[7thsea online] La taverne aux milles plaisirs

Javier se tourna vers la jeune femme. Il se demandait ce que fichaient Archibald, ils discutaient avec ce jeune montaignois mais le dialogue avait l'air de durer. Il sourit à Luella et reprit son histoire

- Elle s'appelait Catherine et c'était la fille du Duc de Crieux. Un homme fort honorable soit dit en passant. J'étais jeune à l'époque et nos deux nations ne se faisaient pas encore la guerre. Hélas, l'inquisition avit déjà trouvé sa place dans mon pays et je dus migrer en Montaigne. La famille du Duc me reccueilli en raison des liens qu'elle entretenai avec les miens. C'était là mon seul espoir d'échapper à ces damnnées Robes rouges. Et tout ça pour une broutille... Il s'arréta et grimaça. ce souvenir semblait lui peser.

Tandis qu'autour de la table, la discussion continuait quant aux aventures de Gabriel, ce montaginois n'était décidément guère loquace et il parlait peu en laissant de nombreux trous dans la conversation (Mendo ), lucrétia se senti observé. Elle tourna son beau visage vers le mystérieux inconnu, lui sourit et fit un signe à Sophie.

-Va donc servir un verre à cet inconnu."

La jeune serveuse se dirgea vers Serguei avec une bouteille de Falisci.

-De la part de la dame" dit t'elle, Sophie ne pouvait s'empécher d'admirer la virilité de cet homme. Après luella et ce montaginois si discret, un homme fort de serait pas de trop pour protéger la petite Rose... Elle lui fit un grand sourire."

- Il est rare de voir des hommes tels que vous dans le coin. de quels pays êtes vous? Sophie était directe et franche et elle n'avit que faire de l'étiquette, de plus, avec Archibald à deux tables de là, elle ne cvraignait pas grand chose.

Sergeuil affichait un sourire de circonstance devoilant une parfaite dentition son regard passa de la sorciere de la destiné a cette jeune serveuse, l'observant rapidement afin de ne pas la mettre mal a l'aise l'homme répondit a sa question d'une voix de Baryton, calme et posée presque chuchotante, marquée par un fort accent

- Si il est rare de voir des hommes dans mon genre ici, il est rare de rencontrer des jeunes femmes aussi charmante que vous. Mais pour répondre a votre question, Je viens d'Ussura. Cependant cela fait de nombreuse années que je n'y suis pas retourné.

Sergueil, Accompagnait ses propos d'un nouveau sourire qui se voulait aussi bien charmeur qu' enigmatique. L'Ussuran se leva de toute sa hauteur depassant la serveur de deux bonnes tetes

* Je ne pensais pas que la Montaigne cachait autant de perle en son sein, Peut etre devrais-je apprendre a mieux connaitre ce pays finalement. *

( j'insiste sur mon L a la fin Sinon je suis obigé de refaire ma signature :p )

- En elle, on trouvait la beauté, l'intelligence et la fougue qui me semble indispensables à toute femme ambitieuse. Il coula son regard vers elle, un peu comme vous chère Luella. Elle ne transigeait paset n'héistait jamais à exprimer son opînion. Votre père l'aima aussi beaucoup.... Il écrasa une larme

Et bien cela devait être une femme absolument superbe pour vous mettre dans cet état après tant d'années. En lui tendit un verre de rhum et poursuivit. Mais même la plus belles des femmes ou des hommes dans mon cas ne mérite que l'on se saigne pour elle. L'amour n'est bien souvent qu'une passade de sentiments, une alchimie des sens, une attraction physique mais jamais cette idiotie d'âme soeur. Les couples se restent bien souvent ensemble que par habitude et non plus par amour. Allons reprennez un verre et ne vous laisser pas miner. Profitons de l'instant présent comme si c'était le dernier et restons maître de notre destin.

Javier la contempla longuement, étudiant la courbe parfaite de son visage, ses longs cheveux bruns et ses grands yeux. Il semblait se rapaitre de son image. Il accepat le verre de rhum et commença à le siroter lentement.

Derrière eux, ils pouvaient entendre l'Inish et les hommes d'équipage lancés dans un jeu d'alcool des plus fréquents dans les bars de marins. Et à ce petit jeu, le netif de Tara était incontestablement le plus fort.

Javier termina calmement son verre, regarda le ciel étoilé pius reprit :

" Ma chère, j'avais cette mentalité lorsque j'avais votrte. Hélas, les années ont passées et je suis devenu beaucoup plus cynique. Ne m'en voulez mais vous verrez que vous aussi, un jour vous ytrouverez l'amour et vous comprendrez réellement ce qu'aimer veuxt dire. Je ne peux vous en vouloir mais soyez sure que votre adage peut vous coûter très cher."

Sergueï s'adressa a la jeune femme de son ton le plus Humble et poli.

-Veillez m'excuser Mademoiselle je souhaiterais remercier la Femme qui m'offre ce tres bon cru, mais peut etre accepteriez vous de diner en ma compagnie par la suite ?

Dit Sergueï sans tenir compte du regard de l'Avalonien

-Nous aurions ainsi l'occasion d'echanger les visions de nos pays respectif, je vous raconterais et vous decrirais, la beauté des Steppes Glacées Ussurane, Et vous me décririez la Fastueuse Montaigne. Qu'en pensez vous ?

Sophie remarqua l'attitude du montaginois à son égard, classique, pensa t'elle. Archibald allait encore être jaloux, il était décidément trop protecteur avec elle. ce soir, elle voulait s'amuser.

Mais avec joie Messire, je ne connais pas ce merveilleux pays.

Elle prit une chaise, fit signe à une des jeunes serveuses de lui apporter la carte et reprit

Toutes les employés de la taverne doivent veiller au bonheur des clients. C'est donc avec joie que j'accepet votre invitation.

Pendant ce temps, Archibald fixa longument l'ussuran, un rictus déforma le visage de l'avalonien puis celui-ci se trourna vers on voisin (un beau vieillard à la solide carrure d'eisenor. Il lui murmura quelque chose à l'oreille, l'eisenor leva à son tour les yeux vers Sergueil et eut un petit hoquet, signe qu'il retenait lui aussi son rire. ces deux drôles semblaient bien se moquer se Sergueil.

Sophie sourit, on allit voir...

Sergueï, non sans avoir demander a sophie de patienter quelques minutes se tourna donc vers la table où etait attabler la Stregha, Jetant un bref regard a Armand et son voisin de table qui semblaient se gausser de l'ussuran. Ils leurs accorda un sourire étrange, un sourire qui signifiait: Riez, Riez tant que vous voudrez, Cela ne m'atteind pas. Bien décider a remercier la Vieille femme vodacce, il s'approcha de la table

- hum... hum Veuillez excuser mon intrusion quelques peu cavalière. je tenais a remercier la personne qui ma offert ce grand cru.

Se tournant vers la sorciere de la Destinée, non sans avoir jeter un regard curieux au Montaginois, il s’adressa a celle-ci dans un vodacce Correcte, sans fioriture.

- Je tiens a vous remercier, mais je pensais reserver ce cru afin que nous puissons le déguster a deux. A pres tout il serais dommage que vous ne puissiez en profiter.

Sergueï Affichait toujours son léger sourire et la bonne humeur ne semblait pas vouloir quitter l'Ussuran.

Gabriel observait, amusé mais sans rien en montrer, le manège de l'ussuran.
Il lui selblait que l'homme en question aimait surtout se doner en spectacle, séduire la donzelle en passant pour quelqu'un de cultivé.
Peut-être qu'il l'était après tout mais à la cour de montaigne, combien de temps aurait-il tenu le pauvre bougre ?...

Dans l'immédiat le montaginois était plutôt satisfait d'être resté discret surles raison de sa présence et sur ces connaissances.
Il entrevoyait à présent une chance plus nette d'avoir les réponses appropriées, encore fallait il une discussion avec un peu moins de monde et surtout moins de fanfaronades en tous genres...

Il n'allait pas leir apprendre de bonnes nouvelles, c'était clair.

Il observait malgré tout les réactions de la belle Lucrétia. Il était tombé indéniablement sous le charme de l'élégante quoique plus toute jeune vodacci.

Il y avait quelque chose qui s'était installé entre eux et il n'aimait pas que quelqu'un aussi sympathique fut-il se dresse en travers de ce lien étrange et envoutant.

D'ailleurs, si il l'avait pu, il aurait chassé d'un revers de main les différents importuns qui étaient de trop autour de la table.
Si il avait des choses à révéler, il aurait souhaité que lucretia soit sa seule interlocutrice, les autres pourraient attendre...

Fils de Lugh a écrit:

...Je ne peux vous en vouloir mais soyez sure que votre adage peut vous coûter très cher.

Vous parlez comme un homme sage mon cher Javier. Mais vous parlez aussi comme un homme désabusé. Vous n'avez donc plus de quête pour mener votre barque, plus de désirs pour lutter contre les flots. Vous parlez d'amour mais qu'est-ce vraiment ? Est-ce se trouver un compagnon pour partager et finir sa vie à ses côtés ? Ce même homme qui par lassitude de votre présence va commencer à regarder les voisines, les femmes de vos amis, les catins au pire. Et vous votre rôle n'est plus que de tenir le foyer en ordre et essayer de garder les apparences. Je connais ces gens pour les avoir cotoyer dans de nombreux ports où la Bruja mouillait. Ils sont pitoyables, de piètres acteurs dans la ridicule opérette qu'est leur vie. Et au jour de leur mort quand ils comparaiteront devant Théa que retiendront-ils de leur vie ? Des détails insignifiants. Des evènements sans importance mais qu'ils considéreront comme des faits marquants. Et ils s'accrocheront à des maigres branches pour se persuader qu'ils ont vécu et que leur vie a été remplie et belle...

Pourtant combien d'entres-eux ont renié leurs rêves pour honorer leur conjoint ? Combien n'ont pas tracé leur propre route pour emprunter celle qu'on leur avait tracé ? Combien ont vécu en jouant un rôle qui n'était pas le leur ? Pouvez-vous me répondre Javier ? Le pouvez-vous ?

La Castillan avait dû touché une corde sensible. Le caractère Latin de la pirate ressortait et le flot de parole devenait de plus en plus rapide et de plus en plus vindicatif. Ses yeux s'enbuaient de larmes provoquées par sa rage contenu.

Et par pitié en me sorter pas le couplet de l'apothéose du couple, du l'apogée de la rélation amoureuse ; la progéniture. Combien de ces couples voulaient vraiment de leur enfants ? Bien souvent ils répondent à des codes, des moeurs, des coutumes mais rarement à leur propre insctint. Alors voyez-vous très cher ami, je crois que je ne regretterais jamais mon choix. Et pour vous répondre clairement, j'ai déjà trouver mon amant et vous êtes dessus en ce moment même. La mer est mon amant et rien ne pourra briser cela.

A l'auberge

Archibald remarqua la nervosité du montaginois, de plus, Lucretia venait de lui lancer un regard plein de sous entendus. Il se leva donc et fit signe à ses compagnons.
-Mes chers amis, laissons donc Lucretia et ce jeune homme, il semble qu'ils aient des choses à se dire. Il se leva, accompagné de ses compagnons masculin et se dirigea vers la table de l'ussran. Ses anciens compagnons d'armes montèrent quant à eux à l'étage...

Une fois devant sergeil, Archibald prit la parol

- Bien le bonjour voyageur, vus semblez intéressé par Sophie, me trompe-je Archibald voulait éprouver cet ussuran, Sophie s'en rendit compte tout de suite, la suite allait être intéressante


Pedant ce temps, Lucretia et Gabriel se retrouvèrent en tête à tête. L sorcière regardait le jeun montaginois avec une intensité peu commune dans le regard. comme si elle fouillait au plus profond de son âme...

Et bien mon ami, vous sembliez vouloir me parler. Voilà, nous sommes seuls, que puis je pour vous?.


Sur le bateau

Citation :

La Castillan avait dû touché une corde sensible. Le caractère Latin de la pirate ressortait et le flot de parole devenait de plus en plus rapide et de plus en plus vindicatif. Ses yeux s'enbuaient de larmes provoquées par sa rage contenu.

Javier posa la ain d'un geste paternel sur l'épaule de Luella. Dans les yeux du castillan, toute la compassion du monde . Javier sentait Luella à fleur de peau. Das son toucher, aucune conotatioon de séduction ou de sexe. juste la protection bienveillante d'un père (ou d'un oncle) pour sa fille. Le vieux bretteur retrouvait des sensations perdues en parlant à cette jeune fille. Elle aurait l'age de de... ses yeux s'embuèrent de larmes.

Fils de Lugh a écrit:

A l'auberge

Archibald remarqua la nervosité du montaginois, de plus, Lucretia venait de lui lancer un regard plein de sous entendus. Il se leva donc et fit signe à ses compagnons.
-Mes chers amis, laissons donc Lucretia et ce jeune homme, il semble qu'ils aient des choses à se dire. Il se leva, accompagné de ses compagnons masculin et se dirigea vers la table de l'ussran. Ses anciens compagnons d'armes montèrent quant à eux à l'étage...

Gabriel préférait nettement voir la table se vider de ce qu'il jugeait un surplus d'occupants.
Comme on lui avait si souvent appris, un interlocuteur avisé vaut mieux qu'une assemblée de curieux.

Il avait néanmoins beaucoup de repect pour ceux qui allaient -il n'en doutait plus à présent- devenir ses futurs compagnons d'armes.
En effet, il y avait dans ce groupe de héros quelque chose qui lui inspirait le respect le plus profond.
Ils avaient tous l'air de survivants, d'éternels durs à cuir.

Ils avaient du en voir de toutes les couleurs tout au long de leur longue existence, ce n'était pas une assemblée de branquignols mais bien un groupe fort et très soudé.
De vraies légendes, pensa Gabriel, ils sauront m'apprendre les choses qui manquent à faire de moi quelqu'un comme eux, si Théus m'en done la force... et le temps...

Citation :

Pedant ce temps, Lucretia et Gabriel se retrouvèrent en tête à tête. L sorcière regardait le jeun montaginois avec une intensité peu commune dans le regard. comme si elle fouillait au plus profond de son âme...

Et bien mon ami, vous sembliez vouloir me parler. Voilà, nous sommes seuls, que puis je pour vous?.

Le regard de lucretia était si dense, Gabriel y devinait toute la pureté de son intelligence et de son intuition, mariées toutes deux au pouvoir terrifiant de la magie Sorte afin de faire d'elle un symbole véritable d'élégance et d'intelligence.
Il se sentait consumé par toute la force de suggestion de l'esprit de Lucretia mais il se sentait bizarrement en confiance.
Entre ses doigts à elle il voulait bien révéler les différents filaments qui avaient fait du jeune noble naïf l'aventurier sans foi ni loi qu'i était devenu.
Son esprit vagabondait sur les vagues de ses souvenirs jusqu'à ce qu'il se décide à remontrer la bague à la belle vodacci...

Tachant d'éloigner les souvenirs liés à la rupture qu'il avait du subir à la fin de son adolescence avec le monde qui l'avait entouré, il essayait d'effacer l'image d'Irène, sa chère soeur, son autre... alors qu'il regardait de nouveau Lucretia en tentant de reprendre au plus vite la contenance qui était habituellement sienne.
Il cueillit ses larmes naissantes d'un mouvement rapide de ses doigts avant de feindre une grande fatigue due au voyage et à sa faible constitution.

-"ce... cette bague, je l'ai trouvée lors d'une de mes expéditions les plus dangereuses sur les îles thalusiennes, comme je vous l'ai dit.
Trouver des reliques et les ramener aux différents collectionneurs de Montaigne, voire directement à la cour de l'Empereur, c'est mon lot habituel.
Mais les dangers auquel j'ai été exposé non seulement sur cette île mais encore après me font penser que j'ai pu débusquer bien plus qu'un énième butin de campagne...

La femme que j'ai rencontré dans la forteresse, sur l'île en question (ses yeux semblaient s'écarquiller de douleur) puis els différentes propositions qui m'ont été faites puis, plus qu'on a plus ou moins tenté de m'imposer par la force, me laissent assez perplexe.
Pour que l'église ou d'autres sociétés tentent de récupérer cette bague, c'est forcément qu'il y a anguille sous roche, ne trouvz vous pas ?"

Lucretia observa attentivement les filament du jeune homme. Quelle puissance, rien au dessous du valet. mais il y avait ce roi de bâton partant vers le sud et les îles? que c'était t'il donc passé? elle le regarda...

Vous avez sans doute raison, c'est pour ça qu'il faut que vous m'en disiez plus, sinon, je ne pourrais vous aider..

Fils de Lugh a écrit:

Une fois devant sergeil, Archibald prit la parole[/i]

- Bien le bonjour voyageur, vous semblez intéressé par Sophie, me trompe-je Archibald voulait éprouver cet ussuran, Sophie s'en rendit compte tout de suite, la suite allait être intéressante

* se tournant vers l'Aubergiste qui semblait etre un brave homme, Sergueil mis quelques instants a répondre, comme semblant réfléchir a sa réponse *

-Bien le bonjour Aubergiste, Intéressé ? Quel vilain mot, je considère pas les femmes comme une marchandise je souhaitais en partie discuter avec l'une des belles fleurs que la Montaigne recèle en son sein et passer un Agréable moment, Cela vous dérange-t-il ?

* Répondit Sergueil sur un ton poli *
l'ussuran semblait confiant, est presque inébranlable, tenant toujours la bouteille de vain en main.

// Les Hommes de ce pays sont décidemment très étrange, pourquoi s'imaginent-ils tout de suites que lorsqu'un homme s'adresse a une femme il est tout de suite intéressé, Mon Bon Sergueil tu ne comprendras jamais rien a la vie. //

Archibald sourit, prit une chaise et s'assit en face de l'ussuran;

- Loin de moi l'idée de m'inquiéter. Je ne suis pas un de ces vodacce qui sortent l'épée dès qu'un homme pose les yeux sur sa fille, sa soeur ou sa compagne. Sophie est une très belle jeune femme et vous auriez tort de ne pas l'admirer. seuls les fous ne remarquerait pas sa beauté Tovarich. Archibald avait prononcé sa dernière phrase dans un ussuran parfait, aucunement teinté par un quelconque accent.

C'était juste une manière d'engager la conversation avec un client à l'aspect inhabituel. Vous comprendre qu'ici, nous n'avons que peu d'occasion de croiser des gens de votre contrée. Surtout Reprit t'il en Ussuran depuis que le gros Léon vous a déclaré la guerre. Mais, si je puis me permettre. quel bon vent vous emmènen ici.

Dans la voie de l'aubergiste, l'assurance de l'expérience. Il émanait d'Archibald une sorte d'Aura de confiance. cet homme était beaucoup plus qu'il ne vle laissait paraître. ses grands yeux verts recelaient l'expérience de nombreuses années. Et sophie semblait l'admirer comme un père. même si le petit sourire qu'elle faisaità Sergeil semblait une invite à une discussion plus intime...

Fils de Lugh a écrit:

Archibald sourit, prit une chaise et s'assit en face de l'ussuran;

- Loin de moi l'idée de m'inquiéter. Je ne suis pas un de ces vodacce qui sortent l'épée dès qu'un homme pose les yeux sur sa fille, sa soeur ou sa compagne. Sophie est une très belle jeune femme et vous auriez tort de ne pas l'admirer. seuls les fous ne remarquerait pas sa beauté Tovarich. Archibald avait prononcé sa dernière phrase dans un ussuran parfait, aucunement teinté par un quelconque accent.

Sergueil, elargit son sourire lorsqu'il entendit un étranger maniant aussi bien cette langue compliqué qu'était l'ussuran.


- Je remarque la maitrise que vous avez de ma langue maternelle, et en suis impressioné, après tout l'ussuran n'est pas une langue facile a pratiquer. Cependant vous avez raison, lorsque vous soulignez la beauté de la jeune femme sur laquelle vous semblez veiller avec tant de zêle et je ne peux que vous admirez, pour votre travail.

Répondit l'homme toujours dans son parfaite Ussuran

Fils de Lugh a écrit:

C'était juste une manière d'engager la conversation avec un client à l'aspect inhabituel. Vous comprendre qu'ici, nous n'avons que peu d'occasion de croiser des gens de votre contrée. Surtout Reprit t'il en Ussuran depuis que le gros Léon vous a déclaré la guerre. Mais, si je puis me permettre. quel bon vent vous emmènen ici.

Dans la voie de l'aubergiste, l'assurance de l'expérience. Il émanait d'Archibald une sorte d'Aura de confiance. cet homme était beaucoup plus qu'il ne vle laissait paraître. ses grands yeux verts recelaient l'expérience de nombreuses années. Et sophie semblait l'admirer comme un père. même si le petit sourire qu'elle faisaità Sergeil semblait une invite à une discussion plus intime...

L'ussuran emit un léger rire a l'evocation du Gros leon

- Je suis conscient que les gens de mon état n'ont guere l'habitude de sortir des contrées glacées de l'Ussura, et que mon pays peut paraître sauvage, mais une fois que l'ont apprend a connaitre ce dernier, je vous assure que l'Ussura devient plus vite chaleureuse. Mis a part, les Individus comme votre " empereur " qui ont des intentions peu honorable, alors Matushka protège ses enfants, quoi de plus normale qu'une mère protégeant sa progénitures ?

Sergueil jeta un oeuil a Sophie qui semblait heureuse de voir quelqu'un " s'intéressant " a elle, puis attendit la réaction du patron de l'auberge

Le sourire d'Archibals s'élargit

Je vois que nous avons affaire à un mettré. Belle allégorie sur la petite mère. mais ne vous inquiétez pas pour moi. Je connais l'ussura et je sais que la prétendue stupidité de ses habitants n'est qu'un leurre. On devrai plutôt parler de bon sens. Quant à votre froideur, c'est totalement faux, j'ai passé certaines de smeilleures oirées de ma vie dans cette bonne vieille ville de Siev.

Sophie souriait toujours à Sergeuil, serait t'il le troisième protecteur de Rose, l'homme venu du froi?

Mais, Reprit

Archibald, je me doute que vous avez bien un objectif en venant ici...

Fils de Lugh a écrit:

[...]Elle aurait l'age de de... ses yeux s'embuèrent de larmes.

Luella, à son tour, posa sa main sur la joue du castillan. D'un geste du doigt, elle carressait sa pommette en essuyant une larme qui coulait. Un étranger passant à leur côté aurait pû croire à une rencontre amoureuse mais il n'en était rien, bien au contraire. Entre une femme seule sans son père depuis trop longtemps et un vieil castillan nostalgique, seul une relation paternelle pouvait s'installer. Point de malentendu, ni de jeu de séduction...non, rien de ça.

"Et bien mon cher Javier, dit-elle sans cesser de caresser sa joue, vous allez me faire passer pour une piètre hôte devant nos amis si vous ne cessez de larmoyer comme une donzelle. Où donc est passé cette fougue castillane. Cette fougue qui coule dans mes veines, comme dans celle de mon père. Allons reprennez-vous et attendons le reste de vos amis dans la joie et l'alcool et non dans les larmes."