Campagne Lace': Ashes in the Fall

Hop, voici ouvert le sujet de cette fabuleuse campagne !

Au programme, du noir, de l'intrigue, de la viandre froide et cette vase harborienne que mes joueurs se feront un malin plaisir de retourner... N'est-ce pas ?

Pilote: "Buffet à volonté"

Ou: "comment John et Esther feront connaissance..."

cool....

(faut que je finisse mon back moi:) )

mmmhhh, on a commencé à jouer samedi et c'était bien, très bioen même. je vous raconte ça très bientôt

Yep - une belle mise en bouche je trouve, avec des personnages en "pelure d'oignon"

Réveillée en pleine nuit - après un vernissage - par un détective du HHPD, un golem, je me rends sur les lieux d'un crime. mandatée par Ronnie Bradshaw. Sur les collines, non de Blueberry Hill mais bien imbibées de pluie, à trois heures du matin. La victime : Ed Howe, poignardé à 22 reprises. Ronnie m'a fait venir parce que l'autre photographe est ivre mort, mais aussi parce qu'il a récupéré des trucs sur moi : des photos, et des papiers (en russe). Sur place, entre deux clichés je fais la connaissance de John Drake, première gâchette chez Spencer & Poole. Genre Iceman, au premier abord. Une tête de tueur - mais classe, le tueur. Un costume impeccable. Un regard d'acier et de glacier. je ne pensais pas le revoir, en fait, sauf que... Sauf que dans le dossier, il y avait AUSSI des photos de lui, au ski et en camisole... (et de moi, en camp, en ghetto...)

L'affaire sentait mauvais, très mauvais même. Que faisait cet homme avec des dossiers sur nous - sur moi ? et des photos que je ne VOULAIS pas revoir - sans compter l'impression détestable ed'avoir été observée tout ce temps.
J'ai téléphoné rapidement à Drake, réussi à le voir après quelques circonvolutions et recherches sur l'Amérique du sud à la bibliothèque. Lui aussi avait eu - via un autre moyen - accès au dossier. Une manière comme une autre de briser la glace...

to be continued...

j'essaie de raconter cette semaine, surtout après mon mal de crane...

Il était tard. Je m'était même couché, avec un livre parlant de guerre; Le sommeil aux portes de mon esprit. Et là, le téléphone sonne. Mon boss. Enfin, le fils de mon boss. Un cas. urgent. Un gros client vient de se faire déssouder de plusieurs coup de couteaux, la police est sur la brèche, et moi je dois me rendre sur place pour enquêter sur le truc. Savoir pourquoi ? Qui ? Comment? Un truc bien fait, pas bacler à la police ocale.
Après prise en main du dossier je note le type. Casier ouvert. Il a une enquête sur le dos pour avoir fureté avec une prostituée mineure. Du chantage. Ca pue. Il fait dans le gros sous. Dans l'immobilier, mais j'apprendrai p^lus tard que c'est un petit. Grosse magouille dans l'air. pas clair cette histoire. Mais enfin pour le moment je suis sur place. Je suis convenable. Assez pourqu'avec mon costard et ma cravate les flics ne fassent pas trop attention a moi. Ca dénote. j'ai un parapluie. L'eau tombe drue, la pluie est violente et à grosses gouttes. La scènes de crime se fait tout de suite pourrir par le temps et le conflit de frontière entre la police de la ville et le shériff du conté. Du genre a porter des sunglasses en pleine nuit et sous la pluie celui-là. J'établi le contact avec un fic un peu blasé en charge de l'enquête. Puis j'essaye d'en apprendreplus auprès de la photographe sur place. entre deux, le fil sdu boss m'a donné les clés du coffre fort de la victime chez nous.

to be continued.

Intitulé du prochain épisode: Ronde des plats...

les suites de la première affaire : indirectes, mais quand même... Andrew Newman, un jeune artiste mécéné par Miss Arbison disparaît le soir de son vernissage, dans la salle du fond de son expo : les mystérieux signes de la Mission franciscaine où le massacre a eu lieu. Je contacte Drake, ca a évidemment un rapport avec notre histoire- et lui entre deux a déjeuné avec un type qui veut aussi me rencontrer... Entre deux, aussi, je suis allée faire un tour du côté de la "zone" de Hoboland, faire des photos du trou d'enfer qui s'étend et ronge tout alentours... de fil en aiguille, entre différents rendez-vous, qui me permettent de découvrir d'autres aspects de Drake (John, d'accord), on comprend qu'il a été interné pour "visions" et "délires paranoïaques" dans un HP à los Angeles, puis a été transféré ici, suite aux versements d'un mystérieux individu, qui a évidemment cessé de payer. On apprend aussi qu'il se drogue (quelqu'un PAIE sa drogue alors qu'il n'a pas d'argent) et son séjour a Hoboland (il allait tout le temps du côté de la zone) a été chaotique, puisque les Hobos voulaient le tuer, qu'il était protégé par le prêtre - Carmichael, gentil mais grandiloquent - et avait des visions de l'autre côté...
le soir, après un dîner agréable avec John, une mauvaise suprise m'attend - Asshole Spender, escorté par deux flics, qui voulait... Lui voulait certainement me passer à tabac ou autre, eux sont sortis... je l'ai menacé avec un couteau, la voisine est sortie avec son revolver (ivre mais efficace)... j'en ai retrouvé mon yiddish.
Ce soir, j'accompagne John à l'HP où a été trouvé le dossier de Newman.
j'aime bien John. je me sens en sécurité avec lui.

argl on a posté en même temps...mon post est passé à la trappe

fablyrr a écrit:

argl on a posté en même temps...mon post est passé à la trappe

tu ne peux rien faire ?

si pleurer... et retaper

Après l'histoire des coups de couteaux, dont j'ai pu classer l'affaire rapidos on a continué à creuser. En effet, la dite victime vivait dans la banlieue de la ville. Dans cette zone ou les pavillons minuscules sont reproduits comme un môme prend un seau pour faire des pâtes de sables. Or, la dite victime était soit disant riche. Ce qui ne gêne pas plus mes employeurs mais quand la dite victime trimballe des photos de moi, j'aime moins. Donc on continue à creuser, puis on piétine un peu, alors ça part dans l'occulte. Là je rentre en contact avec un type qui veut être mon ami. Il commence mal en me soulignant qu'il sait qui je suis d'ou je viens et tout le tralalala.
Oui j'aime pas. Mon passif à l'OSS est pour moi un peu du passé ou j'ai acquis des compétences d'anonymat. Le fait de sortir du circuit OSS à la naissance de la CIA? m'a fait entrer direct en HP. La on a du me blinder de cahets. Entre autre toujours est il que mon passé, le peu que j'ai m'appartient et que plus je croise des gens dns cette afaire plus les gens savent alors que mon dossier est sensé avoir disparu. Peu de personnes sont au courant d'un peu de choses sur moi. Je me suis arrangé pour en tout cas; J'aurai pu espérer être plus doué que cela, mais non, ça me poursuit encore et toujours. A croire que je ne suis pas aussi doué que cela. Ou alors que je perd la main. Ce qui ressort en plus ce sont des photos de moi en HP. Hyper attractif le truc : camisole, mur carrelé blanc et j'en passe et des meilleures.



Bon l'affaire se tasse et on n'a toujours pas le coupable, on sait seulement que c'est en lien avec l'"Autre monde" le coté démoniaque pour faire simple. L'arme servirai de catalyseur et après avoir visité le monastère ou il y a eu un massacre trois mois plus tôt, on se dit que c'est lié aussi. Pour faire simple dans les dernière rencontre, notamment celle avec OldMan, qui se nomme David Calver, qui est au courant de trop de choses mais qui est contre le retour des nazis en ville, on serait probablement, selon un groupuscule occulte en cheville avec les nazis de l'après guerre, voué à être de bon réceptacle pour des créature de "l'Autre monde".
C'est pas la fête.
Et puis il y a cette nouvelle histoire. Esther me contact, vous savez la photographe de cadavre, celle qui me propose déposer pour elle entre ses photos de hoboland et celle des cadavres pour la police, pour l'histoire d'un artiste qui a disparu.
Le type devait venir au vernissage mais il a été invité à monter dans une voiture et hop, il disparait. Bon, pas très motivé mais je peux rebndre service. J'arrive et le plus motivant est qu'on a des montages photographiques de d'asiles et de camp de la mort...truc qui pouraient coller à Esther et moi-même. Lien métaphorique ? Manipulation ? Agaçant de nouveau de se trouver sur le devant de la sèe, même si Esther me souligne qu'elle n'a "visiter" que les camps de transit. Bref, on se remet à l'histoire. On cherche, on fouille, je secoue quelques cols de camés, on avance lentement. On arrive à apprendre que Newman, l'artiste s'est fait interné en HP dans une clinique chic de la ville. Après avoir fouillé un peu plus on apprend que le type n'a pas de ressources, et qu'il vient d'un autre établissement. Etrange, surtout que l'autre HP est celui d'ou je viens. Je ne vous raconte pas mon humeur de savoir le lien. Encore un drogué qui va devoir parler, ou alors, ça va secouer. Esther et moi-même creusons divers pistes, et après avoir croiser un type qui semble être du FBI (on est sur de rien dans cette ville), deux gros bras un peu prétentieux et crétin, on arrive a apprendre que les personnes qui l'ont enlevés, c'est la mafia. Retour à la case départ si l'on peut dire. Mais comment savoir, que les types en noir dans une voiture noire sont mafieux de nos jours. Après renseignement, on se retrouve à découvrir dans ce méli mélo, qu'un échange va avoir lieu. Newman le medium drogué comme pièce d'échange entre la mafia et des anciens nazis. Donc va falloir être un peu actif. Je tombe dans l'histoire sur Bennet, le gars qui m'a permis de relever la tête en arrivant en ville et a qui j'ai filé pas mal de coups de main.


On arrive au lieu de l'échange, dans les Warehouses. Là) on se réparti les tache. Bennet tire trois coups en l'air en entrant, Esther lourde un coctail molotov pour distraire et on repars avec lea victime. Ca c'était le plan. Sur place trois mafieux. Un lieutenant et deux hommes. Les portes flingues sont surpris, pas l'autre. Il se met à faire un speech, à me prendre de haut et à donner des ordres. Je crois qu'il n'a pas compris qui avait le flingue. Le type du FBI m'avait djà sorti ses grands airs de "c'est moi qui commande". Mais là, on me menace en plus.
A ce niveaux, Benett fait le couard et se casse. Jene lui en veux pas, il est comme ça, c'est sa nature de pas être courageux. Esther essaye de prendre la victime en jetant un dernier Molotov. Et moi dans l'action je tire pour nettoyer. Non le petit Vito va pas continuer avec ses grands airs menaçant et non, je ne compte pas laisser sortir vivant quiconque pourra me foutre la mafia locale sur le dos. Alors je nettoie, comme il faut et on s'en va.
Les fireman sont en route.

Nous déjà loin on part chez Calver, dit OlMan...

Nous nous sommes retrouvés au
cinéma. C’est la première fois que je vais au cinéma avec quelqu’un depuis mon
arrivée à HH. Under
Capricorn. Un
Hitchcock. Bien, sinistre - “la vie” selon John. Je ne suis pas sûre
d’avoir envie de ça au cinéma, mais c’était drôle de partager un moment
« normal », enfin, normal techniquement pour les gens. Je crois que
John ressent le même besoin/ la même distance – se demander ce que ça fait de…
Le truc, c’est qu’il a encore plus que moi un problème d’identité. Disons que,
quelque part, ça me dérange que des gens sachent des choses sur moi mais mon n°
de matricule est bien pratique pour ficher les boules à des importuns. Pour la
plupart, un Juif qui a connu l’holocauste est forcément rescapé de Dachau,
Auschwitz et a fait l’objet d’expériences de Mengele et de ses copains. Je
les laisse croire ça, dire ou imaginer
(comme s’ils pouvaient imaginer) ce qu’ils veulent à la limite, tant mieux –
cette étiquette-là est une protection. Mais pour John, c’est différent. Lui n’a
pas d’étiquette, de barrière protectrice – que les gens sachent, ça le fout en
rogne et ça le touche (assez pour qu’il veuille les buter). Je m’en suis rendu
compte quand j’ai dit son nom aux deux hommes de main de Blanche Harbison ça le
gêne vraiment. Bref, après le cinéma, donc, le RDV avec les duettistes, puis
tout droit à l’hôpital psy du Dr Vandelheim.
Quatre types devant, dans une voiture, j’ai été prendre des photos, John
a pris la mouche et la tête d’un type contre le pare-brise, on n’a rien appris
à part que le type était un agent du FBI (en fait, non c’était un faux il est
mort trucidé après). En allant faire ses
recherches dans son coin, le soir, John a appris que Norman avait été enlevé
par les mafieux pour cause de dettes de jeu.


Durant la journée, je suis allée
en repérage dans la Forbidden, histoire de faire quelques photos aussi – et
puis j’aime bien me balader dans les rues
de ce quartier durant le jour, ça ressemble à un champ de ruines et ça
me fait penser à l’humanité, du coup – ou ce qui restera de nous… Bref. Je suis
tombée sur un type, Bennett Brown. Bookmaker. Beau parleur – essayant de me
faire la cour ? Pas très clair, mais je ne comprends de toute façon pas ce
qu’ils ont tous, je ne suis pas une vamp, et surtout je tiens les gens à distance
– il n’y a que quand je parle de cadavre que les types commencent à se dire
qu’il y a un truc qui ne tourne pas rond. Bref, échange de cartes, etc. Je
rentre chez moi, je commence à développer les photos, à 5H, John appelle. Dans
la même volonté d’essayer de faire un truc normal – je l’ai invité à dîner et
lui, devait avoir la même chose en tête puisqu’il m’a apporté des chocolats.
Mais en fait, je me dis qu’on ne devrait pas essayer de faire des trucs
normaux, on n’est pas normaux – donc le cinéma oui, mais pour le reste je me
dis que marcher au hasard, rentrer dans un snack et discuter jusqu’à deux
heures passées c’est aussi bien et c’est peut-être autant lui que moi.


Bon, bref, le soufflé on n’a même
pas eu le temps de le goûter. Bennett m’a appelée : en gros des mafieux
allaient échanger Norman avec des nazis. D’anciens nazis. Bref, on s’est donnés
rendez-vous. Il se trouve que John et lui se connaissaient, un mec
« réglo » d’après John (comme quoi, il se trompe parfois). Dans le
hangar où était retenu notre JHED, deux types et un « gros » mafieux.
Je n’ai pas tout suivi, mais je crois qu’il y a un truc qui a fait un
court-circuit dans le cerveau de John. L’autre voulait discuter, John voulait
Anton – et lui a tiré dessus. Faut dire que parler à John de sa cicatrice, ce
n’était vraiment pas fin. Et là, monsieur « réglo » se barre. Je
déteste la mort, la violence, tout ça. Je veux dire, des coups de feu, des
morts, des meurtres et tout ça j’en ai tellement vu que je trouve ça bête,
inutile – mais s’il y a un truc que je ne ferai plus jamais, c’est de laisser
quelqu’un en plan. Je l’ai fait. autrefois parce que maman m’a forcée. Parce
qu’elle s’est sacrifiée pour me permettre de vivre, cette nuit là. Mais John
était seul contre ces types. Et son pote qui avait des flingues s’est carapaté
comme un gros lâche. Je ne pouvais pas le laisser sans rien faire.


Bref, j’ai quand même sorti
Norman de la fournaise (mes petits cocktails Molotov faisaient de l’effet),
emmené JHED dans la voiture, viré Brown de là et attendu que John arrive. Il
était blessé, en plus. On a roulé, puis trouvé un coin tranquille – nous avons
pu échanger différents points de vue sur la chose… pas Norman, mais l’utilité
de tuer ces hommes. C’est le côté « négocions avec les SS » qui m’a
convaincue.


Puis après l’épisode « je
crache un serpent » de Norman, nous l’avons emmené chez ce type bizarre,
David Calver qui sait tant de choses sur nous (y compris des truc qui ne me
sont as arrivés, mai le mot « camp » suffit, moi mon gars c’était du
simple transit)… et semble de notre côté. On lui a laissé Norman – je ne lui
fais pas confiance mais « faute de grive… »


Dès que j’aurai pris un peu de
repos, je proposerai à John de sortir pour aller marcher.

Intitulé du scénario à venir:

Patates Chaudes (ou: "l'art de consommer ses ennemis")

Au menu: quelques révélations et de nouvelles pistes... froides ou brûlantes, vous verrez bien !

en français dans le texte ou "hot patatoes " ?

[quote="pandore"]

Citation :

en français dans le texte ou "hot patatoes " ?

c'était moi là

Info on the rock

Les investigations de Doyle (Spencer and Pool)

Spoiler:

Concernant Max Spender...

Un type du genre "je veux tout, là, maintenant", et qui s'est bien planté. Le HHPD a vite fait de l'oublier: un dossier de plus dans les tiroirs du Cpt Thomas Larsen Jr. Depuis Max vivote d'expédients et de petits boulots, dont certains sont douteux (racket ? Extorsion? Des habitudes qu'on ne perd pas, donc...)
De nouvelles accointances, aucune trace. Toujours est-il que si le HHPD a fait un trait sur ce triste bonhomme, certains de ses anciens collègues l'ont encore à la bonne; après tout, qui irait cracher sur une bouteille de bon vieux bourbon à l'oeil ?

Concernant Max spender, léger oubli: il a eu une brève aventure pénitentiaire... en qualité de maton à Santa Esperenza ! Apparemment cela ne lui a pas très bien réussi (puisqu'il s'est fait virer)

On ne lui connait ni femme, ni famille...

Oki merci. Pour les deux retours d'info, qui sont sommes toute assez généralistes, cela veut dire que c'est un débutou une impasse sans suite ?

Un début !

Tout s'enchaine très vite.
notre affaire en cours avec l'artiste Norman elle piétine un peu. Ce qui est sûr maintenant c'est que les 9 (des puissants de la ville lié aux finances et à l'occulte) son de mèche dans cette histoire. On a pu apprendre que le pauvre homme a été sorti une fois de sa prison psychiatrique pour être emmené à la prison de la ville, pour un rituel que je qualifierai de sataniste si il n'y avait pas eu le Jour des Cendres. Mais en fait, on dira occulte ou démoniaque. Les pistes ne vont pas bien loin, toujours des petits bouts de ficelle, toujours juste de quoi éviter de trop ronger son frein, comme ce Possédé qui nous suivait, qui voulait nous trouver avant que la psychopathe de service maintenant centenaire nous retoruve. Un truc étrange. Et avec toutes ces histoires, Esther et moi nous trouvons au milieu. On vit, on survit au milieu de tout ça. Je ne sais comment cette fille à de quoi encaisser, son passé peut être, ou autre chose je n'en sait rien. C'est une femme indépendante, trop aux yeux de l a société, une de ces femmes qui pourrait fumer dans la rue et qui ne porte quasiment que des pantalons. Nous sommes liés, comme des morceaux du même puzzle. je ne sais pas ou ça nous mènera, surtout qu'on vient de se retrouver alors que j'étais aux archives d'un journal et elle dans la prison. Une sorte de pont, une sorte de passage vers A coté. Un monde pourri avec des trucs pourri qui nous tombe dessus, peut être qu'on a poussé trop loin nos investigations.

la situation était assez cauchemardesque. Des sous sols du journal je me suis retrouvé dans un couloir infâme et froid avec des créatures ...étranges. Puis d'un seul coup je fus projeté dans la prison de la ville, juste à coté dEsther. Deuxième pas dans le cauchemars de ce monde parallèle ou la prison n'est que la métaphore d'un horrible labyrinthesque...


to be continued.