Sousdal saison 2 - du côté des joueurs

En guise de politique, la suite l'a été un peu moins...
Nous avions rdv avec le père Ilya, à l'église Saint Corvus. Il nous a expliqué qu'il avait une "demi-piste", Bolchoï se serait fondu dans la noblesse, après avoir disparu des bas-fonds.... Autre piste : les propriétaire de Les délices de Minuit, restaurant de l'Archipel, auraient perdu un enfant dans des circonstances similaires.
Ni une ni deux, après la vodka, l'alcool de l'archipel et entre deux, des petits plats au lait de coco (et autre...). Bref, vers minuit, on entame la discussion avec Peter et Clara, les propriétaires : ils nous apprennent que leur petite fille a été enlevée par des pirates, que la piste les a menés ici, que la petite n'est plus en vie, mais Clara fait des cauchemars : un mur rose, accueillant, derrière un lieu chaleureux et des orgies d'enfants. GLUPS. On décide de tout faire pour aider, logique... On rentre, moi pas très droite, Iossef très digne... et là, j'entends "lâchez-moi, au secours " ou quelque chose comme ça... Je préviens Iossef, qui se précipite au secours de la D.E.D, le temps que je rassemble mes esprits, lance une chaussure à l'agresseur et finisse par me transformer.
GRRR.
Iossef se bat comme un beau diable, résistant avec panache au poison du vil personnage. Qui nous lâche un fumigène au poivre, le bref, je lui saute dessus, - et scrotch.
La jeune femme, Katia s'avère être une médecin - je laisse Iossef (qui met immédiatement un terme à ses envies de vœu de chasteté) entre ses mains et me rentre...
Le lendemain, je passe chercher mes recueils de poèmes, je prépare quelques envois : aux amis, à Bianca Senseverino, à Nadja et à Gianni - puis je vais aux bains public, le Loup doré. Là, je me dis que je peux avoir des pistes en parlant avec Jazira.
Mais en fait, non, si ce n'est que je reviendrai plus souvent, ils sont vraiment agréables, ces thermes.
Rdv de l'après-midi : avec Iossef, qui m'offre un magnifique bracelet en argent avec des diamants dessus, Isham qui nous rejoint, et Valentino qui nous rejoint ensuite - bref, une info secrète fait que nous allons aux 100 baisers (après détour par le restaurant des îles). Isham reste derrière - et là, comment dire... Je me suis retrouvée, moi, pauvre créature innocente, la moins "coincée" des trois à flirter outrageusement avec des catins sous afyam... Bref. L'idée était de pousser le patron dans ses derniers retranchements et le faire dire qu'il avait des enfants pour les orgies... Ce qu'il a fait. Il a voulu nous faire fumer de l'afyam, là on a tous décidé qu'on en savait assez et finalement, le propriétaire est resté en vie, ses hommes de main, non. Les stelet sont arrivés et :
- on a récupéré 6 enfants sous afyam
- 30 prostituées sous afyam
- le cao yao de Cathay et son ambassade ont été désignés volontaires pour désintoxiquer tout le monde
- Iossef prête sa maison (la deuxième) pour les rescapées
- je passe 2000 altynis pour qu'elles se remettent sur pied et apprennent un autre métier si elles veulent
Bolchoi court toujours... Mais plus pour longtemps (on va le laisser à Isham... promis)

Ah, et sinon, en tant qu'entremetteuse officielle de Valentino, j'ai lancé une piste Bernouilli.

oui c'était pas propre hein ?

sinon voici Katia Bronislava (docteur)


...qui fait rompre le presque voeux de chasteté de Iossef

Très jolie - je le comprends...

fablyrr a écrit:

Très jolie - je le comprends...

c'était moi, là...

Au fait, la prochaine partie a lieu quand ? Une semaine plus tard ?

ou pas...

cf la liste des scéanrs mis a jour : le 8 nonus

Alors ça fait plein de projets, ça!!!
- enquête sur Bolchoï
- enquête sur ces auberges à Tyomnys
- me rendre au moins deux ou trois fois par semaine à la maison/ refuge pour donner des cours à qui veut
- recueillir des histoires...
- m'occuper de valentino -iser

Et, comme précisé ce matin : il est évident que j'ai également envoyé un recueil à Fenrir.

Je laisse Lacenaire - qui trouvera, qui sait ? un petit moment - raconter sa partie, puisque Iossef, son pj, y a fait des découvertes intéressantes sur son "ex" Anastasia, sur la politique locale (tensions entre Tanagra la vieille peau et son cher époux), et amoureuses... (Katia).


De Charybde en Scylla...
Le jour de la Saint-Euthyme, alors que les orthodoxes se rendaient massivement à la cathédrale, que les autres en profitaient pour faire autre chose... Je n'avais pas très envie de subir l'effet de masse, j'ai préféré partire pour une promenade à cheval, puis rentrer en passant par la maison-refuge. Là, un truc bizarre : trois types masqués/ enturbannés disparaissent en courant au coin d'une ruelle, se font la courte échelle pour passer par les toits... Pas le temps de plus réfléchir : énorme explosion... Ils ont lâché une bombe incendiaire dans la maison. Mon cheval paniquant, je l'envoie chercher de l'aide, puis je me métamorphose tant bien que mal et fonce dans la maison. Le problème, c'est qu'une panthère des neige, ça fait peur... même en Ussura (ou c'est l'effet Sousdal). J'essaie d'aider une femme à fuir, elle panique, je déchiquète une fenêtre, elle se jette dans le vide...
Merveilleux. J'essaie d 'aider quelqu'un, et je le tue... Qu'à cela ne tienne, je retourne dans les flammes - chercher un enfant, cette fois. Prisonnière, entouré de feu avec mon petit paquet qui gigote dans la gueule, je ne sais que faire - mourir brûlée ? - Une poutre menaçant de tomber, je laisse mon instinct prendre le dessus, je bondis vers la fenêtre, lâche le petit dans les bras de gens faisant une chaîne pour éteindre les flammes. Un dernier tour. Il n'y a plus rien. Sauf Iossef, qui risque lui aussi de se faire cramer s'il reste... je l'entraîne vers l'extérieur.
Sur les trente personnes vivant ici, il n'y a que deux survivants. Vladmirir qui a organisé la chaîne de l'eau va chercher le docteur et s'occupe de faire ramener les deux gamins survivants - Platon et Mitrophane - chez moi. Le capitaine des dragons rouges, le stelet Aleksei est arrivé ensuite avec le juge. LE juge des Uomini qui nous avait fait enfermer...
Sous le choc, j'ai quand même montré au capitaine l'endroit par leqeul les trois criminels avaient fui. L'après-midi est pour moi confus, entre discussion avec le cao yao, visite à Isham qui est venu s'installer chez moi quelque temps... je en sais plus. Une lassitude terrible m'a envahie, puis cette culpabilité, cette affreuse fatigue. je crois avoir écrit au sénéchal pour lui demander de changer le juge, aussi. Je crois aussi que je suis allée chercher des infos dans les bas-fonds, j'ai donc récupéré potentiellement quelques informateurs.
Le soir, Isham, ma domestique Karena, les deux enfants et mois sommes allés à La Nostalgia - histoire de passer une soirée sereine.
le lendemain, je me suis réveillée en sursaut et tôt, encore ces fichus rêves réalistes... A 07H000... ce n'est pas une heure pour une courtisane. bref, vêtue de mes habits masculins, je me suis rendue sur les lieux du crime. Histoire de trouver quelque chose.
Effectivement, j'ai trouvé : des traces de verre brisé et des traces de liquide au pied des escaliers. Bombe incendiaire.
Forte de ces informations, je suis allée trouver le capitaine Aleksei... Qui se trouvait dans un bâtiment administratif... Là où le juge "uomini" a été tué à l'aube apparemment (ou trouvé à l'aube). En gros, à part avoir appris que Iossef était déjà passé par là, en catimini, il m'a juste demandé un témoignage écrit sur ce que je faisais le matin (dès fois que j'ai des envies d'égorger les gens que je n'aime pas), puis un papier sur les Uomini. Ce que j'ai fait. Puisje me suis retrouvé avec un message dans la manche... La suite étant assez privée, je la mets en spoiler

Spoiler:

Iossef est arrivé ensuite, lui aussi avait reçu un message - accusant la femme de l'ambassadeur (l'oncle d'Isham) d'être la commanditaire des assassinats. A Isham (l'ambassadeur) d'enquêter. Il nous a appris la mort du juge - et Isham nous a r&vélé que son homme de main Amin (que j'avais déjà vu en Bernouilli, en fait!) l'avait fait, et récupéré une lettre disant qu'il s'agissait - l'incendie - d'un accident... Isham a décidé de nous aider sur cette histoire d'Uomini mais n'a pas de piste sur les 3 criminels et selon lui, à part le fait que cela tourne au vinaigre entre la vieille peau et le Mondavi, que ce ne sont que des pions, les Uomini doivent être cherchés derrière tout cela.
L'après-midi, je l'ai passé chez Kabriel von Ficht.
il m'a engagée, pour mes compétences de linguiste, pour déchiffrer un étrange langage trouvé dans les Drachenberge...

Spoiler:

je reconnais que c'était un peu violent, surtout d'user de ton arcane Indécis au milieu des flammes, mais c'était pour l'instensité.

fablyrr a écrit:

je reconnais que c'était un peu violent, surtout d'user de ton arcane Indécis au milieu des flammes, mais c'était pour l'instensité.

d'un autre côté, c'est exactement comme ça qu'il faut l'utiliser. Ca ne fait jamais plaisir sur le moment, mais je trouve que c'était très réussi.

j'peux continuer alors ?

fablyrr a écrit:

j'peux continuer alors ?

Gnagnagna... oui, bien sûr.

La fin d'une époque ?
Une nuit, tranquille, troublée cependant par la voix d'Aswad. Aie. Confiance. Isham. Lequel des deux, cela dit ?
Le matin, il y a eu une cérémonie émouvante à l'églsie Saint Corvus. Parmi les personnes venues y assister, Valentino et Adalgisa, sa courtisane, Gianni G. della Vestini, Braslyn et... "l'ambassadeur" du Tiakhar.
Comme il restait, à la fin de la cérémonie, je suis allée le voir, de manière courtoise mais peu diplomatique, je dois l'avouer, pour lui signifier que, s'il touchait à un cheveu du père Ilya et de ses protégés, je sortais les griffes et le réduisais en miettes. Cela, en Han Hua - et après une brève conversation des plus étranges, il y a eu un bien étrange échange de regards... Une sorte d'éclair mutuel, bien qu'il ne s'agisse pas de coup de foudre (d'autant que j'ai appris, au soir, que cet homme est vraiment vraiment maléfique, il avait pour habitude de clouer les capitaines des ennemis à son navire et de les laisser mourir ainsi...)
Je me suis ensuite rendue à la Nostalgia. Pour savoir ce que voulait Aswad. En fait, les anciens propriétaires de mon ami sont venus le chercher, manu militari... Isham, qui est parti faire des recherches du côté du port, a trouvé qu'ils s'étaient bien dirigés vers Trebizond et surtout, que le bateau et les hommes avaient été payés juste pour le trouver et le ramener, lui.
J'étais confuse, perdue et ne savais que faire. C'est pourquoi j'ai demandé à Carla Bernouilli de me faire un tirage... J'espérais des réponses quant à mes choix - quelque part, il y en a eu, mais il s'agissait aussi et surtout de choix amoureux, d'un constat - ce que j'étais, ce que je suis. J'imagine en tous cas que cela m'a aidée, malgré moi ou malgré ce que je lui ai dit, je suis décidée à dire clairement les choses à Fenrir, et puis voir le chaos de son existence "noir sur blanc" fait j'imagine de l'effet.
Bref, je rentrai chez moi, troublée, quand Iossef fit irruption à la porte, il avait besoin de moi pour convaincre le pseudo-assassin de Ljuba Esquiliytch de parler, car il ne voulait que nous parler à tous deux... Dans la confusion, il m'expliqua que ce type - Bogatyr - s'était jeté sur la directrice de l'opéra, après avoir tué ses trois gardes du corps et l'avait frappée du pommeau de sa hache, Iossef s'était interposé avant de se rendre compte qu'il s'agissait d'un membre de la famille de la réfugiée qu'il a chez lui (quoi, ce n'est pas clair ?)
Du coup, il a laissé la pauvre femme dans les bras des Dragons rouges et s'est démené pour faire soigner le type - Petit Seigneur - et lui parler.
Passons sur la manière dont la pauvre Ljuba a été traitée. Elle vivra et c'est ce qui compte.
Bref. Petit seigneur est le seul survivant de sa famille, écharpée par les Esquiliytch. D'où, vendetta. D'où, quand on l'a payé pour éliminer Ljuba, il n'a pas hésité. Il voulait nous voir pour ce qu'on avait fait au Pilon et aussi, voulait négocier sa vie contre des infos sur le commanditaire.
Iossef lui a parlé de sa protégée et l'a convaincu de quitter la ville et renoncer à sa vengeance, en échange de quoi on le faisait libérer.
Ensuite, nous sommes allés dans les bas-fonds trouver Provda pour lui expliquer : Haqim, pavillon de chasse, contrebande. Or donc... Il fut extrêmement difficile de persuader Iossef de transférer la faveur de Ljuba sur moi, et de lui faire rentrer dans la tête que : 1/ demander un remboursement de faveur alors que la pauvre femme est blessée, c'est vulgaire et le meilleur moyen de se griller 2/ les Esquiliytch n'accéderont jamais à ladite faveur... Finalement, je les ai laissés en disant que je m'occupais de la libération du type, mais qu'il était hors de question que j'aille crapahuter dans la nuit. Marre de tuer les gens.
Le côté positif, c'est que Iossef, Provda, et un Vesten ont été là-bas
et ont dégommé la tête des Uomini à Sousdal, l'homme qui était responsable de l'incendie entre autres...
De mon côté, j'ai été invitée chez les Bernouilli à dîner, Carla avait vu qu'il fallait que je sois là le soir. Après une conversation des plus intéressante (sur les rapports malheureux de Racluro Mondavi et de son épouse...), en plein plat de résistance, 10 hommes masqués ont fait irruption dans la pièce (payés par Haqim pour assassiner les Bernouilli et nous faire porter le chapeau à Iossef et moi... Pas de bol, hein ? Cette fichue destinée... Mais je ne l'ai su qu'après)
Au terme d'un combat pas du tout épique, entre la parade "couteau-fourchette", la métamorphose ratée se terminant en charge à coup de chaise puis, le coup de couteau dans la gorge du dernier survivant, sans compter la présence invisible d'Amin et la lame de Gualterio... Nous sommes venus à bout des hommes.
parmi eux, les incendiaires.
Pour me remercier de leur avoir sauvé la vie et de m'être laissée manipuler ( ), Gulaterio m'a offert... Mon contrat. Je suis libre!!!

Dans le mois qui suit : si Iossef est OK, recherches communes sur la piste de Bolchoï et celle du Tyomny.
- Bolchoï : chercher des médecins ou des nouveaux riches dans la noblesse/ grande bourgeoisie
(via contact et compétences de courtisane de mon côté)
- Tymony : il y a cette auberge, qui permet de se familiariser, mais je ne sais pas trop quoi d'autre, essayer dans d'autres coins de la ville ?

Le reste : privé.

Iossef est okay !

et oui voici l'armurerie d'Anis

ok noté pour les recherches

Pour les recherches : je peux faire deux jets
- esprit + contact concernant le tyomny.
- esprit + cancanier ou politique, comme tu veux concernant Bolchoi

ok ca marche.
avec cancanier plutot le 2e

Hop, un p'tit truc (incomplet) sur Iossef !

Un petit retour sur Iossef et cette seconde saison déjà bien entamée… Par thèmes !

La famille
Iossef, après ce mois d’incarcération, au détour d’un siège, a retrouvé son père, prétendu mort en mer. Ce qui se voulaient des retrouvailles larmoyantes s’est transformé, par la faute du jeune homme, en prise de bec.
Iossef a une sainte horreur des secrets et des mystères.
Que ce vieil homme refuse de lui avouer les raisons de ce mensonge a blessé le fils. Déjà que la situation n’était pas brillante, il a tôt fait de reprocher tout et rien à l’ancien capitaine pirate. Surtout après l’incartade avec Sergueï l’Ecarlate (depuis quand Iossef était-il prévenu que sous aucun prétexte il ne devait révéler son identité à d’autres pirates ? Toujours et encore des secrets…).
Bref, la situation étant ce qu’elle est, le jeune bretteur a fait une croix sur Ismaël, et se tourne plutôt vers l’avenir. Surtout qu’il va falloir avouer à sa paternité à sa mère et son beau père, qui ne devraient plus trop tarder à revenir…

Une paternité que Iossef vient enfin d’admettre dans son ensemble, grâce en soir rendue à l’ambassadeur Villanova (auprès de qui il s’est bien endetté). Jusqu’à présent le caractère de la mère, et les « liens » qu’ils entretenaient, lui avaient faits perdre tout espoir de réconciliation. Et donc de revoir sa fille (qu’il aime, qu’on en doute pas !). Depuis qu’il sait que la damoiselle est une héritière possible d’une des doumas les plus importante du royaume, et que rien cette information peut lui servir, il se sent pousser des ailes. Ou presque. Affaire à suivre, donc.

Des métiers

Iossef n’est plus garde du corps que par intermittence, quand il faut sauver X ou Y, ambassadeur, dame de qualité ou simple médecin. Le chant, s’il ne l’oublie pas, n’est plus dans ses priorités. Il aura bien du temps à y accorder… plus tard, quand la situation se sera tassée. Pour le moment Iossef verse dans l’instruction (de chant, justement, auprès du petit Nicolaï, gamin des rues), le social (via son désormais célèbre « jour de congé payé hebdomadaire »), et les armes.
Il s’améliore, cherche à toucher à tout. Pour quelle raison ? Il se cherche d’abord lui-même. Attaché à la ville, à beaucoup de ses résidents, le jeune homme souhaite leur être utile avant toute chose. C’est une façon comme une autre de suivre les enseignements du prophète et de racheter ses enfances plus sanglantes. Quelques beaux duels (contre Haquim et un mercenaire eisenor notamment) lui ont rendus une certaine confiance. Son poste de Vyeche, il le voit d’abord comme un outil, grâce auquel il pourra améliorer le quotidien de celles et ceux qui peinent (les réfugiés, les travailleurs etc.) Tout est bon, selon le jeune homme, pour simplifier l’existence d’autrui. Bref, il tourne paladin, le gamin.

Des plaies

Iossef était plus naïf qu’il ne le pensait. Il ne doutait pas de l’infréquentabilité des Escilytch, mais il ignorait que certains d’entre eux avaient pu égorger des gamines – et se prétendre honorables.
Il croyait le sergent Stelette pourri jusqu’à l’os. En fait c’est un type droit dans ses bottes. Et honorable, lui.
Il espérait sensibiliser le conseil Vyeche sur le sort des réfugiés, entre autres choses. Les efforts consentis frisent parfois le ridicule.
Le knyas douma l’a également surprit. L’homme est sensé. Son passé est trouble, franchement tragique, mais il se tient debout. A des lieues de l’impression laissée précédemment.
Résultat ?
Iossef se pose trop de questions. Ce monde (la politique, les alliances) n’est pas le sien. Ses moyens et ses méthodes, il le sait, ne seront pas suffisants pour faire bouger les choses. Bref… pour des raisons que j’expliquerais, il songe à…

Spoiler:

Une suite, peut-être !

le retour de Iossef!!!

Citation :

Que ce vieil homme refuse de lui avouer les raisons de ce mensonge a blessé le fils. Déjà que la situation n’était pas brillante, il a tôt fait de reprocher tout et rien à l’ancien capitaine pirate. Surtout après l’incartade avec Sergueï l’Ecarlate (depuis quand Iossef était-il prévenu que sous aucun prétexte il ne devait révéler son identité à d’autres pirates ? Toujours et encore des secrets…).

En fait dès le début, quand son père lui a demandé de garder le secret sur sa présence en ville. Quand on demande le silence c'est pour tous, sauf précision...

Citation :

Depuis qu’il sait que la damoiselle est une héritière possible d’une des doumas les plus importante du royaume, .....

En fait histoire d'éclaircir pour tout le monde au cas ou je ne sois pas bien clair des fois, l'Ussura fonctionne comme un empire. Composé de plusieurs royaumes appelés dans la langue Douma. Un Knias Douma n'est rien d'autre qu'un roi. Les knias douma eux se retrouvent pour des petites réunions bien sympa sur les décisions de l'ussura, le tout chapoté/dirigé par un Gaius autrement dit un eempreure

Du coup oui la petite Salaya, est une personne avec un joli potentiel d'avenir
nb : j'ai pas oublié le courrier fait à Anastasia

nb bis pour Lacenaire :

Spoiler:

Citation :

Citation :

Que ce vieil homme refuse de lui avouer les raisons de ce mensonge a blessé le fils. Déjà que la situation n’était pas brillante, il a tôt fait de reprocher tout et rien à l’ancien capitaine pirate. Surtout après l’incartade avec Sergueï l’Ecarlate (depuis quand Iossef était-il prévenu que sous aucun prétexte il ne devait révéler son identité à d’autres pirates ? Toujours et encore des secrets…).

En fait dès le début, quand son père lui a demandé de garder le secret sur sa présence en ville. Quand on demande le silence c'est pour tous, sauf précision...

Pas faux, ça! Moralité : Iossef est une commère!

Une vraie de chez vrai !

Fablyrr: on s'adapte comme on peut