, et pas plus malsain que ne le sont les dragons de Kroryn que j'ai rencontrés;
Et j'ai tué, seule, sept Merog. je vais récupérer leurs dents. Ca faisait longtemps que je n'avais pas pris de trophée. Ils en valent la peine.

Arrivée de trois dragons : Uktekin, pour Alyz, qui n'a pas eu le choix. Arichalque, pour sceller Forgeciel et ShaYdra, une vénérable dragonne de la nature, pour rappeler à la compagnie son devoir et lâcher quelques bombes sur ses origines de tueuse de tragon.
Elle va ressusciter Varik. Je ne m'en suis pas mêlée. Les trucs comme ça, je n'y arrive pas, je trouve pas ça naturel, même si c'est une fille d'Heyra qui le fait.
Et nous laisse le choix du destin d'Alduin. Faut qu'il vive. Histoire de rattraper ses erreurs.
Ah, et puis on a aussi hérité de Icham, le gamin mage du feu et de dix guerriers Zûl montés sur des saurides. S'ils restent avec nous, ça fera une force de frappe, c'est sûr.
maintenant, on va s'occuper du cas Alduin. Après, j'aimerais juste qu'on me foute la paix et qu'on me laisse découvrir ce que signifie le lien draconique.

Bon, on ne me fiche pas la paix, mais au moins, Alduin est sauf.
Il nous a révélé pas mal de choses sur ceux qui l'ont manipulé : les Seigneurs ardents. Des vieux dragons qui sous prétexte de liberté rêve d'un retour au chaos, et de l'asservissement de tout ce qui n'est pas dragon.
Beurk.
J'espère que ses tuteurs vont lui rendre la vue.
ce ne serait pas équitable, sinon. Varik est de retour. Et lui...

Donc, Alduin a recouvré un semblant de vue.
je n'arrive toujours pas à comprendre l'intérêt d'un artefact alors qu'il aurait été plus simple de lui rendre la vue par des sorts de soins (de la nature, par exemple).
Moi, j'ai vu Zhyl, et je ne suis pas sûre de vouloir renouveler l'expérience de cette CHOSE plus grande qu'un château avec un oeil pareil à une constellation...
Faedra est très susceptible, surtout quand elle me demande d'être franche et que je le suis. C'est vrai qu'elle n'est pas courageuse.   
Sinon, fête, à laquelle je n'ai pas pu couper...
  

On a traversé une ville dans laquelle on s'est fait voler la "matrice de feu" que les têtes pensantes de notre compagnie ont empruntée pour détruire la forêt de Solor. Entre deux, il a fallu s'occuper d'un conflit mage/autorités de la ville débouchant sur une espèce d'horreur tout droit sortie des griffes de Kalimshar (et voilà, la joueuse est désolée d'avoir mis tant de temps à faire le résumé, j'en laisse passer les 3/4...)

ouais et moi alors... rien fait encore...
Mais bon, c'est pas grave mes scrupules se bousculent pas tant que ça vu que Lace' a aussi du retard pour mes parties

Je maitrise maintenant le melon, la pastèque et la mûre juteuse !
Oui donc j'ai fini par apprendre mon sort.
Me voilà projeté dans la politique locale pour définir des truc qui sont biens au dessus de moi. On me lance du "maître mage" alors que je ne suis toujours qu'un initié mais bon, à part ça c'était marrant de piéger la mimi érudite de la compagnie d'Ist qui avait tendance à dire que nous étions dans l'ombre de leur compagnie... Non mais elle se prend pour qui celle-ci, c'est nous les plus forts !
Bon en tout cas on essaye, même si socialement j'ai trouvé que Tijjad et la capitaine ne jouaient pas trop le jeu. ffff, les filles entres elles
Bref du Dragon Seigneur Ardent, une très anciennes dragonne de la Pierre et un très vieux dragon de l'Ombre au milieu de quoi des érudits, politicien, garde du corps et moi... Vivement la prochaine réunion

C'est bien, je connais enfin l'origine de la forêt de Solor (merci Myriand pour le coup de pouce). Il y a fort longtemps, un prodige d'Heyra orphelin de dragon se laissa corrompre par un dragon de l'ombre. Enseigna ce qu'il savait à d'autres disciples. Et tout partit en vrille, au point qu'Heyra dut l'emprisonner dans un chêne. En même temps, elle aurait pu le tuer, mais visiblement ce n'était pas chose simple. Et le chêne a poussé... La compagnie Boisnoir a trouvé intelligent de tuer des dragons de la nature parce qu'ils... ne voulaient pas expliquer ? Etaient indirectement responsables ? Cette partie là est un peu fumée...
Ah, et je sais aussi, maintenant, que l'oeuf de feu, est possiblement une création humaine.
Comme quoi, les grandes réunions avec tout le tralala ont du bon. revoir Baast aussi, d'ailleurs.
Sinon, la compagnie d'yste fricote probablement avec les Seigneurs ardents, sinon pourquoi auraient-ils envoyé l'une des leurs ? Et pas n'importe laquelle, une érudite (archiviste?) qui a été celle qui a drogué Ypvel pour le forcer à se joindre à la compagnie d'yste. Beurk. Quelle nulle.
Dernière chose : j'essaie de bouger Zyann pour qu'emlle se penche sur les étoiles... et celles d'Yste en particulier.

Notre destin se décide... un peu par nous.
Après avoir croisé un Duc aussi important qu'un Empereur, un seigneur grand maître de caste, nous voilà autour de la table pour discuter des informations que nous avons obtenus pas l'achiviste et "son" dragon de la compagnie d'Ist. A ça il faut ajouter mes visions de cette dragonne de Nenya qui doit roupilller sous le sable du désert depuis des siècles et s'ennuyant de ne plus se faire chasser par les seigneur-adents à décidé de m'utiliser comme pion.
Donc, à force de discussion et persuasions, nous allons partir vers Ophoria pour se faire des allier, avoir des informateurs, faire le plein de flotte et plein de trucs ...
Outre se dire que les dragons des Océans (Ozyr en tête) n'aimerons pas une bande de crétins crachant des flammes, on pourra peut être avoir plus d'informations sur la forêt de Solor, son existence ou d'autres choses inavouables comme des trucs d'Etoiles. En fait je repousse l'échéance du désert. Je crois que j'ai un peu peur d'être au milieu d'une étendue de sable sans fin sous un soleil Krorynien.  Le soleil passe encore, mais une infinité de vide à perte de vue, c'est un peu grisant aussi pour un type de Nesora comme moi. Homme-des-cités etc.. va falloir que je m'y fasse. En même temps, j'ai très envi de m'y rendre, me confronter à cette nouvelle expérience, être en contact directe avec de la poussière de Brorne....

Mais avant cela, on a voulu dormir.... Joachim s'est fait attaquer par 4 assassins. J'ai eu une seconde d’inattention, d'arrêt, je ne sais quoi. Tout compte fait on a réussi à se débarrasser des assaillants. Le gamin est en vie, et la compagnie choquée. Comment et pourquoi s'en prendre à un gamin ? Je ne suis pas érudit mais si j'étais un peu plus cynique que Tiljad je rappélerai que l'espérance de vie à Kor est assez faible, que celle d'un mercenaire encore moins et un gamin dans un corps de mercenaire... bref, j'ai été surpris, je ne m'y attendais pas mais je suppute que cela soit les salopard d'Ist qui s'en sont pris à notre Main du Destin. Celui en lien direct avec les étoiles...avec notre Etoile.
D'un autre côté, à force d'entedre depuis des mois que nos Nemesis est pourrie, si c'est elle j'en ai la preuve. Je veux dire, je croyais les autres mais on vous balance que les autres sont le mal... bah, j'ai besoin de m'en rendre compte pas moi-même.... C'est un peu comme si on me disais que untel ou unetelle est mon amie.... merci j'ai le droit de décider, et je dois le ressentir pour que ça soit vrai.

Bon Joachim est sous bonne protection, j'ai collé une mission à Isham pour lui donner un peu d'importance et nous sommes partie sortir les derniers mages de la ville de leurs geôles. Au final, on a embauché un alchimiste empoisonneur pour 4 ans, une mage de la Pierre et des Rêves pour 2 et une autre mage du feu et de l'Eau pour 3 saisons et un mois d'essai.

Je peux vous dire un truc, je ne suis pas un guerrier dans l'âme, mais à force de côtoyer des combattants, j'ai le coeur d'une guerrier qui commence à poindre. Ca va donc être la guerre. Mais pas une guerre avec un échange de coups d'épées... non, on va se la faire sauce Nesora. Une guerre où  seule le vainqueur est vivant.... où tous les coups sont permis.... ça va chier de la fleur, de l'eau glacée et dur rêve !

Et de deux dragons de Kroryn qui sont revenus des seigneurs ardents. Naadjiv, donc. Qui s'est trouvé une humaine, la future ex-archiviste de la compagnie d'Yste, qui donc se délite à mesure qu'elle grossit, et dont le chef -le capitaine Hawk, semble décidément aussi bizarre que dangereux.
Captaine que j'ai croisé le soir-même, en sortant dune taverne, après avoir cassé la figure d'un imbécile en mal de reconnaissance. Il faut dire que je n'étais pas de bonne humeur, après avoir passé la soirée à errer en quête de Kald (je ne connaissais pas son nom) et/ou du grand maître de la caste des combattants, histoire de contrer les plans des seigneurs ardents. Sur le coup, je ne savais pas trop comment, d'ailleurs.
En rentrant, j'ai appris que Joachim avait subi une tentative d'assassinat.
Ce qui est bizarre, c'est que pendant notre réunion, pour décider ce qu'on faisait à savoir aller directement dans le désert et se faire cramer par les seigneurs ardents ou essayer d'avoir un plan, même minime, histoire de gérer au mieuc (voire au passage retrouver l'empereur perdu de Zhûl et son dragon... bon, ça c'est mon idée, je ne suis pas sûre que tous soient preneurs), Joachim était complètement ailleurs. Entendait-il ou devinait-il des choses ? pour le moment, il est dans le coma, difficile de lui demander.
Bref, le lendemain, à l'aube, à l'heure ou blanchit la campagne, je suis partie vers le krak d'entraînement. Là, j'ai assisté à la fin de l'entraînement du GMCC contre un dragon de Khézyr, puis j'ai réussi à l'intercepter. Il est au courant pour les Seigneurs Ardents, pour son fils, etc. Et là, je lui ai proposé une solution : qu'il vienne avec nous (Kald), une sorte de mise à l'épreuve, pleine d'aventures (enfin, si on peut appeler aventures le fait de subir des fous furieux)... Le GMCC a appelé sa femme, une guerrière qui est... intéressante. Vraiment intéressante. Du coup, Kald est avec nous... hop, un combattant en plus. Et en plus, il a l'air d'être plutôt gentil. Hop : un point de moins pour les Seigneurs ardents.

nous avons quitté le krach aux portes du désert, direction Oforia. La ville sainte d'Ozyr. Un voyage long, sur une route de pèlerin que je comprend mais que je trouve un peu trop expansifs dans leur "charge" religieuse. L'ambiance dans la compagnie est morose. TOut le monde se regarde le nombril et grogne pour un oui ou pour un nom. Je pense que un de nos étoiles ennemies (celle qui a frappé Joachim) doit être pliée en deux de nous voir victimisée si aisément.  Donc, notre mascotte, notre fer de lance est dans les vapes, absent et du coup, tout le monde  a le moral dans les sandales.
Sommes nous si fragiles que ça ? Ne sommes nous pas des mercenaires ? LA compagnie de mercenaire ? On a beau me raconter le passé glorieux de la compagnie, je me dis que tout le monde est un peu de mon niveau, avec un caractère un peu jeune/ado. Purée, elle est où la gloire, le truc qui tabasse, le drapeau qu'on est sensé porté fièrement ?
Avec ça on trimballe quelques mages en plus. Ils n'avaient plus d'avenir sur place de toute manière. Leur remerciement et leur intégration fait peur à voir. Entre le vieux qui commence déjà à me les briser avec ce qu'il dit à mi-mots ou ne dit pas à mi-mots et les autres suspicieux. On a l'impression qu'un dragon de ténèbres à lâcher un vieux pet pour casser l'ambiance. Et là dessus, l'autre qui essaye de m'emprisonner dans des racines pour m'embrasser, voire plus. Euh, non merci, le viol je ne pratique pas, donc j'entends à ce qu'on en le pratique pas non plus sur moi. Putain, on couche ensemble et elle croit qu'on va se marier et engendrer une tripotée de chiards ou quoi ? Elle sait ce que c'est la vie de mercenaire ? Moi en tout cas je l'imagine comme une vie de combats, de liberté, d'apprentissages et un jour, peut être quand je serai plus vieu, je me fixerai avec quelqu'un. Sauf qu'il faut être lucide, je serai tellement vieux et couvert de cicatrice que ça sera probablement une prostituée qui se collera à moi pour mon argent mais bon, de toute manière, vais-je vivre jusque là ?
Sinon, il y a ce dragon du rêve qui se terre dans le désert. Un (une ?) probable allié(e) mais pas très doué(e) pour la conversation. En même temps vu que les seigneurs ardent viennent probablement de cristalliser une partie du désert où elle se cahce avec une tempête de flammes, je comprend un peu. Difficile de voir tous ces dragons qui veulent qu'on fasse des trucs, mais qui ne sont en fait qu'une guéguerre séculaire entre plusieurs puissance draconiques. Et je ne parle même pas des conflits qui passent de génération en génération. Bref, pas la fête en ce moment, j'espère que j'aurai au moins terminé mon apprentissage de sorts en arrivant à Oforia pour m'acheter des livres intéressants. Une sorte de bulle de liberté où je pourrais m'enfuir loin de leur marasme.

Oforia dans mes bras !

Enfin c'est que je e croyais avant d'y mettre les pieds. On nous avait prévenu, mais malgré son côté "gentil et accueillant" la cité d'Ozyr est le lieu ou le mot Règles prend tout son sens. Contrôles à l'entrée de la caravane et probablement une tripotée d'espions ensuite;
Mais ça n'a pas gaché ma joie de me rendre dans l'académie de mages locale pour y être officiellement adoubé MAGE !
et oui, ça y est enfin. Bon en même temps j'ai mis le paquet devant cette mage guerrière des océans, mais ce petit piquant m'a donné mon titre; je peux donc officiellement concevoir des sorts et des matrices. Là, on va s'amuser un peu.
mais en attendant, on a toujours un gamin dans le coma, et cerise sur le gâteau, pendant la petite fête organisée pour mon nouveau statut, nous avons appris qu'Ozyr n'aimait pas les gens guidés par les Étoiles. Nous en sommes. Pour le moment elle discute avec sa grand prêtresse, mais d'un instant à l'autre, elle peux venir faire couler (crouler ?) sa science sur nous ... bref, il ne faut pas trainer.  Nous allons récupérer cette humaniste pour sauver notre mascotte et nous carapater dans le désert.

Il y a un truc sous la tour où nous logeons, très provisoirement.
De l'air, sous-entendant une ouverture et des trucs cachés secrets (interdits par les dragons, donc une bonne raison pour la sainte Ozyr de nous jeter dehors ou nous emprisonner si elle tombe dessus ou l'un de ses sbires). Les gens ne nous aiment pas, parce qu'on est liés à une étoile. Feraient mieux de s'occuper de ces saloperies de Seigneurs Ardents. au moins, je mets les Voyageurs sur la voie. on ne peut pas dire qu'ils ne sont pas prévenus.
Sinion ? Bah, Koten a passé son examen pour être mage, Totzli est ici, Faedra n'est pas là (en même temps, c'est chaud pour les enfants de Szyl dans le coin). Voilà. ah, et Koten nous a ramené une pétasse rousse mage des cités... Qui est repartie. Et on a peut-être une solution hiumaniste pour Joachim. Voilà.

Tuyaux dorés et flèches mécaniques.
c'était la journée "humaniste". D'abord, j'ai découvertun anneau doré sur le toit de la tour. Un anneau capable visiblement de déclencher un mécanisme, mais bloqué. Ensuite avec l'aide d'Irin, puis de Koten, j'ai mis à jour (et eux à nu) un tuyau, ou réseau de tuyaux incrustés dans la tour, et activant un mécanisme auquel je n'ai rien compris si ce n'est qu'il permet visiblement de regarder les étoiles. A suivre, parce que notre présence dans cette tour avec ce mécanisme tout près c'est plus que bizare. Enfin, en accompagnant Koten et Harold aux tours de corail, j'ai pu aider la garde à identifier la provenance d'une lfèche qui a touché l'un des leurs, un truc venant de Nezora, et tiré depuis le sommet d'une des tours. Voilà, les gens qui ont fait ça se sont fait passer pour des érudits et se sont visiblement introduits sans difficulté à l'intérieur, de là ils ont gagn" le toit et apparemment, ils se sont plantés dans les documents qu'ils cherchaient (si ça se trouve ce sont des membres de cette secte les Historiens, mais je ne sais pas si ce qu'ils voualient c'était les trucs sur les Seigneurs ardents ou sur Hawk). Et sinon, Zul attaque. Bientôt.

pas beaucoup plus à ajouter. la tuyauterie déconnes, et les humanistes semblent être un peu partout. Surrtout là où on ne les attends pas : ici, au coeur de la cité d'ozyr.
Du coup, maintenant qu'on a un peu plus d'info sur Owk, il nous reste à trouver la chirurgienne pour le petits, éviter une guerre, passer entre les mailles de dragons, et terminer cette satanée quête tueuse de forêt.

résumé
coming soon

après quelques péripéties, nous sommes tombés sur la chirurgienne. En fait elle a failli se prendre une grosse claque : elle avait enlevé notre vénérable doyen-marchand. Donc nous l'avons pisté et découverte avec ses "sbires" dans un entrepôt pourri. Porte ouverte, sorts à droite et à gauche... la tension retombe et nous discutons.
Elle propose de tenter de soigner Joachim en échange d'un navire pour se rendre sur l'île interdite de la vieille Ozyr. Un lieu, selon les légendes, dans lequel la Vieille entrepose les textes interdits.
Nous acceptons, d'autant plus vite que la garde de la ville est sur les dents, que l'armée adverse approche rapidement et que nos possibilités sont très restreintes. Elle opère, nous mettons à plat quelques problèmes internes à la compagnie (comme le jugement de Lena : voté au final Exile) et nous nous préparons à recevoir l'armée ennemie puisque nous sommes embauchées par la cité pour la défendre en première ligne (pendant que les riches/nobles se planquent en arrière et donnent les pauvres en pâture). Nous voilà donc rassemblés (avec l'arrivée d'une 50aine de jeunes dragons un peu tout fous) pour faire face aux troupes-de-la-mort des Seigneurs ardents. Ils arrivent, ils sont proches... surtout invulnérables.
Tas de cendre à la forme humanoïdes, comme une grosse histoire de fantômes intuables.
L'instant d'après, ils traversent nos troupes et prêtent allégeance à notre capitaine....
vivement la suite.