[Last Day]Scénario 1 : première partie

Bonjour,

Vu que Ash a parler de son jeu ici, je me permet de mettre le résumé de partie de la première séance qui décris la rencontre des joueurs. Dans la deuxième partie qui est en écriture le scénario prend son envol et se termine d'une façon assez particulière.

N'hésitez pas a me donner votre avis sur ce résumé de partie ou bien ç Ash pour son jeu. Ça fait toujours plaisir.

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Jdr amateur de Ash. Système : DK système.
L'histoire qui vous est racontée est faites à l'envers, tel le film memento, le personnage qui raconte (whilliam alias khiguard) n'a pas de souvenir à cours terme, il oublie au fur et a mesure ce qu'il se passe. L'histoire est raconté à l'envers, mais le jeu c'est bel et bien dérouler normalement.

Je cours dans une rue, comme paniquer par quelque chose qui pourrais me rattraper. La rue est une rue marchande au nombreuse vitrine et au couleur vive et clignotante. Derrière moi un immeuble incendiée et ravagé. Un ancien café apparemment transformer en enfer de flamme et de mort par je ne sais pas quel évènement diabolique. Une explosion retentit derrière moi. Surpris, je me retourne, ça viens de la maison dont je viens de partir apparemment.Une homme au visage étrange, suivis de ce qui semble une jeune prostitué viens de la quitter calmement, en marchant, sans ce retourner, même lors de l'explosion. L'homme qui semble habiller en prêtre s'arrête, pousse doucement la jeune fille quand une Grosse armoire, fut projeter par l'explosion entre le jeune couple et s'encastre dans le sol, debout, face à l'homme qui n'a pas sourcillé par cette évènement. Il ouvre l'armoire et sort d'un des costumes encore accrocher dedans, un paquet de cigarette qu'il allume promptement sur une flamme qui léchait l'armoire. Il fait quelque pas et se met a genou, les main diriger vers le ciel et crie :
- «Merci seigneur pour tes bienfaits!»
«Hou la, je suis en enfer!»
Je fouille mes poches et tombe sur un mot écris de mes mains : «Si tu vois le prêtre, tu cours»
Je décide de marquer 'ce gars est fou! danger!' sur le post-it puis de courir loin d'ici.

A l'abri je regarde ma main, elle est bandée.
«Ou est-je fait cela? Et comment»
Je regarde mon poignet, écris à l'indélébile, marque que c'est important mais temporaire, mon nom: Williams. Hum, oui, j'aime bien. J'ai un petit problème: depuis un accident, j'ai perdu la faculté d'enregistrer les souvenir dans ma mémoire à cours terme. Depuis ce jour funeste ou cet accident m'est arrive, la seul chose qui me fait avancer, c'est de me venger de l'horreur de ce qui c'est passer.
Je trouve une photo de mon hôtel dans une autre poche, je connais l'adresse, je décide donc de m'y rendre pour me reposer, je ne sais pas ce qu'il c'est passé cette journée, mais j'ai l'impression d'être passer dans une machine à laver.

…Noir…

Je tombe mollement sur le sol. J'ai mal a toute les articulations. Je suis complètement nu, je sens le parquet vieux et sale de la chambre dans lequel je me trouve.
«Ou suis-je?»
Je relève la tête, la je vois a quelques centimètre de mois, une tête d'un mec affreux, les dent sale, une tête de tueur à gage qui me souris de toute ces dents cariées et me parle:
- «Je suis ton ami, je vais te protéger maintenant»
Je regarde interloquer autour de moi, une jeune fille qui semble avoir fait le trottoir depuis un moment se trouve à quelques mètre de moi, un flingue a la main, en gémissant des mots incompréhensible. Je me relevé, et la jeune fille s'approche d'un coup et hurle: - « Il faut partir maintenant, il vont te tuer si on reste»
- «Ok, on s'en vas»
Et je le vois jouer avec une grenade dégoupillé dans la main, la je sens qu'il est vraiment temps de partir, mais peut être pas avec eux. Je le vois préparer un dispositif pour retarder la grenade, la jeune fille met des affaires dans un sac, moi je m'en vais dans la salle de bain pour m'habiller.
Après avoir enfiler mes affaires je fouille mes poches, j'y trouve un papier marquer «Si tu vois le prêtre : cours». J'entend les voix des curieux personnage dans l'autre pièces:
- «Dépêche toi ma fille, prenez le stricte nécessaire, Dieux est avec moi et je suis la pour vous protéger» «C'est lui?! Je doit m'en aller au plus vite.»
Je regarde autour de moi, une fenêtre s'ouvre vers la rue. Par chance on est au rez de chaussée. Je l'emprunte et me retrouve sur le pavé. Je regarde autour de moi. En face, un vieux bistrot en feu avec des cadavre partout dans la rue, quelques personne qui cours et quelques survivant qui quitte le désastre en rampent.
« Mais il y a eu la guerre ici!»
Je me décide donc de courir dans une direction, le plus loin possible de cet asile.

…Noir…

J'ai mal à la tête. Elle me lance et chaque mouvement est douloureux. J'ai l'impression qu'on m'a frapper à la tête. J'ouvre les yeux et la je tombe sur un spectacle d'horreur:

Une tête d'un homme d'un age incertain me regarde en souriant de ces dents jaune et cariée. Il me regarde d'un air sadique. Son visage est affreux, a faire peur aux enfant dans la rue. Il me sourit? Pourquoi? Je me rend compte que je suis bailloné et attaché au plafond, saucissonné et pendant à 30 cm du sol, nu comme un vers. Mais que m'arrive t'il?
La pièces ou je suis accroché a un crochet de boucher était, me semble t'il, au premier coup d'œil, d'être une chambre louée dans un quartier défavorisé. Lle parquet en bois, datte certainement de plusieurs décennie.

- “Bon, maintenant tu va parler!” Me dis t'il d'une voix rauque. Et il me met un coup de poing dans le ventre qui me coupe le souffle.

J'essaye de hurler, mais le baillons étouffe mes cris. Je me rend compte avec horreur que je suis son prisonnier et qu'il a bien décider de me torturer jusqu'à ce que lui dise ce qu'il veut savoir. Le problème étant que je ne sais sans doute plus ce qu'il désire.

Il me donne 2,3 coups de poing, et puis me retire mon baillons avant de se dresser devant moi, les poings près a me savater les cotes.

-“Qui est tu? Et pourquoi a tu tuer toutes ces jeunes filles?” Me dis il en me souriant en ouvrant grand sa bouche et en me faisant sentir à son haleine d'égout.
-“De quoi parler vous?”
Il me reins quelques coup de point puis pris mon bras droit et me le montra en me le tordant:
-“Et ces nom de jeune filles tatouer sur ton bras, ces 7 noms sont 6 barrés.”
Je regardes avec stupéfaction mon bras tatoué ou effectivement, ces tatouages étrange recouvre tout mon avant bras.
Je balbutie que je ne comprend pas, que je me souvent pas de ce que ça fait la et pour me récompenser, je me pris quelques coup de pied bien placer qui me fit taire pour de bon.

C'est la que je vois une jeune fille qui devais être rentrer pendant ma dernière correction, une jeune fille magnifique mais dont les larmes pointent le long de ces yeux magnifique. Elle lit les noms sur mon bras… Elle crie le nom de la dernière qui est barrée et dont l'ancre semble encore fraiche tellement elle est récente.
-“Ma meilleur amie!!!” Crie elle avant de s'enfuir par une porte.

Sur ce, après cette interruption, l'homme continue sont labeur et me frappe encore de plus belle.
Je le supplie d'arrêter, il s'arrête pour reprendre sa respiration. J'en profite pour lui expliquer mon histoire: que je suis sans souvenir a cours terme, que je me souviens pas de ces femmes, ni de comment ces tatouages sont arrivé la. Que c'est surement un complot pour me faire porter le chapeau. Mais tout ce que l'homme sombre fait, c'est de me sourire sordidement. Il ne me crois pas apparemment. Il me pose un main sur mon épaule, sans doute pour prendre son élan pour me frapper de plus belle. Mais son regard est attirer par quelque chose derrière moi. Il va dans mon dos et me touche ma nuque qui est étrangement douloureuse.
Il se replace devant moi, son expression a changer.
-“Nous allons être amis.” Dis t'il d'un air tout ce qu'il a de sérieux.
Je ne comprend plus rien. Et avant que je puisse ouvrir la bouche, j'entends une détonation d'arme à feu, derrière moi, un trou venait de ce faire dans le mur.

Je regarde vers l'endroit d'où venait le coup: la jeune fille viens de me tirer dessus avec une arme.
-“assassin, tu a tuer ma meilleur aime” me crie elle en tremblant de rage en pointant son magnum devant moi: “je vais te tuer!”
Et elle retire une nouvelle fois, me manquant par la grâce de Dieu. Je suis tétaniser: je suis attacher sans aucune manière de bouger et elle est devant moi, a moins de 5 mètres, essayant de me tuer. Je vais mourir!
L'homme essaye de l'arrêter mais elle semble frénétique et elle cours partout avec l'arme en essayant de me tirer dessus a chaque fois qu'elle s'arrête. Je vais mourir!

On frappe à la porte. L'étrange homme a réussis a reprendre l'arme de la jeune filles qui c'est écroulée en pleurant. Il ouvre la porte et découvre une bande de 4,5 individu louche.
-“On a entendu des coups de feu ici, c'est notre quartier, qu'est ce qu'il se passe?” Dis un jeune homme bien habillé. Les hommes qui l'accompagne semble par contre, d'être des racaille de la pire espèce.
Le prêtre les remballe en prétextant qu'il fait ce qu'il veut chez lui. Ca ne plait pas trop ont homme de main qui sorte une arme et la, tout s'accélère :
Le prêtre sort le flingue qu'il avait confisquer à la jeune fille et qu'il avait mis dans son dos et menace le chef du groupe de le butter si il ne s'en va pas. S'ensuit une discutions pour qui serais plus méchant que l'autre et qui descendrait le plus de personnage si l'autre ne capitulais pas. Le chef du groupe, diplomate, essayait toujours de calmer l'affaire mais en vainc.
Mon kidnappeur sort de son pantalon une grenade qu'il dégoupille et jette la goupille au visage du groupe d'individu louche. Leur visage change de couleur et ceux qui était en retrait, tourne déjà les talons.
A ce moment, un bruit de vitre cassée retentit, les mafiosos ce retourne et je peut appercevoit un homme qui venait de passé a travers une vitrine et en se relevant, regardait dans notre direction. Il se mis a courir et l'endroit d'où il sortait explose en projetant à terre plusieurs personne qui marchait dans la rue. Les bandits coururent vers le lieux de l'incident en criant “Notre planque!!”
Et mon fou de kidnappeur, tenant toujours la grenade claque la porte et se tourne vers moi et la jeune fille et dis:
-“On doit partir!”
Il prend un couteau et coupe la corde qui me lie les bras

…noir…

J'ouvre les yeux, je ne vois rien, il fait noir. L'obscurité m'entoure, m'étouffe. Je suis sur un sol humide et froid, j'essaye d'habituer mes yeux à cette noirceur mais sans succès. Je me lève tout courbaturer et je me cogne à une porte.
Je fouille mes poche et je peut y deviner un appareil photo, mon appareille photo numérique fétiche , qui me permet de photographier les choses importantes de ma vie pour m'en rappeler, ma nouvelle mémoire. Et, sans savoir ce que ça fait la, je peut sentir un enregistreur audio au creux de ma poche.
En scutant un peu l'endroit ou je me trouve, je peut entrapercevoir, une légère fente lumineuse de l'autre coté de la pièce.
Je me dirige vers elle en saluant ma bonne étoile de me laisser ainsi de quitter cette endroit sordide quand j'heurta du pied un objet non identifier qui produis un rauque peu rassurant.
Je fouille mes poche pour trouver à taton un briquet ou autre chose dans le genre, je devais me contenter de l'enregistreur et de mon appareil… Mon appareil photo avec flash…
Je le pris d'un coup, et sans reflechir, j'enclanchais le flash et me décidait a faire un shoot photographique pour voir la pièce et surtout l'obtacle étrange qui était à mes pied.
De flash en flash, a une vitesse frénétique, des éclaires d'une blancheur aveuglante me firent apparaitre la scène de l'horreur: L'objet a terre était un homme blesser à mort. le visage arracher, les articulations aux angles étrange dont certains os saillant rendait le spectacle encore plus insoutenable. Le liquide au sol, le liquide qui avait impregner tout mes vetement, c'était son sang! Le pire c'est que chaque flash me montrait plus de détaille jusqu'à ce que je me rendis compte que l'homme ainsi mutilé était encore bien vivant et me fixait de ces yeux apeuré.
Le tout était ritmer d'éclair blanc qui en dévoilant le spectacle, me soulevant le coeur mais en même temps, me cela me paralyse et ne me permet que d'appuyer frénétiquement sur ce maudis flash. Jusqu'au moment ou j'eus un haussement de cœur plus violent que les autres qui me permis de m'extirper de la vision horrible de cette pauvre victime agonisante.
Je cour vers la faible lumière au bout de la pièces et fonce dedans m'enfuillant le plus vite possible de ce cauchemar.

Je tomba sèchement sur un sol en béton. Je ne regardais que vaguement autour de moi. J'étais sortis de cette enfert et je me permis quelques minutes de repos pour récupérer.
Un homme approcha
-” Vous aller bien monsieur”
Je regardait : Un pretre. Une sale tête sortait de ce que l'on pouvait nommer “l'habit typique des pretres. Robe noir, col rouler.
Toujours à genous, je prrend l'innitiative de fouiller mes poches pour regarder mes photos, recentrer mes souvenirs.
Je tombe sur un mot : “Il est dans le mur”
“Etrange, ou est ce que j'ai eu ce mot?”
Et la, je tombe sur un photo de pretre, la même sale gueule que le type a coté de mois. Je la retourne pour voir le commentaire que j'ai apposé dessus :
“Fait attention, il est dangereux!”

Je me retourne pour le voir. Il tiens en main un crusifix très lourd et très volumineux qu'il abat sur le sommet de mon crane. Je suis de nouveau dans l'obscurité qui m'entoure, qui m'étouffe.

…noir…

Je suis assis sur un banc, dans une rue piétonnière, ou de nombreuse personne passe de vitrine en vitrine, regardant les marchandises étalées. Je regarde un appareil électronique qui se trouve dans mes mains: un enregistreur.
“Qu'est ce que je fait la?”
Mon bras me brule légèrement, je le regarde, et la, je vois une liste de plusieurs nom de femme. L'avant dernière est barrée, fraichement tatouée. “Qu'est ce que c'est cela?”
Au bout de ce bras, une main dans des bandages, elle aussi est légèrement douloureuse. Je me suis fait cela récemment. Je fouille mes poches, et la je trouve, stupéfait, des photos de femme pleine de sang, qui sont parfois égorgée, qui sont torturée. Je suis horrifié! “Dans quoi sois-je mêler? Est ce moi qui ais fait cela ou voudrais t'on me le faire croire?”
Je déchire les photos quand une voix me parviens:
- “Hé william, te voila!!”
Je cache les bout de photo dans mes poches.
- “Ha william, il faut absolument que tu viennen on a besoin de toi”
Je le regarde interloquer et je lui demande:
- “On se connais”
“William??”
Je regarde mon bras, ou ce nom est indiquer au marqueur indélébile.
“Ben oui, tu plaisante non? on a pas le temps, c'est urgent.”
Je fouille mes photos importante ou je retrouve la sienne éparpillée avec d'autre. Apparemment je le connais effectivement et aucun commentaire sur la photo, signe que je n'ai rien a lui reprocher… mais également que je ne le connais pas assez.
Je le regarde rassurer et lui demande:
-“Tu a besoin de moi pourquoi?”
-“Une de nos filles à été tuée…“
Je ressers les morceaux de photo dans ma poche…
-“Et on crois avoir trouver le coupable, il nous faut les arme que tu cache dans ton coffre”.
-“Ha oui… Tu sais ou ce trouve le coffre? Tu viens avec moi?”
Je lui demande surtout cela car je ne sais pas de quel coffre il me parle.
La il part devant, je le suis. Un moment je fait semblant de refait mon lacet, et je jette les bout de photos déchirée dans les égouts. Me voila débarrassé de ce problème.

Nous marchons quelques minutes et il me fait rentrer dans une cave assez sordide, dont la porte d'entrée ce trouve sur la rue.
Il me guide pendant quelque mètre, dans un mur, ce trouve un coffre de plus de 2 mètres sur 2 avec un système digital d'ouverture, il est surement très protéger.
Je le regarde, j'attendais qu'il l'ouvre. Il me regarde, patiente quelques seconde avant de me demander:
-“Tu ne veut pas l'ouvrir?”
Je le regarde surpris, et fouille un peu mes poches, je trouve une photo de ce coffre avec le code apparemment à son dos.
-“Ha escuse moi, je l'avais oublier”
Il souris, l'air polis et me montre le coffre, l'air presser.
J'execute le code qui ouvre bel et bien le coffre et je l'ouvre.
Je suis surpris du contenu, des tas d'arme sont entreposer dedans, de quoi lancer une guerre. Sur le dessus d'un tas d'arme, une feuille de papier. Je la prend et la lis :
C'est lon ecriture et cela dis:
“Fait attention, il vit dans les murs”
A ce moment, s'entend un bruit étrange dans les murs, un mal de crane m'envahis et me fait chanceler. La lumière s'éteint surprenant mon nouveau compagnon et je tombe au sol, plier de douleur par ce mal qui m'as pris soudainement.

…noir…

-“Tenez”
Je regarde devant moi, un marchand un peu bigleu me donne un sachet de pille. Je suis dans un magasin, une quincaillerie pour être précis. Une petite boutique perdu dans le fond d'une ruelle il semblerait.
Je le regarde interloquer puis je lis le message que je me suis écris au bic sur le dos de la main gauche :
“Achete des piles pour l'enregistreur”
Je le remercie et lui paye son du. Alors que je lui donne l'argent, je regarde ma main droite qui est bandée et me fait encore mal. Apparemment je me suis blesser il y a peu.
Je quitte le magasin et fouille mes poches pour trouver ou je dors aujourd'hui, et avec la photo de ce qui semble être mon hôtel, le plan de l'hôtel pour venir jusqu'ici et un mot écris par moi:
“Tu doit écouter l'enregistreur, c'est important”.
Je jette le mot, j'efface le message sur ma main gauche. Puis, je décide de mettre les piles dans l'enregistreur qui semble être dans ma poche et je poursuit mon chemin en direction de mon hôtel.

…noir…

Je suis assis dans des fauteuils assez confortable, dans un hall d'entrée. J'ai dans la main gauche un plan dessiné sur un papier de ce qui semble être de cet hôtel, dans ma main droite, qui est bandée mystérieusement, ce trouve un enregistreur. Je regarde ma main gauche et droite alternativement, je ne sais pas pourquoi je suis la, ni ce que ces objets font la.
-“Vous aller bien monsieur? ca fait 10 minutes que vous êtes assis la.” demande un employer de l'hôtel.
-“Heu… Je ne vous aurais pas demander quelque chose?”
-“Oui, vous m'avez demander ou ce trouve un magasin pour acheter des piles”
-“Ha oui!” je regarde le plan, voila ce qu'il représenter, le trajet entre l'hôtel et le magasin.
-“Je ne vous aurais pas demander de m'en acheter aussi au cas ou?”
-“Si, vous l'avez déjà demander… Ca va monsieur, vous aller bien”
Je lui répond un oui négligemment, je prend un bic et je note sur ma main gauche “Achete des piles pour l'enregistreur” Je remercie l'employer et je sort de l'hôtel.
Je suis le plan et me dirige vers le magasin, arriver la bas, c'est un petit magasin pas très rassurant. A l'intérieur, un vendeur a l'air patibulaire qui me demande ce que je veut.
Je lui demande gentillement des piles pour l'enregistreur en lui montrant l'appareil avant de le remettre dans la poche. Il part fouiller dans son arrière boutique en quête de ces piles, je le regarde revenir…

…Noir…

Le réceptionniste d'un hôtel me regarde, je le regarde sans savoir ce que je fait la.
-“Monsieur, vous désirer autre chose?” me demande t'il?
-“Vous pourriez me répéter ce que je vous ais demander?”
Le réceptionniste avance un papier qui est devant moi et qui représente un plan.
-” Vous m'avez demander un plan pour aller dans un magasin, vous aviez besoin de piles”
-“Pourquoi j'aurais besoin de pile?”
Le réceptionniste à l'air interloquer par ma réponse.
Je fouille un peu mes poche et je trouve un enregistreur et un mot disant “il faut que tu écoute l'enregistreur, c'est important”
-“Ha oui! pour cela. excusez moi.”
Je prend le plan et le regarde, ça n'a pas l'air très loin. Je demande à l'employer du bureau:
-“Pourriez vous me rendre un service, et m'en commander un peu, au cas ou j'aurais pas le temps d'y aller?”
-“Bien sure monsieur”
Et je me retourne bien décider à aller chercher ces piles.

…Noir…

Je sort de ma chambre, je la ferme à clé.
“Que fait-je ici? Ou vais-je?”
Je fait quelque pas dans le couloir
“J'allais rentrer dans ma chambre ou est-ce que j'allais en sortir”
Je fouille mes poches, et la je vois un enregistreur avec une note avec mon écriture :“Tu doit écouter l'enregistreur, c'est important”. Je regarde dans l'enregistreur, pas de piles. C'est bien ma veine.
Je descend à la réception et demande à l'employer qui y sert:
-“Excusez moi, vous ne sauriez pas ou je pourrais trouver des piles?”
-“Bien sure monsieur, je pense qu'il y a une quincaillerie a moins de 10 minutes à pied d'ici, vous devez prendre cette route la jusqu'au feu…” -“Non! non!” je l'arrête net dans son élan, “Excusez moi, mais je n'ai pas la mémoire des trajet, pourriez vous me faire un plan pour me guider jusque la”
-“Oui monsieur, tout à fait”
Il prend une feuille vierge dans un carnet au nom de l'hôtel et commence à dessiner un plan pour me guider vers mes piles. Je le regarde effectuer ces courbes et ces droites pour représenté le mieux possible mon trajet…

…Noir…

Je suis devant mon miroir, qui est cassé. Je suis habillé et ma main droite est bandée et me fait horriblement mal. “
Ou suis je? Dans ma chambre d'hôtel?”
Je reviens dans ma chambre, ou ma valise est ouverte. Sur le lit, un enregistreur, avec un mot qui m'indique que je devrais l'écouter. Je regarde l'enregistreur, il ne fonctionne pas, les piles sont morte. je retirer les piles morte et les jettes à la poubelle.je prend l'enregistreur et le petit mot écris de mes mains. Je vais aller acheter des piles.

…Noir…

Je suis devant mon miroir propre, mon reflet m'indique que je n'ai pas beaucoup dormis cette nuit. Je regarde mes tatouages, cela indique ma vie, mon projet, mon but. Parmi les preuves que j'ai accumuler ce trouve mon objectif final : “venger ma femme tuer par un meurtrier en fuite” Sur mon bras gauche, mon prénom “William”. Oui, c'est vrais, je m'appelle William aujourd'hui.
Je remarque des tatouages qui sont étrange sur mon bras droit, des nom de femme, 7 pour être précis, dont seulement 5 ont été barrée. Pourquoi sont elle barrée? Et qui sont elle? Je les connais?
Quelques chose me gratte la nuque, je tâtonne et je sens quelque chose d'étrange dans mon coup. Je veut voir ce que c'est dans le miroir mais une douleur insupportable me prend la tête. Je vais dans la chambre, dans mes bagages, voir si je nais rien contre la migraine. Dans mes bagage, je trouve un enregistreur, qui après essais, ne fonctionne plus, et un petit mot écris de ma main “Tu doit écouter l'enregistreur, c'est important”. Étrange.
Je continue a fouiller ma valise, mais sans succès, rien pour la migraine.
Je retourne dans la salle de bain pour me mettre de l'eau sur le visage. La douleur est vraiment insupportable, j'en ai même des nausées. Je me tiens au lavabo, le serrant fort en essayant de me concentrer sur autre chose que ma tête. Quand soudain, je frappe de toute mes force le miroir. Ma main est ensanglantée, les bouts de miroir sont partout. La douleur à ma tête est partie.
Je vais dans l'armoire à pharmacie et bande ma main qui me fait horriblement mal, mais largement moins que ma tête il y a quelques minutes. Je ramasse les bout de miroir pour les jeter dans la poubelle et m'assois sur le rebord de la baignoire.
“Qu'est ce qui m'arrive aujourd'hui?”
Mes pensées tourne dans la tête:
“Qu'est ce que c'est que ces noms de filles, qu'est ce qu'il y a dans mon dos? Que m'a ton fait? Et qu'y a t'il sur l'enregistreur qui est si important…“
Je décide de régler un problème à la fois, mais de faire mon possible pour résoudre toute ces énigmes aujourd'hui même.
Et je vais commencer avec cet enregistreur, il lui faut des piles et je vais en acheter de ce pas.
Je m'habille vite fait et me prépare à sortir…

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Voila le résumé de la première partie.

Il se trouve également sur notre site http://acdn.eu à cette adresse :
http://720plan.ovh.net/~sombrede/cdn/wiki/doku.php?id=jdr:resumes_de_partie:lastday1
Si vous avez des commentaire, je suis preneur.

@+

eh bien gros problème d'amnésie. t'as essayé l'option "je me fais un résumé devant le camescope toute sles heure" ?

Pardon pour les délais de la réponse

Citation :

t'as essayé l'option "je me fais un résumé devant le camescope toute sles heure" ? Smile

Ben en fait, il faut quelques chose de léger et qui tienne dans la poche, car je risque de ne pas me souvenir que ça m'appartient et laisse la caméra la ou je la réponse.
A moins de me la faire greffer
C'est pour cela par exemple que je prend un poraloide, sinon le temps que je rentre pour les imprimer les photos, j'aurais oublier que je les ai faite

On a déjà jouer la 2ème partie (qui fini ce scénard) et commencer une 3ème avec un nouveau scénard qui s'avère encore plus bisard que le précédent. Je posterais les 2 autres résumé de partie des que j'ai fini (mais j'ai encore des CR de talislanta a faire avant )
@+

bref il te faut un témoin permanent en fait. un type/fille qui t'accompagne tout le temps