Crescent Empire saison 1 (PJs)

Ouha ! En avant, camarade !

et moi aussi je raconte dès que possible

La route du désert
C'est avec un bonheur non dissimulé que j'abordais den ouveau les terres ancestrales de..... De rien, en fait, j'adore le désert, son coté beau et dangereux, insaisissable.... Comme une femme en fait
Mais on nous avait laissé avec quelques vivre. De quoi avancer vers le sud mais pas de quoi faire un festin. On a donc pris la route, pardon la piste, non, la direction du sud. Au bout de quelques jours Kaan ne râlait déjà plus sur sa monture, j'ai même cru qu'il avait pris gout au voyage en dehors d'une caravane. Mais en fait non. Son sang de loup doit garder le dessus

Nous avons vu un crâne, sur une pique, et des marques de lapidation. TOut de suite ça vous refroidi, même dans le désert. Mais, devant l'oasis qui du bout de ses palmiers nous tendaiet les bras, il ne fallait pas dire non. Nous nous sommes donc approché pour découvrir les gens du coin. Des nomades évidemment. On a eu le droit a un accueil chaleureux, et une belle hospitalité....entre homme. Bon ca arrive. Dans certains coin visités du croissant j'ai appris à savoir que le sexe d'une personne déterminait sa plac. Et si on aime à voyager il faut savoir prendre les cultures comme elles sont. Et puis moi vous savez tant que je peux croiser les beaux yeux d'une femme je respecte sa place dans la société.
Après un bon diner comme il y a très longtemps on est parti se reposer. Et c'est là qu'eut lieu, l'attaque de la chèvre maudite démoniaque !!!!
Euh non, là une gamine est venue nous trouver. Sa mère devait être lapider le lendemain et comme a pu s'en rendre compte kaan son statut de noble avocat ne pouvait rien à la situation ou la femme avait déjà été jugée par ses paires. Et puis la petite devait être mariée de force. Bon au final les coutumes s'est bien, mais des fois on s'ennuie. Donc après avoir soutiré un peu d'argent à mon comparse de voyage pour la forme on décida d'agir vite et bien. après une diversion par les chèvres de la part de Kaan , un petit incendie près des bêtes, je pris plaisir à libérer une femme en détresse.Aaaaaah quel plaisir.... pardon, on ne traina pas bien sur car tous ces sauvages (des gens comme moi mais en un peu moins coutumier de la liberté des femmes) nous poursuivais déjà. On a du pas mal cavaler à dos de chameau pour les semer. Malheureusement, la nuit d'après il nous retrouvaient. Pim pam pouf, on s'en débarrassait et je récupérait au passage deux dromadaires.

Un n'était pas près à devenir mon ami. Je le donnait donc à Kaan, puis m'intéressait à l'état de santé de la mère de la petite que nous vions libéré. Elle ne disait mot et se cachait sous son voile. Rien de grave jusque là, mais sa fille inquiète se disait qu'elle devait avoir une blessure ou autre. Alors, alors, en bon médecin j'assommais madame la mère
Pas fin mais le meilleur moyen pour soigner son empoisonnement. En effet, madame,, belle d'ailleurs mais bon, hum, oui donc ma patiente souffrait de racine de vagabond ingurgitées dans l'espoir de mourir lors de lapidation mas sans douleur. pas bête, mais le poison continuait. J'ai donc pris soins de la soigner un peu puis nous sommes repartis pour trouver rapidement un antidote. Plein sud toujours !!!!!!!!!!!!



Sauf que la nuit d'avant Kaan avait repéré des lumières. Nous sommes donc partis dans cette direction. Et nous avons trouvé... des gens. Plutot rose de visage, blond.... intéressants donc
Ils fouillaient un lieu du désert ayant des ruines syrneth. Il se prétendaient archéologue. Comme si creuser la tere pour trouver des ruines juste pour savoir de quoi ca parle était un métier. Mais bon, faisant fi de mes préjugés, je me suis dit que ça pourrait être intéressant de fouiller des vieux truc poussiéreux plein de pièges, et peut être de trésor. Et puis je notais aussi deux choses importantes. Astrid, la sœur du grand type était très jolie, et , l'hospitalité était de rigueur dans le campement. Alors...avec une malade sur les bras il nous fallait rester quelques jours

Mais le lendemain matin les choses se gatèrent. La petite était curieuse et était parti dans les ruibne. Vingt mètres de chutes plus bas on la retrouvait en piteux état. Mais, tout compte fait ce ne fut pas plus difficile à encaisser.

Non car croyez le ou non, chère assemblée, mais on nous attaqua. Des petites tornades et des hommes en armes. Rien de quoi révolutionner le monde mais un vrai plaisir matinal pour se dégourdir les jambes

Et de un, de deux, et trois pillards de tuer. Mais on commençait à être débordé. Puis un malheur n'arrivant jamais seul, alors que je pensais à une retraite stratégique au cœur de la cité souterraine, l'avalonien se fit agresser dans le dos. Une glissade plus tard, les bottes dans le sable je parais les lames des assassins. Un regard suffit pour que je comprenne à qui j'avais à faire. De Qatili. Là vous avez le choix, soit vous vous interposez rentre eux et le contrat et risquez de mourir, soit vous prenez la poudre d'escampette et vous vous faites oublier.

L'esprit de survie c'est bien, mais comme Kaan m'avait rappeler au diner ma vision d'horreur ou je meurt vieux, je me suis dit que ce type venu de loin devait rester en vie. Et au pire,je pourrais tuer les Qatili en les balançant par dessus le pont. Mais ma réflexion s'arrêtait là. je fis le fier une dernière fois, la gorge en sang je souriais une insulte au bord des lèvres. Un dernier assaut cher ennemi, c'est out ce que je te demande. Mon corps me fit cette faveur,. Feinte de coté, glissade et manqué, je pare de nouveau, je me penche, j'esquive reprend position et là je le sens déjà. Cet air froid qui me saisi le dos qui me dit "bienvenue".
On échange un regard, il me baragouine un truc sur son poison et la mort qui coule dans mes veines que j'entends à moitié. Mon cœur bat à tout rompre et je n(entend que lui. Un vague coup d'œil pour embrasser la scène de ma mort, et je m'arrête sur la belle Astrid qui avait repousser mes avances. Son cœur bat pour le vodacce mort de la main de son frère. Kaan se bat contre un bon bretteur de Sermselik, et moi, je prend appui sur mon pied droit et fonce. Lames au claire je plante mon ennemi. Il me souri. Il meurt....Je souris, je meurs.

Voila, voila. On en est là, je suis mort et je me demande maintenant, si je vais aller d'un coté ou de l'autre...ou si je peux négocier ma place au Paradis, ou l'autre paradis des Qatilis celui u la légende parle de Houris .

Une mort vraiment héroïque
Pour un poète à la voix d'or
pour un voleur au cœur d'or
Une mort vraiment héroïque

Tayyib est mort en affrontant (et en vainquant) l'une des pires menaces du Croissant. En sauvant la vie d'un hautre. En Héros.

Sa bravoure et ses vers rentreront dans l'Histoire, Kaan en fait le serment.

Paix à ton âme, mon ami

merci

Le Créateur m'a fait m'accrocher à une caravane partant vers le nord de l'Empire. C'est lors d'une des premières petites escales que nous nous sommes approchés d'un camp en plein milieu du désert. Nous étions arrivés depuis quelques heures qu'on me signalait des gens étranger.

...

... Un vrai bonheur donc pour moi qui apprécie l'exotisme. Oui car venant de quelques années d'étude à Zafara j'ai pu côtoyer pas mal de personnes, dont notamment des Castillan. Alors mes compagnons de route n'ont su me dire d'où ils venaient, mais duc coup je m'empressai d'aller jeter un œil.

C'est là que j'ai pur rencontré...Kaan. Ce monsieur de noble naissance, a donné un nouveau virage à mon existence. Mais j'y reviendrai. Pour l'heure je pu croiser une belle femme exotique de vendel, Astrid et son frère Lars. Intrigant avec un caractère ancré dans de la pierre bien dure. Bon il est vrai que notre discussion sur les coutumes, le port du voile pour Astrid et les limites de territoire n'était pas forcément des plus douces, mais je me devais de voir jusqu'où il voulait creuser dans la terre du Sultan, et jusqu'où allait son intérêt pour le respect de la culture d'autrui. Donc a force de passer pour une tête de mule, gentiment tout de même, j'ai réussi a le faire parler et apprendre pas mal de choses sur son pays.

...

En plus de cela, j'ai pu discuter avec d'autres personnes, dont Kaan. Homme un peu perdu suite au décès de sn ami, qui hésite à marcher dignement sur le chemin du Créateur. De fait, je me suis dit que j'allais suivre l'étoile qui clignait de l'oeil dans le ciel ces soir là, et accompagner cette âme sensible qui pourrait peut-être, sans port d'attache, s'échouer. Donc nous sommes parti vers Basra pour commencer SA quête.
En effet, Kaan a pas mal de problèmes à régler avec lui, des ennemis, sa famille et Shameran. Sa famille est en effet maudite par la déesse pour une sombre histoire d'alliance annulée et du coup, l ne pourra jamais avoir d'union heureuse. Donc nous allons voir vers un temple de la déesse si il ne peut faire amende honorable. Mais en chemin nous nous sommes arrêtés à Fort de l'Aigle.


Très animée, la vie reprend ses droits après quelques jours de silence dans le désert. On est tout de suite pris en main par des chamelier locaux. Un vrai plaisir du voyage avec des codes d'hospitalité qu'on ne trouve malheureusement pas partout. une belle fin de journée, un hammam et une prière plus tard nous dinons dans la salle principale quand le neveu du Cheikh arrive avec ses hommes. Sanglant et faisant peur à tout le monde il s'installe avec sa suite et tout de suite brise cette atmosphère chaleureuse en donnant des ordres et maltraitant des esclaves.
Ce fut le point de limite atteint par Kaan; Je n'ai pas raté ses yeux trainant longuement sur l'exotisme de cette esclave montaginoise au tempérament d'acier. Mais elle attaqua son maitre le blessant légèrement. Du coup il décida de la tuer. les yeux de Kaan se teintèrent légèrement de jaune loup je crois ... un bref instant.
Puis après de longues discussions dans lesquelles je pu en apprendre plus sur Kaan et ses motivations nous nous décidâmes à agir pour sauver ces esclaves moins bien traitées que le Créateur le voudrait.
Je volais user de la facilité que m'a donné le Créateur , ma taille, pour impressionner les gardes. mais à force de discussion, ils avaient plus peur de leur maitre que de moi. Du coup la situation glissa légèrement quand les femmes se débarrassèrent de leur geôliers et tentèrent de se libérer. Kaan arrivait par leur fenêtre et malgré mes protestations a vouloir me battre, je du pourtant en venir là.

Le sang. C'est toujours gênant de tuer quelqu'un.
Il s'en est suivi un duel avec le dit neveu. Je croit qu'il a du sable dans la gorge quand il parle de moi, ou en tout cas qu'il est bien irrité de penser à moi. Il m'a pris pour némésispersonnel cette nuit là. Ne voulant lui faire le plaisir de mourir trop top, je décidai donc une retraite stratégique.



Au final nous sommes parti et à l'instant même ou je fini de vous narrer cette histoire nous apprenons que nous venons de libérer la fille de l'une des trois dirigeantes du temple de Shameran .

Ne venez pas me dire que le Destin et le Créateur n'y sont pour rien dans mes choix...mmm ? Il ne nous reste plus qu'a survivre jusqu'à Basra maintenant

Lalla Ania bint Baya, fille d'une des trois dirigeantes de Basra (non pas fille de la grande prêtresse mais de la gouverneur)

sorry.
en tout cas plutôt du genr e à ne pas se laisser faire

fablyrr a écrit:

sorry.
en tout cas plutôt du genr e à ne pas se laisser faire

Dis, ce n'est pas une guerrière!!! C'est plutôt le genre "liane", souple, mince et femme de cour (enfin, jeune fille de cour)

J'espère finir cette première saison fin février. D'ici là, rappelez-moi vos Epées de Damoclès, que je vous mitonne quelque chose...

Nous avons pu prendre un peu de repos avant que le Créateur nous rappel sur le chemin de notre Destiné. C’est ainsi, on n’y peut rien, malgré les réactions étranges de notre compagnon montaginoise qui étrangement ne croit pas en le Créateur ou même un équivalent, il faut bien avouer que notre chemin se trace au fur et à mesure et que nous ne le choisissons pas forcément ;
Ce fut le cas cette nuit là, quand nous avons été assommés, volés, et jetés au fond d’un trou. A partir de là ce fut un réveil pâteux, accompagné d’un mal de tête. Les ténèbres, la fraicheur souterraine. Nous étions toujours tous les quatre mais dépouillé du principal de notre équipement ; Il nous fallu peut de temps pour réaliser que nous étions dans un labyrinthe et que nos rencontre ne seraient pas dignes des rêves montaginois qui nous voient sur des tapis volant avec un turban et le sourire. Heureusement, et cela personne ne peut le nier, je suis doté par la grâce du Créateur du don des étoiles ; De fait, nous avons pu nous orienté, et ne pas nous laisser happer par la perte de notion temporelle. Les étoiles même sous terre pouvaient me guider ; Nous avons donc progresser plusieurs jours sous terre.

To be continued.

Et pu avoir des discussions théologiques intéressantes - y compris dans des endroits... exigus!

yep ! le "cross-over" avec Notre Tombeau était top. je raconte la suite très vite...moi

And so?

j'fais qu'est-ce que je peux

Évidemment les risques n'étaient pas à ignorer, évidemment nous avions de la chance, évidemment il y avait des pièges. Évidemment on nous avait jeté là pour qu'on y reste ou qu'on ne soit retrouvé que sous la forme d'un des nombreux squelettes blanchis que nous avons pu croise lors de ces quelques jours sous terre.
Donc conclusion quelqu'un nous en voulait. Mais qui ? Pour l'instant ce n'était pas la question. le créateur nous avais mis à l'épreuve. Les bourreaux qui nous avais jetés là, pensait qu'on allait s'entretuer, aller à l'encontre des valeurs fondamentales et essentielles que le Prophète nous a légué. Donc non nous ne somme spas des monstres et au lieu de s'entretuer pour la survie de chacun nous nous sommes soutenu pour la survie de tous. La première épreuve fut quand le plafond et les murs bougèrent d'un seul coup. Etre grand n'a pas que des avantages et je peux dire que plier deux ètres de haut pour courir à toute vitesse à ras du sol est loin d'être facile. Au final tout le monde sauf moi s'en est sorti. Non je ne parle pas d'un autre monde, car la montaginoise, pluttot que de se sauver est revenue en arrière. Un sentiment louable, une valeur qu'elle dit être de son pays. Je pense qu'elle a simplement ce que les Homme bons ont en leur fort intérieur, de l'humanité. Enfin du coup on s'est retrouvé dans un caveau assez grand pour une personne et demi. Ce qui aurait pu être charmant d'être collé à une si jolie femme devint un peu ennuyeux quand notre âme nous rappela que l'air allait manqué. Je me mis donc en quête de trouver un mécanisme. A ce moment là je ne peux vous dire ce qui se passait de l'autre coté. Mais en tout cas le mécanisme, lui était à l'extérieur et nous fumes sauvé par nos deux autres compagnons.

Lautre grande épreuve fut pour ces deux compagnons en questions qui se retrouvèrent dans une espèce de sable mouvant grouillant de petits insectes rongeant la peau. A croire que nous devions chacun avoir notre épreuve. Là encore l'entraide fut plus forte que l'adversité. Et enfin la dernière preuve fut de survire ensemble, avec nos différences, dans un milieu hostile et sans eau ni nourriture. Une vraie palette de caractères et d'origine, de religion etc. Tout ça pour mon plus grand bonheur afin d'en apprendre plus sur les autres mais aussi de charger parfois le débatr pour gagner un peu de temps. Même si les divergences furent assez forte, il en ressort que temps qu'on râlaient ou discutaient ion ne pensaient pas à notre estomac et cela nous préparait à une renaissance.

Ce fut le cas symboliquement en sortant un par un de ce trou vers la lumière..... du désert.
Après s'être débarrassé des gardiens de la sortie on reparti vers notre destination. Deux petits événements on ponctués cela. Le premier est le kif pris par les dits deux mêmes compagnons pendant qu'on se débarrassait des gardiens et le dernier le fait qu'on fut récupéré par une unité de Basra en vadrouille. A cet instant nous prenons la route du palais de Basra. un lieu qui promet bien des surprises culturelles et humaines.

Plutôt ça :

"c'est une maison bleue..."

C'est cela, oui...

Après une dernière halte pour se sustenter, ou Kaan a failli se faire mordre par un serpent, nous sommes arrivés au palais. Mais l'incident cité n'est pas anodin puisque instinctivement j'ai mis la lame de mon cimeterre sur la route de l'animal. Un geste malheureux qui a failli tourner au vinaigre avec les gens nous entourant. Sur quoi je ne voudrais pas faire de la philosophie de bas étage mais il me semble que quelquechose cloche. On est censé, d'après eux, se laisser mordre par un serpent qui nous attaque. Je schématise mais c'est ainsi. Donc mourir, mais à ce moment là doit-on laisser une épée se diriger vers notre coeur sans bouger en considérant que le Créateur a choisi cet instant pour nous rapprocher de lui ? Doit-on laisser les serpent prendre l'ascendant ou doit on réagir en considéarant qu'a ce moment là, la déesse serpent l'avait prévue, et donc que nous avons le droit ?
Enfin, ces questions n'ont pas lieu d'être posées en tout cas et resterons dans ma modeste tête pour éviter les erreurs dites diplomatique.

Nous sommes arrivés au palais ou nous avons été accueilli par une des trois grandes dirigeante de l ville, la mère de notre princesse. Tout le monde commençais déjà à enchainer courbettes et beaux vêtement. Des manières vues de loin pour moi mais il est toujours difficile de savoir vers qui se pencher, faire une révérence ou un geste du menton, et à quel degré?
Non les manières ça ne fonctionne pas bien pour moi. D'autant qu'avec tout le respect que je dois aux personnes bien nées, le Créateur nous a tous fais au même niveau...normalement.

la vie n'est pas facile des fois. A peine arrivés que nous avons été conviés à un diner en présence de tout le monde avec des danseurs et musiciens pour rythmés tous ces plats qu'on devaient ingurgités. Que dire, il vaut mieux s'abstenir de dire quoi que ce soit plutôt que de se tromper et froisser quelqu'un. Surtout que tout le monde était de hut rang autour de la table....

Malgré tout je n'ai pu refuser une danse à la cousine de la princesse, par respect de son rang et autorité mais aussi pour son sourire. Enfin, que dire, ai je le droit de la regarder ? Techniquement je ne suis qu'un paysan.... MAis après le repas c'est elle qui est venue me voir dans la chambre....que faire ? Oui ? non? Accepter sa tenue transparente à cette heure tardive pourrait être mal perçu par la maisonnée mais en même temps la repousser alors qu'elle est aussi princesse serait mal élevé...du coup cette nuit là nous avons joué aux ajedrez....

Sans compter... des rêves!