[7thsea online] La taverne aux milles plaisirs

Rapidement Luella sortit son sabre et se plaça en garde, son arme droit devant elle. "Rassures-toi, tout ira bien. dit-elle a l'adolescente. Suis juste mes pas". La pirate jaugeait ses adversaires. Le plus dangereux était surement celui aux coutelas et donc celui qu'elle devait eliminer en premier. Tout en gardant un oeil sur les deux autres, elle se prépara à lancer son attaque.

Le bouchjer ne s'attendait pas à ça. Il n'avait que rarement combattu contre un membre de l'école Rogers. Il ne s pensait pas à un coup bas de ce type. alors qu'il se préparer à une nouvelle charge, il reçut le sable en plein visage. Il pila et se frotta les yeux.
- Sale trainée; tu vas le payer.

Pendant ce temps, son acolyte s'en prenait à Rose. Totalement obnubilé par sa tâche, il n'entendait pas Luella. Le sabre s'abbatit et il s'effondra, proprement assomé par le pommeau. Le boucher vit son complice tomber et regarda fixement Luella.

- Bien joué ma belle.
Il s'apprétait à attaquer de nouveau quand il entendit des bruits venant d'une ruelle, la milice arrivait.

- Il va être temps de vous laisser mesdames. Nous reverrons Puis il se fondit dans la nuit. Luella souffrait terriblement de sa blessure au bars, elle haletait car ses feintes de pirate ne lui vaiient été d'acune utilité, mais Rose était sauve.

A ce moment, 5 hommes firent irruption sur la place. Tous portaient un tabard bleu orné des armoiries de Pau. ils étaient armés de rapières et de pistolet. C'était de jeunes hommes un peu apeurés. Leur chef était un gran gaillard à la moustache fine et aux longs cheveux blonds. Luella dut reconnaitre qu'il était plutôt beau garçon. Son tabard s'ornait d'un soleil resplendissant et il avait dégainerc sa rapière etv sa main gauche.

- ma Dame, y a t'il un problème? Il parlait d'une voix assuré et teintée d'un soupçon de condescendance. pas de doute, ce type était noble.

Fils de Lugh a écrit:

- ma Dame, y a t'il un problème? Il parlait d'une voix assuré et teintée d'un soupçon de condescendance. pas de doute, ce type était noble.

Luella rengaina son sabre et etreignit l'adolescente, heureuse de connaître un dénouement heureux à ce combat.

-"Non, pas de problème. Nous allions d'ailleurs rentrer. Bonne soirée Messieurs."

Elle ne voulait surtout pas engager la conversation avec la marechaussée car en tant que pirates, elle ne les appréciait pas plus que ça. Elle prit la jeune femme par la main et fit demi-tour en direction de l'auberge. En chemin, elle dechira d'un coup de dents, l'autre manche de son chemisier et s'en servit pour faire un garot. La blessure lui faisait mal et elle allait surement garder une belle estafilade de sa rencontre avec l'homme aux couteaux. Puis elle regarda Rose

-"Tu te sens bien, ça va ? Luella avait peur que la jeune fille ne garde des sequelles de cette soirée de cauchemard. Tu t'en es tirée comme une vraie pirate. Je suis très fière de toi".

Le lieutenant regarda la jeune femme faire demi-tour. Elle semblait farouche et portait un sabre. serait-ce une de ces pirtes qui écumaient les mers? Il s'en doutait mais ne pouvait honnêtement pas faire de mal à une aussi belle jeune femme. Il fit signe à ses hommes de se saisir des deux malandrins et suivit le duo:

- Mademoiselle, attendez, votre blessure semble sérieuse. Vous devriez voiir un médecin.

Archibald

Le tenancier arrivait à l'auberge, il vit rapidemnt les miliciens, Luella et Rose. que s'était il passé? Il se dirigea vers le groupe...

Fils de Lugh a écrit:

- Mademoiselle, attendez, votre blessure semble sérieuse. Vous devriez voiir un médecin.

Luella se retourna à l'appel du soldat et visiblement il les suivait. Certes il était beau garçon et elle lui aurait certainement proposé un verre dans une autre situation mais là, elle ne désirait qu'une chose : rentrer. Sa blessure lui faisait un mal de chien mais elle essayait de ne montrer aucun des stigmates de la souffrance. Luella detestait que l'on s'appitoie sur son sort. Son père lui avait appris à être une battante, à toujours se relever après la moindre chute et céder serait trahir sa mémoire et ça jamais elle ne se le permettrait. C'est pourquoi elle répondit avec assurance :

- Juste une estafilade, un bain et une bande imbibée d'eau-de-vie et il n'en restera rien mais je vous remercie de votre sympathie ; et de toute façon je dois ramener cette demoiselle dans ses foyers. Donc bonne soirée monseigneur.

Elle insista bien sur la dernière phrase pour bien montrer à l'homme qu'elle ne désirait aucun compagnon masculin pour la soirée puis les deux femmes reprirent leur chemin vers la taverne.

Le capitaine sentait bien que la jeune femme n'avait aucune envie de discuter avec lui? Pourtant, il ne pouvait laisser cette affaire en suspent
- Madame, il ne s'agit aucunement d'une avance à votre égard mais juste d'un éclaircissement quant à cette situation... Parlons voulez-vous, Nous serons plus tranquilmle à) l'intérieur à moins que vous ne préfériez me suivre à l'hôtel de la milice.

Fils de Lugh a écrit:

...Parlons voulez-vous, Nous serons plus tranquille à l'intérieur à moins que vous ne préfériez me suivre à l'hôtel de la milice.

-Visiblement vous ne me laissez pas le choix et bien discutons donc autour d'un bock puisque je me rends à la Taverne des Milles Plaisirs.

Luella se demanda si l'homme pourrait lui apprendre plus sur son agresseur aux coutelas. Sa défaite lors du combat lui avait laissé un goût amer dans la bouche. Elle n'avait pas perdu à cause de son inquiétude envers l'adolescente qui l'accompagnait et dont elle ignorait toujours le nom. Bien que présente, cette inquiétude n'était pas un argument valable. Non elle avait perdu car son adversaire avait été plus fort qu'elle. Sa trop grand confiance en elle avait faillit coûter sa perte et seul l'arrivé des soldats l'avaient tirée de ce mauvais pas.
Blessée dans son amour propre, elle souhaitait une revanche mano à mano et cette fois-ci personne ne s'arrêteraient au premier sang.

Sophie vit entrer Luella, Rose et le lieutenant de la milice. En voyant la chemise déchiré de la jeune pirate et le bandeau taché de sang qui lui enserrait le bars droit, la tenancière su tout de suite que quelque chose de terrible s'était passé; Quand elle vit Luela et le lieutannt s'installer à une table, elle leur apporta un broc. Puis elle fit signe à Rose et l'adolescente vint vers elle

- Raconte moi dit Sophie

Pendant ce temps à la table

- Excusez a brusquerie de tout à l'heure madame mais il me semble avoir reconnu ce type de blessure et elle m'a mis la puce à l'oreille. Pouvez vous me raconter les évènements.

Archibald
L'avalonien évita les miliciens et vit Luella rentrer dans l'auberge en compagnie du lieutenant Matthieu Duparc. Quelle coïncidence...[/i]

Fils de Lugh a écrit:

- ...Pouvez vous me raconter les évènements.

- Si vous y tenez tant que ça et bien soit. Nous étions dehors avec la jeune demoiselle qui m'accompagnais et au moment où nous rentrions à la Taverne trois hommes nous ont assaillis. Deux étaient armés de gourdins tandis que celui qui semblait être le chef brandissait deux coutelas.

Luella fit une pause dans sa narration pour se désaltérrer mais surtout pour observer le regard du milicien quand elle décrivit l'homme aux couteaux. Elle voulait savoir si il le connaissait.

- Etant agréssée, j'ai donc agit en légitime défense. D'autant plus que je devais protéger la jeune demoiselle. Vous êtes arrivé, le chef s'est enfui et vous avez arrêté les deux autres. Vous savez tout de l'histoire maintenant.

- Deux couteaux dites vous, et il était très grand? Ma foi, je crois que vous l'avez échappé madame . Vous êts tombé sur un homme redoutabel. On l'appelle l'écorcheur, c'est le chef d'une bande de racketteurs locaux. il s'est fait une spécialité de l'agression de jeunes femmes. Il ne ous aurez pas tué mais vous aviez toutes les chances definir dans un bordel de Vodacce ou dans une harem de lEmpuire du Croisant... Il fut coupé par une voix forte et puissante

- Vous devz vous montrer plus prudente !!! Archibald avait parlé d'une voix forte. Il vai entendu la descrition des évènenements et comprenait que les deux jeune femmes avaient eu très chaud. Vious n'êtes pas en Avalon, vious ne connaisse pas la région ma chère, que va dire ma soeur si elle sait que je aisse ma nièce sortir le soir? Il avait bien appuyé sur la deuxième phrase en la regardant droit dans les yeux...

Fils de Lugh a écrit:

Vous n'êtes pas en Avalon, vous ne connaissez pas la région ma chère, que va dire ma soeur si elle sait que je laisse ma nièce sortir le soir? Il avait bien appuyé sur la deuxième phrase en la regardant droit dans les yeux...

Luella soutint son regard avec ses yeux de jais. Elle n'était pas femme à se laisser monter sur les pieds.

- Votre nièce est en parfaite santé et sachez bien que jamais je ne laisserais le moindre brigand faire de mal à une innocente jeune femme. Même si je ne suis pas de cette région, j'ai déjà affronté bons nombres d'adversaires. Et je vous rappelle que vous ne parlez pas à une de vos campagnardes qui passent leur vie entre le lavoir et les fourneaux.

Visiblement très énervée, Luella sortit de table en renversant sa chaise. Elle n'aimait pas l'on hausse le ton en sa présence et surtout pas contre elle. Seul son père et le cuistot de la Bruja avait cette prérogative mais surtout pas un tenancier de taverne. À quelques pas de l'escalier la reconduisant dans sa chambre, Luella s'arrêta net et à son tour fixa de défi le patron

- Pour votre gouverne jamais vous ne retiendrez votre nièce dans cette Taverne, ni même dans cette ville. Je pense qu'elle a apprécié notre discussion pour une fois que quelqu'un la prend pour une adulte mais ça doit être difficile à comprendre pour un butor comme vous...

Sans lui laissez le temps d'une réponse, Luella se mit à gravir les escaliers menant à sa chambre.

alors qu'elle s'apprétait à meetre un pied sur le palier du premier étage. Archibald apparu devant elle. Il avait l'air amusé

-Un butor dites vous? Sachez que jamais personne ne m' a traité ainsi. je voudrez juste que nous parlions un peu.

Le lieutnenat Duparc allait se lever quand sophie se dirigea vers lui

Laissez les donc, cette jeune femme a beau être pleine de fougue, elle semble ne pas savoir quand la réfreiner. Ca devrait lui servir de leçon.

[i] Rose était terrorisé. Elle adorait Archibald et estimait beaucoup Luella. qui allait l'emporter.

Fils de Lugh a écrit:

-Un butor dites vous? Sachez que jamais personne ne m' a traité ainsi. je voudrez juste que nous parlions un peu.

L'homme n'avait beau ne pas être une montagne de muscles, il en imposait par sa prestance et son charisme. Est-ce cela qui calma la fougue de la native du pays où les gens ont le sang chaud ? Nul le le sait mais en tout cas la colère de Luella (contre la rudesse de cet homme mais aussi contre elle même d'avoir exposée une jeune innocente à un danger redoutable) semblait être retombée. Elle regardait l'homme avec un regard plus calme.

- De quoi voulez-vous qu'on parle ?

- D'abord de votre fameuse carte, puis de Rose et enfin des raisons de ma colère. Cela vous convient t'il

pendant ce temps, Sophie discutait avec Duparc, il ne fallait pas qu'il parte.

- Cela me convient alors je vous en prie discutons.

Archibald et elle allèrent à une table. du coin de l'oeil, Luella vit que le milicien était plongé dans un profons sommeil. Archibal le ramarqua et dit :
- Ne vous inquiétez pas, il vaut juste mieux qu'il y ai le moins de témoins possible. J'ai été voir un vieil ami ce soir, un homme érudit qui selon moi devrait beaucoup vous aider pour la compréhension de cette Crate, il faudrait que vous la lui ameniez. Cet hmm est un ancien compagnon d'aventure, un puissant sorcier porté et uin maître en occultisme; il peut vous être d'un précieux secours. mais cette carte 'a aussi rappeler des souvenirs. J'aimerais vous aider plus que ça.
Dans les yeux de l'avalonien, de la nostalgie.

- Avez vlus des questions?

Fils de Lugh a écrit:

- Avez vous des questions?

Luella était un peu décontenancez par la tournure que prenait les evenements. Tout d'abord de savoir que dans la Taverne regnait la magie. Elle n'aimait pas la magie car elle ne la comprenait pas. Mais surtout elle détestait les effets de la magie et savoir que quelqu'un pouvait la contrôler la glacait d'effroi.

Ensuite elle était plus que surprise que le patron de la Taverne connaisse la carte qu'elle avait de tatouée dans le dos. Son père ne lui avait jamais parlé de cet homme et elle ne l'avait jamais rencontré sur un comptoir ou sur la Bruja. Dieu qu'elle aurait aimé que ses hommes soient là pour confirmer les dires de cet homme.

Luella était sur la défensive comme à chaque fois qu'on abordait son secret. Elle avait envie de partir de cet endroit et de regarder droit devant elle jusqu'à son bateau et de voguer loin, très loin. Mais la curiosité fut plus forte que sa peur et elle sentait que pour une fois une piste sérieuse semblait se dessiner.

- Comment connaissez-vous cette carte autrement que parce que je vous en ai parlé et de quels sont ses souvenirs ?

Archibald sourit de façon mystérieuse. Elle était véritablement trop naïve, ses années passées au sein des cours les plus prestigieuses de théah lui permettaient de lire en elle comme dans un livre

- Disons ma chère que je sais faire travailler ma tête. Vous êtes manifestement une pirate, vous m'avez annocé que vous étiez capitaine du Bruja et que vous étiez avaloniene. Il se rouve que jadis, j'ai connyu un marin commandant le bruja. Et que par le plus grand des hasrads, il vous ressemblait. Par ailleurs, il n'y qu'à voir votre impulsivité pour voir que vous êtes sa fille. j'en déduis qu'il vous a surement léguer sa carte au trésor.
Ne vous inquiétez pas, si j'avais voulu vous posre des problèmes, il me suffisait d'employer ma magie. Mais je ne l'ai pas fait. Sachez juste que votre caractère m'a conquis. J'ai 80 ans il en paraissait à peine trent cinq et voilà longtemps que je n'avais pas eu de nouveau envie de me lancer à l'aventure. Je veux vous aider car je n'ai pas su aider votre père par le passé; une sorte de moyen de rattraper ma faute..

Il la regarda fixement

- parlons de Rose à présent, elle est ma petite nièce, ses parents son morts. Ils ont été assassiné par des inconnu. cette fillette attise beaucoup de convoitise. elle porte l'héritage de ses deux parents et ceux ci étaitent de puissants sorciers. Nombreux sont ceux qui voudraient ettre la main suir elle. En vous révélant ça, jevous confie un grand secret. J'espère que ce sera un échange de bons procédés.
L'écorcheur est à la solde d'un être méphitique, un seigneur du crime qui recherche tout ce qui touche à l'occulte. ma plus grand peur est qu'il appren la vritable identité de Rose. Vous comprenz ma colère de tout à l'heure à présent?

Ainsi donc il connaissait mon père. Il lui avait bien parlé un jour de personnes dont le contrôle de la magie était tel que l'âge n'avait pas prise sur eux. Mais elle n'en avait jamais rencontré auparavant. Sa première et légitime réaction aurait été d'être méfiante mais elle ne savait pas pourquoi elle voulait lui faire confiance. Cet homme n'avait pas usé de la magie alors qu'il aurait pu. Et puis elle ne savait pour quel raison, elle aimait bien la petite. Or si celle-ci semblait lui faire confiance, elle le ferait aussi. Les enfants ont souvent un bon jugement des gens.

- Oui je comprends votre réaction. Luella imaginait que son père aurait réagit de la même façon si sa vie avait été en danger alors qu'elle n'était encore qu'une enfant. Je m'excuse de ma réaction. Je m'en suis voulu d'avoir mis la vie de votre nièce en danger. Je ne sais pas pourquoi j'aime beaucoup cette gamine et...

Luella ne pouvait pas continuer de parler car un sanglot se coinça dans sa gorge. Elle ne savait pas pourquoi mais ce sentiment nouveau la perturbait.

- Pour en revenir à la carte de mon père que me couteras votre aide. Mais je suppose que vous voulez la voir de nouveau...?

Achibald observa attentivement Luella. >en tant que libertin invété, voir la magnifique chute de rein de cette beauté serait certainemet un plaisir. Pourtant, il du réfreiner ses ardeurs. il n'était pas encore et il ne voulait pas savoir. selon la légénde, cette carte attirait le malheur sur tout ceux qui posaient le ragard sur elle. c'est pour ça que le vieux Ralf se l'été faite tatouées dans le dos. Il préféra attendre

- attendons un peu voulez-vous? pour ce qui est du coût de mon aide, attendons un peu.disons que le seul plaisir de vous aider me suffira pour l'instant Il lui adressa un clin d'oeil. de plus, je sais pouvoir compter sur des gens compétents pour cette mission. Si cela ne vous dérange pas d'emmener avec vous une bande de vieux grigous qui rêvent d'une dernière aventure.

La voiture s'arrêta à proximité de l'auberge.
A l'intérieur un homme qui approchait de la trentaine, les yeux dans le vague.

Habillé de vêtements de voyage de qualité, il avait à son côté une rapière castillane de grande qualité, certainement une pièce provenant d'un maître armurier qui disposait d'un raffinement supplémentaire en la présence d'un canon de pistolet sur un côté de la lame et d'une gachette courant à proximité de la garde.
La blondeur de ses cheveux semblait le prolongement même de sa peau très blanche. Ses yeux verts semblaient perdus dans les méandres d'évênements lointains mais intenses alors que l'une ses mains gantées se serrait sporadiquement mais avec nervosité sur la garde de sa curieuse rapière.
Irène...

Il fut tiré de ses pensées par la voix de son cocher qui lui indiquait qu'il était arrivé à destination.
La porte s'ouvrit alors devant lui et Gabriel d'Obresur se glissa à l'extérieur, humant l'air de la nuit et de cette ville de Pau qu'il connaisait si bien.

Devant lui, l'enseigne de la taverne qu'il recherchait. Son tenancier, un avalonien célèbre pour son passé aventureux, était l'homme qu'il lui fallait pour l'aider dans sa quète.

Il rentra donc dans la taverne aux mille plaisirs, l'air imperturbable mais à la recherche d'un dénommé Archibald...

Il se décida rapidement à s'asseoir afin de mieux encore profiter de l'atmosphère de cet endroit si particulier.
Toujours aussi fier, il attendit patiemment qu'on vienne s'enquérir de ses besoins, observant discrètement chaque détail de la pièce et des personnes qui s'y trouvaient.

Fils de Lugh a écrit:

...Si cela ne vous dérange pas d'emmener avec vous une bande de vieux grigous qui rêvent d'une dernière aventure.

Luella remarqua que le regard de l'homme se pencha comme pour observer son flanc. Ainsi donc il sait que la carte est tatouée sur mon dos mais comment le sait-il ? pensa Luella. Ce n'est la peine de lui demander quoi que soir, j'ai comme l'impression qu'il restera muet.

La porte de la taverne s'ouvrit laissant pénétrer dans la chaude et douce atmosphère de la Taverne, la fraîcheur de la nuit. Cette apparition fit sortir Luella de ses pensées. Elle se retourna pour observer le nouvel arrivant.

L'homme était d'une blancheur presque fantomatique et tranchait avec sa peau gorgée de soleil mais accompagnait harmonieusement sa blondeur. Ses yeux verts tranchaient et scintillait comme deux emeraudes au milieu d'un océan de coton. Il parraissait absorbé par ses pensées et c'est négligemment qu'il s'assit à une des nombreuses tables de disponible. En s'installant, l'homme dégagea son arme d'un geste ample et Luella l'admira. C'était une magnifique rapière. Les fines ciselures et ornements qui parcouraient le pommeau de l'arme dénotait d'un savoir-faire rare.

Mais elle n'était pas là pour admirer le bel apollon et elle se retourna vers le tenancier :

-Toute aide est la bienvenue et c'est avec grand plaisir que je l'accepte.