-En dessous de tout- Le retour de Danny Trejo

Hello amis et fans du grand mexican !
Ici sera prochainement relatée une nouvelle aventure à suivre de notre grand "mexican" national.
Je vais mettre la mise en bouche en courant de semaine afin qu'il puisse se délecter à enquéter de nouveau...

Ouais time, I'm ready On commence quand là ? j'en plus d'attendre...

je vais essayer de temettre l'intro ces jours-ci !
PROMIS !!!

I Wait Hombre, I Wait

Jeudi 6 février 2031

Il est 7h30 et ta journée a commencé assez paisiblement.
Depuis les élections et la fin de l'affaire Sanborn, toi et l'ensemble de la section avez été relativement laissés au calme.

On t'a offert notamment plusieurs jours de congé à prendre en récup, le reste du temps est conacré au travail sur les anciens dossiers à boucler.

Côté républicain, l'ambiance est assez électrique, le Clan Sutter -garant du "vrai esprit républicain" et de son grand conservatisme, notamment opposé depuis toujours à la sécession de la Californie- se montre de plus en plus présent et pressant.

Il ne fustige pas la défaite de Mac Connroy, encense son courage, même mais le vieux sutter commence à graisser son "arme fatale" pour ls prochaines années : sa fille, Karen-Ann Sutter.

Père et fille se préparent donc le terrain pour les mois qui viendront à force de discours et de présence accrue dans les différents média.

Selon les dernières nouvelles, Mac Connroy a repris avec une verve non dissimulée son poste de procureur génaral.
L'impact est direct, vous êtes littéralement harcelés par les demandes de son bureau, comme avant la campagne.

A vrai dire, c'est bête à avouer, mais pour toi comme tes collègues, ce retour aux affaires fait du bien.
Mac C est sûrement un conn* fini mais quand il est aux manettes, ça dépote sévère...

Autre nouvelle : Giovanna Castiglione a été relâchée, aucun témoignage direct ne permettant d'aller pour l'instant au delà de l'enquète, elle finira de purger son "abus de biens sociaux" en résidence surveillée (sous contrôle judiciaire donc).
Pour le reste malheureusement en dehors des rumeurs rien n'a pu être prouvé.

Pour vos chefs respectifs par contre c'est pas les vacances : Skripnick et ses lieutenants sont en réunions quasi permanentes avec le cabinet de Madame le Maire et les autres services du LAPD.
Apparement c'est pas de la tarte...
En l'absence relative d'Hawkins, c'est le sergent Thomas O'Doole, que tu connais déjà bien sous le nom de "Sniper" qui gère les affaires courantes de la section.

D'ailleurs ce matin, le collègue, mué en aboyeur de circonstances, vient te voir.
Y=Tu as pu remarquer qu'il a ce qu'on peut qualifier une tête des mauvais jours. L'homme taciturne -que tout le monde connait pour sa froideur et son calme souvent salvateur- semble plus renfrogné que d'habitude.

Mais ça ne semble pas dirigé contre toi. Il vient seulement te remettre une missive de la part du capitaine.

Il reste face à toi le temps que tu la lise et te dis qu'apparemment tes souhaits ont été exhaucés.

"Détective trejo,
Vous m'avez demandé voilà quelques semaines la permission de travailler épisodiquement avec le détective Cortez pour l'éapuler dans son travail sur les crimes rituels.
Actuellement, le binôme de Cortez étant indisponible j'ai décidé de vous mettre à travailler avec lui dans le cadre de sa nouvelle enquète.
Cette affectation temporaire est justifiée par l'intérêt du service et prend effet immédiatement.
Je vous laise voir avec lui l'organisation de votre collaboration."
Capitaine Jason Skripnick

Oh, mais quelle joie de travailler avec Domingo, non ?

pandore a écrit:

Oh, mais quelle joie de travailler avec Domingo, non ?

eh oui je commence à me servir de plus en plus de persos différents, il me faut le temps, gérer un tel effectif, c'est pas si facile... :P

Trejo reposa le mémo que O'Doole avait posé sur son bureau. La tronche de deuil de son nouveau jefe n'avait pas attendu la fin de sa lecture pour se barrer... tant mieux. En repoussant sa chaise, il écarta d'un coup de rangers sa pile de dossiers qu'il devrait rendre un jour à Stripnick. D'une main, il chercha une clope dans sa veste, rien, dans son tiroir, rien, sous la pile, rien... Sentant un regard malicieux posé sur lui, Trejo se retourna. Keller le comtempla la mine triomphante avec dans sa main son dernier paquet. Cette pendeja l'avait encore. Je paris qu'elle a même laissé une clope dedans... Mierda, Putain de pari...! Bon pas de fumée, il lui restait quand même le feu... AAhhhh, Bon choix que ce Old Potrero. 45° pour cet unique whisky 100% seigle, un vrai goût de Californie. Le liquide finissait de brûler ce qui lui restait d'œsophage quand un rayon de soleil eclaira sa flasque. Le visage d'Ana-Lisa se mit alors à scintiller comme un millier d'étoiles.

Ces mêmes étoiles que l'on pouvait admirer dans ce ciel de jais, loin dans son coin desert. 40m2 de sable brulant. 40m2 de scorpions et autres serpents. 40 m2 sans une putain de verdure à part les quelques cactus qui bordaient son mobil-home. 40m2 loin de la Grey plaque, de ce Fog californien, de cette horreur quotidienne qu'il cotoyait tous les jours. 40m2 de paradis depuis peu. Un havre de paix dans un maelstrom de haine. Putain qu'il était bien. Il décrocha son téléphone.

"Hola querida, esta mi. Retrouves-moi devant le bureau ce soir à 20h00, je t'offres le resto. Il fait que tu vois le Bunker... Hein, non pas un blocao. C'est un resto pas une fortification, tu crois que j't'invites pour jouer à la guerre ou quoi ?... Mais oui je sais que t'essayes de faire des progrès en Californian. Allez esta noche,"

Trejo se leva d'un bond et fila vers le bureau de Domingo. Il eut juste le temps de remarquer que le bureau de Jericho était vide, propre mais vide. Ca expliquait la tronche de ses collègues de ce matin alors. Si ils avaient pas leur café-muffins du matin, ils broyaient tous du noir, zamacucos. Ouais mais alors Hawkins n'ont plus n'avait pas eut sa ration du matin. Cette seule pensée l'emplie de bonheur pour la journée...

Les COPS présents au Central ce matin se demandaient bien pourquoi Trejo d'habitude si taciturne, sifflotait aujourd'hui arborant avec fierté un grand sourire sur sa tronche.

Danny croisa en arrivant au bureau officiel de Cortez l'éternel pré-ado du service, Sanchez.

Celui-ci, toujours décontracté, même en tenue, attention, ami lecteur, il reste toujours classe quand même- c'est dans sa nature.
Coiffé en pétard, très tendance, collier exotique autour du cou, il était suspendu à son téléphone.
Avec l'évolution des technologies, il aurait plutôt fallu dire que c'était son téléphone qui lui était greffé, mais il en était tellement dépendant au quotidien que l'expression primordiale lui allait comme un gant.
-"non, j'peux, pas, pas ce soir, ma belle , je suis... comme qui dirait occupé, ouais c'est ça occupé... non... j'ai pas d'autre nana dans ma vie en ce moment, mais OUI je suis pas dispo ce soir, je te rappelle dem...
eh merde..."

S retournant vers Trejo avec un air légèrement embarassé :
-"tiens salut Danny, euh... ça va ? Tu cherches Desperado c'est ça ? Je crois qu'il doit être dans son second bureau, celui qu'on lu a octroyé ainsi qu'à certains autres pour ce qui est des crimes un peu plus... bizarres, atroces, brefs malsains que d'habitude...
(baissant d'un ton)
Remarque, bon courage, la dernière personne avec laquelle il a partagé son bureau était sa coéquipière, the brain.
Depuis qu'elle s'est barrée, il a du mal à se remettre d'applomb... ça doit être sinistre là dedans.
Je crois qu'il n'a accepté ni son départ, ni leur rupture, mais bon tu t'en rendras bien compte par toi-même..."
Le téléphone de Sanchez sonna, ce dernier prit alors un air des plus sérieux.
-"oui, détective Sanchez, bien, j'arrive"

Sanchez s'éloigna ensuite rapidement après lui avoir expliqué comment trouvé l' "autre" bureau de Cortez.

Trejo regarda son collègue se barrer en pensant que ce con ferait quand mieux de s'occuper parfois plus de son boulot que de ses affaires de coeur... Enfin bon... Face à lui, la porte du bureau de Domingo Cortez. Pas un bruit ne s'échappait du bureau. Comme à son habitude, El Mexican pénétra dans le bureau après avoir martelé la porte de ses poings de boxer. L'intérieur respirait la joie de vivre. Les persiennes étaient baissées et seul une faible lueur pénétrait dans la pièce la baignant dans une étrange ambiance. Loin de Los Angeles, on se serait plutôt cru dans un bar à Hashich de New Delhi. Deux tables se faisaient face. L'une impeccablement rangée, les dossiers en pile parfaite, les crayons au garde-à-vous dans leur pot et pas la moindre trace de poussière. Son vis-à-vis était clairement son opposé. Les post-its cotayaient les feuilles éparses, diffférentes photos dans un joyeux bordel digne de la fête de la Morena. Le mur de droite était constellé de cadre. En s'approchant, Trejo reconnu celui que l'on appellait Domingo. Il était tantôt avec un mexicain à la moustache impeccablement taillée gratouillant une vieille guitara, tantôt avec une femme blonde au physique agréable quoique trop lisse pour lui. Le couple brandissait fièrement leur insigne de COPS comme un trophée. La photo la plus récente représentait une femme rousse au forme sculpturale mais au regard d'acier. Son sourire évoquait l'assassin des profondeurs, d'où le fait que son pendentif était sertie d'une dent de requin..

Mouais bon, toujours pas la trace de Cortez. En se retournant, Trejo se figea quelques secondes ; d'effroi ou de surprise, il ne saurat le dire. Les fins filets de lumière achevaient leurs courses sur la grande vitre sans-teint du bureau. Sur celle-ci des photos, des anotations à même le verre et un plan de Los Angeles épinglé par une multitudes de punaises multicolores. Rien de nouveau sous le soleil des COPS. Non, rien ; à l'exception du fait que la lumière tamisée ne faisaient ressortir que certains détails des photos : des yeux pleins de vie, un sourire de joie, des visages d'innocence se confondaient avec des traces de sang, des regards éteints et des scènes de crimes. Cette juxtaposition de vie et mort, voilà ce qui avait dû bloqué Trejo.

Malgré sa longue carrière dans les deux camps de la Justice, jamais il n'avait été confronté à ça. La mort, il y était habitué ; habitué à la donner aussi, Mais sa violence à lui était simple. Une balle dans le buffet d'un dealer, une fusillade avec des hommes de mains d'un cartel, un reglement de compte, ça s'était son quotidien. Simple, passionné, humain. Mais là, sur ce mur de photos, la Mort était orchestrée par un réalisateur macabre. Il jouait et il devait en tirer plus qu'une jouissance. Este loco ballaba con la muerte .

Maintenant, il savait pourquoi il voulait bosser dans ce service...

glups !!
en tout cas je vois que certains persos officiels adorés de Pandore prennent vie dans vos parties, je trouve ca vraiment bien....
Mais la collab entre les latino/mexican risuqe d'etre houleuse je pense

fablyrr a écrit:

glups !!
en tout cas je vois que certains persos officiels adorés de Pandore prennent vie dans vos parties, je trouve ca vraiment bien....

mais c'est tout naturel, qaund on aime ce que font les autres on finit toujours par s'en servir !...
suffit juste de toruver le bon moment pour les introduire dans les parties !

Citation :

Mais la collab entre les latino/mexican risuqe d'etre houleuse je pense

y'a des chances... mais ils peuvent aussi pas mal se compléter -même si c'est pas de grands causeurs devant l'éternel... :P

Ailean a écrit:

Ouais mais alors Hawkins n'ont plus n'avait pas eut sa ration du matin. Cette seule pensée l'emplie de bonheur pour la journée...

Oh le vilain pas beau
Tu vas laisser MON Hawkins en paix !

Layleen a écrit:

Tu vas laisser MON Hawkins en paix !

eh eh eh eh decidemment Hawkins et Trejo, une vraie histoire de :tend:

Le bureau était effectivement en bazar, du côté ou il semblait rester encore un semblant de vie.
L'ambiance était lourde, le bureau tel qu'il se présentait semblait réclamer quelque chose, une présence qui lui avait tant tenu à coeur, c'était comme si la bonheur qui avait pu envahir ces lieux à un moment donné était en train de s'étioler sans qu'on puisse rien y faire...

Pas de photo d'affaires en cours sur le bureau de Domingo, queques dossiers, fermés quoique pas rangés avec grand soin.
La fait que les dossiers soient avant tout fermés donnaient à Danny l'impression que Domingo essayait tant que faire se pouvait de les laisser fermés quand il daignait enfin les abandonner, pour rentrer chez lui ou décrocher...
Seules les photos au mur montraient l'horreur qu'il côtoyait.

Et justement, alors que Danny était en train de revenir sur ces morceaux choisis -si j'on pouvait ainsi les nommer- la porte s'était ouverte et son coéquipier de circonstances se trouvait dans l'embrasure...
Les traits tirés, le visage sombre, mal rasé, le détective Cortez avait vraiment une tête de déterré.

Il regarda Danny avec circonspection, comme si il était en train de les sonder, lui et ses intentions...
Puis il se ressaisit, rompant le lourd silence qui avait glacé un peu plus la pièce, avec un salut de la tête :
-"Trejo... je suppose que si vous êtes dans mon fief c'est nécessairement qu'on vous y a convié...
Et ça ne peut pas avoir été fait par hasard... le lieutenant vous a certainement envoyé pour me filer un cooup e main qu'il souhaite m'imposer depuis plusieurs semaines..."

Il réfléchit encore un peu avant de regarder Trejo avec un air adouci, conciliant.
Il lui balança alors une enveloppe Kraft d'une manière désinvolte :
-"Bienvenue, collègue... première mission : on a retrouvé plusieurs corps mutilés dans des collecteurs d'égout ces derniers jours, ça vous botte ?"


***une petite suite avec les précisions utiles tout à l'heure...***

-"ça vous la coupe, Trejo ? moi je reçois des choses comme ça tous les jours"

Effectivement le spectacle était fort peu ragoûtant : on voyait 2 cadavres à divers stades de décomposition.
Apparemment 2 asiatiques plutôt jeunes qui avait pour caractéristiques principales le fait d'avoir les bras et jambes sectionnés et la cage thoracique littéralement défoncée, ouverte par un biais non encore identifiée.

-"apparemment on a trouvé ces 2 corps dans des endroits paumés des égouts de Montebello et Alhambra.
Reste à aller voir les corps et voir avec la scientifique ce qu'on peut en tirer...
Toujours d'attaque, Trejo ?
Le melting-pot hispano-asiatique nous attend..."

mendoza a écrit:

-"ça vous la coupe, Trejo ? moi je reçois des choses comme ça tous les jours"

"T'es gentil mais t'es pas entrain de parler à un Bleu qui sort juste de ses classes. Alors compte pas sur moi pour larga el chivo (dégobiller) au premier macchabé... Bon pour revenir à notre affaire, evidemment que je suis partant. Allons-y, on va pas echar una parrafada (tailler une bavette) dans ton bureau. Y'a une enquête qui nous attends..."

Trejo et Domingo flièrent donc vers ces scènes de crimes à la lueur du soleil naissant sur la "belle" cité des Anges.

Pas mal, cette exposition de sushi mode burritos!
La suite!

Domingo regarda Trejo avec une lueur malicieuse dans le ragard qui pouvait surprendre tellement ça contrastait avec son entrée en scène.
-"exactement ce que je voulais entendre, Trejo, bienvenue en enfer...
On a 2 gabarits pas trop compatibles pour ma moto, j'espère que t'es garé pas loin"

Alhambra, 35 mn plus tard. Contrairement au nom du quartier, au même titre que Montebello, plus vraiment grand chose d'hipanique, un quartier industriel et industrieux ou les odeurs de cuisine asiatique avaient remplacé celle des burito et des fajitas.
Un endroit aussi ou les grands hangars informes et ou les blocs avaient remplacé les vestiges de ces anciens quartiers hispaniques...

On cherchait les voitures ici, à part les camions venant livrer les usines ou les véhicules de société, les résidents se déplaçaient essentiellement à pied ou à vélo.
Ci et là, dans les endroits les mieux exposés on trouvait aléatoirement trace de quelques petites petites communautés hispaniques.
Mais dans ce quartier l'hispanique n'était plus la bête de somme supposée.
Il était celui qui avait réussi et avait été remplacé par les esclaves d'orient.

Peu commun dans le reste de la californie ni de la ville, ce tour de force n'avait rien d'impressionnant en fait puisque la majorité des hispaniques -les exclus du rêve américain californien habitaient dans d'autres ghettos au moins aussi sordides...

L'entrée de l'usine de traitement des égouts attendait nos 2 COPS, un gras chicano gonflant de son ventre bombé sa tenue de contremaître des services d'assainissement de LA accueillant plein de transpiration nos 2 hommes une barre chocolatée en main.

Trejo se pointa devant le contremaître. Certes il le dominait en largeur mais Trejo faisait quand même une tête de plus que lui et il se servait de cet écart.

"hola, pichi (salut, mon pote), on va pas t'empêcher de vaquer à tes occupations très longtemps car je vois que tu es quelqu'un de très occupé. Dit-il en fixant sa barre de Snickers. Alors je suppose que c'est toi qui a trouvé les corps ? Donc tu vas gentiment noter sur ce papier tout ce que tu as vu et on va se quitter bon ami. Allez a más ver (tchao)".

Trejo savait très bien que l'on ne pouvait jamais rien tirer de ce genre de mec. De un, soit il avait déjà eut des problèmes avec la guripa donc le moindre uniforme et il se taisait. De deux, il avait le cerveau de la taille d'un poisson rouge et se rappeller de ce qu'il avait bouffé la veille était déjà un exploit. Trejo espérait au moins que ce pendero n'avait pas trop salopé la scène de crime. Pendant que Domingo tatassait avec le contremaître (perte de temps), El Mexican commença à annoter la scène. En suivant la procédure de ses stages en criminologie, il rechercha les traces de pas dans la boue des égoûts, les éléments etranges et toutes ces petit détails qui permettent d'elaborer un début de piste.

Ceci fait, il ne lui restait plus qu'à passer un petit coup de fil.
"Hola pochola, (salut Mignone) je vais t'envoyer deux corps de deux jeunes asiatiques démenbrées et à la cage thoracique défoncée par un objet non identifié. Tu me passes ce dossier en priorité... Oui maintenant je peux faire passer mes dossiers en priorité... Regardes ma fiche et tu verras dans l'alinéat stage que ton pestiño (emmerdeur) est de niveau 3 en criminalistique... Oui je sais que je te dois encore 27 restaurants par rapport à ce que je te dois par rapport à tous les services que tu m'a rendu depuis que tu es au COPS. Tiens justement ce soir, t'as qu'à passer chez Ed, j'aurais quelqu'un à te présenter... Comment ça qui ? Non mais tu sais pas que la curiosité est un vilain défaut. Si tu veux le savoir viens ce soir... Non, j'en dirais pas plus et puis je te rappelle que tu vas avoir du boulot avec ce que je t'envois alors bosse."

"Bon Domingo quand tu auras fini avec Monsieur, on a deux jeunes filles qui nous attendent..."

hihi
pas facile a cerner entre humour et casse bonbons le Trejo

fablyrr a écrit:

hihi
pas facile a cerner entre humour et casse bonbons le Trejo

C'est ce que j'adore avec lui

oui avec un super nom de code MF-MR

Mi Figue Mi Raisin

Lauren venait de raccrocher son téléphone et essayait tant bien que mal de se remettre à son travail, en attendant les éléments que Danny n'allait pas tarder à lui faire parvenir.

"Encore une fois il me mène en bateau, il me promet un restau et moi je vais bosser pour lui, juste parce qu'il sait m'appater avec ce dont j'aurai vraiment besoin, qu'un enfoiré de mâle m'invite à manger, à sortir...
merde tiens..."
Elle se repencha de nouveau sur le cadavre qu'elle épluchait consciencieusement :

"homme de race blanche, entre 30 et 35 ans, tué par balles dans une fusillade. S'est trouvé apparement au milieu d'une altercation entre 2 gangs.
Les papiers trouvés sur lui nous ont indiqué qu'il était marié, avait un bon job et était père de 3 enfants"
(et pis merde, tous les types avec qui je traîne sont toujours soit morts, soit maqués ou les 2, avec un environnement pareil, je risque pas de me trouver un mec bien... Déjà pour ça faudrait que je sorte.
On verra bien ce soir...)

Elle repensait affectueusement à son ami Danny. Non, il ne l'aimait pas mais elle savait qu'il l'appréciait et il avait ce côté protecteur et rassurant qui faisait que Lauren aimait bien l'avoir à ses côtés.