Demon: The Fallen (Interdit aux moins de 16 ans)

Lu, bien mais un peu bordélique parfois!!!

pandore a écrit:

Lu, bien mais un peu bordélique parfois!!!

J'plaide coupable

et le questionnaire

Boîte mail

y'a pas de quoi se la jouer non plus, depuis 8h47 de mon message a 9h54 le tiens c'est plus que largement pour le faire

Questionnaire William ( perso fab)


1. Nom, prénom, profession ! William FURBANKS (conseillé en droit et enquête juridique)

2. Y a-t-il quelque chose dans votre métier que vous appréciez ou détestiez ? Pourquoi ? J’apprécie : le coté casse tête de certaines enquête, car ça me rappel ma vie de flic. J’apprécie gagné cet argent, ce gros argent pour en faire ce que je veux dont aider des quartiers. Je déteste devoir tirer sur quelqu’un, devoir courir derrière quelqu’un qui vous prend pour une flic…j’ai plus l’age de ces conneries.

3. Quels sont vos hobbies ? Qu’est-ce qui les motive ? J’aime bien me faire une petite partie de poker de temps en temps, pour le fun pas pour le fric. J’aime bien un p’tit whisky et cigarillo cubain devant un bon polar des années 60 en noir et blanc ou un match de boxe. Un hobbi n’a pas besoin d’être motivé, c’est juste un p’tit plaisir de la vie

4. Qu’aimez-vous, que détestez-vous ? Pourquoi ? J’aime vivre. J’aime la liberté l’évasion la solitude, les casse têtes….. Je déteste me faire piéger, les fêtes et cadeaux surprises, qu’on ne me laisse pas vivre. Pourquoi ? Simplement parce que c’est moi, je suis comme ça et ça fait pus de cinquante ans que ça dure donc n’espérez pas me changer.

5. L’injustice vous révolte-t-elle ? L’injustice fait partie de ce bas monde. Les gens sont en général assez pourris, la justice n’est qu’une tentative pour mettre tout le monde sur le même pied d’égalité et vivre en paix. Or on a quoi, des guerres partout, des Blacks, des Blancs, des Femmes et des Hommes, rien d’égal en fait.

6. Vous êtes-vous déjà senti abandonné ? Si oui, était-ce justifié et comment avez-vous réagi ? Abandonné ? oui, quand vous êtes tous seul, drogué de nature et que vous n’avez plus rien a vous mettre dans les veines ou dans le nez, vous êtes super abandonnés. Et c’était justifié, tout a fait. Je me droguais j’étais con. Voila ce qu’est l’abandon, c’est moi qui ai abandonné le monde par lacheté et facilité de la cam’. Oui bon je ne suis pas essentiel au monde, je vous l’accorde, néanmoins j’y ai ma place comme beaucoup de personnes.

7. Que vous inspire l’état du monde ? Qu’en pensez-vous ? Hahaha. C’est de la merde. On vous parle simplement pognon et guerre quand on vous parle du monde. Apres il est comme ça et on va pas le changer maintenant hein ? C’est un peu de la faute a tout le monde si on en est là alors…vaille que vaille.

8. Comment vous idéalisez-vous ? Pourquoi ? M’idéalisez ? moi ? nan mais vous avez vu ça ou vous. Un idéal est une perfection, or personne n’est parfait. Et moi si on devait faire une liste des gens proche de la perfection je ne serai sûrement pas dans les premiers alors pas la peine de m’imaginer dans une espèce de perfection. Nan merci sans moi.

9. La nuit, seul(e), vers qui ou quoi se tournent vos pensées ? Plus ou moins la télé. Après ça dépend des soirs, ça peu aussi être une de mes ex, une enquête en cours, un pti soucis de la journée. Question bizarre vous savez, j’suis un mec comme les autres.

10. Quelle est votre pire crainte ? C’est une question difficile qui apporte moult réponse. Ca peurt aller de replonger dans la drogue a plein d’autres choses…je crois qu’on s’en aperçoit que quand on y fait face.

11. … et votre plus grande joie ? Euh je ne sais pas boucler une affaire qui apporte des réponses a des victimes ou proches de victimes… ou alors mon dernier jouet, ma harley davidson.

12. Vous sentez-vous l’âme d’un leader, ou d’un messager ? Si oui, comment et pourquoi ? Ni l’un ni l’autre.Je bosse pour des gens simplement , je usis dans la masse.

13. Quelle est votre définition (en trois mots maxima) de Dieu ? Puissant. Absent. Médiatisé.

14. Avez-vous l’âme d’un artiste, ou aimez-vous en inspirer ? Pourquoi ? euh non. Une tite musique sympa des fois le soir mais sans plus. Après si résoudre des enquêtes est un art, oui mais je ne crois pas.

15. Aimez-vous le genre humain ? Pourquoi ? Bah oui, j’en fais parti alors, évidemment il a des tas de défaut l’humain mais bon c’est pas en crachant dessus qu’on l’améliorera alors….

16. Quel est votre rapport à la Nature (dans tout ce que cette dernière comporte) ? Pourquoi ? La nature ???? Je la côtoie rarement. Sauf qu’en je me fais des petits week- end pêche. La oui on sort de la grande ville et hop un coin tranquille pour poser ses fesses dans l’herbe et passer un bon moment tranquillou. La nature c’est ça, c’est même quand il y a du bruit de branche d’arbre ou d’animaux ou autre vous trouvez ça silencieux et calme.

17. Que vous inspire le fanatisme (de tout poil) ? C’est crétin. Apres ce que j’ai pu voir dans ma vie ou ma carrière je pense que ça fait parti de la catégorie champion de la crétinerie. Franchement ça sert a quoi ? A rien a mon avis mais bon, je suppose que pour endoctriner des gens dans un système d’argent et de guerre c’est nécessaire de faire quelques fanatiques.

18. La Vérité vous importe-t-elle ? Si oui, pourquoi et comment tentez-vous de vous en rapprocher ? Il n’y a pas de Vérité…. Non il y a des vérités. Et ça c’est ce qui est génial. Vous en avez une, et il vous en manque toujours d’autres ou des morceaux. La vérité, les vérités c’est un peu ce qui me fait courir dans la vie ; Enfin lentement parce que j’ai passé l’âge de ces conneries maintenant. Vous connaissez La Fontaine ? Rien ne sert a courir ce genre de truc …bah voila vous y êtes.

19. Comment vous considérez-vous réellement ? Pourquoi ? Un courbe d’oscilloscope. J’ai eu des bas des hauts des bas des hauts. Ma vie a été assez chaotique. Je ne suis pas un looser, je ne suis pas un winner. Je pense être simplement un battant, un survivor.

20. Bâtir et édifier, mettre à jour des concepts nouveaux vous enivre-t-il ? Si oui, comment mettez-vous à profit cette envie ? Des concept nouveaux ? non je ne suis pas de ce genre là. J’ai de bonnes vieilles roots. Concept de recycler des lieux insalubres en gymnase pour les jeunes…. C’est pas nouveau, mais c’est motivant même si ça ne vie que 5 ou 10 ans avant de redevenir insalubre.

21. Que pensez-vous de votre enfance ? Pourriez-vous la décrire ? Plutôt bien compte tenu que je me suis sorti de ce trou ; Même si je n’ai pas pu faire ce que je voulais vraiment dés le début c’est plutôt bien. Mes parents étaient des gens bien, ils m’aimaient, que dire de plus… l’époque n’était pas des plus glorieuses mais il y en a eu des pires.

22. Vous sentez-vous un vaillant protecteur, dans cette ville où c’est chacun pour soi ? Pourquoi et comment ? Je ne suis pas superman. J’ai quitté la police et le crime n’a pas augmenté pour autant. Je contribue a ce que des gens vivent un peu mieux a ma façon. C’est tout. Je fait partie des fourmi de cette grosse pommes. Ni plus ni moins. Et puis cherchez les super héros black… Il n’y en a pas des masses. Iron man nouvelle version peut être ?

23. Décrivez votre adolescence ; qu’en pensez-vous, avec du recul ? (c’est déjà assez bien résumé dans l’historique non ?)

24. Pensez-vous que la Mort appartienne au processus de la Vie ? Y avez-vous déjà songé ? Si oui sous quel angle : spirituel, métaphysique ou scientifique ? La mort ? Je n’ai rien a dire sur elle. Elle m’a épargnée un temps, il faudra bien qu’elle me cueille. C’est une question d’années ou de mois. Bien sur, comme tout le monde j’ai peur de la mort. Mais que voulez vous. Je n’ai pas si mal vécu alors … si elle vient ce n’est pas si grave.

25. Que vous inspire la misère ? Pourquoi ? J’ai été élevé dans la misère ; C’est un état de fait la misère. On vous dit ici au USA vous avez tous la chance de devenir riche…Je pense qu’une bonne partie des gens ont cette chance mais pas tous c’est pas vrai. Plus maintenant. La ruée vers l’or est finie les gars. Les mines sont toute prises….J’ai passé mes 50 piges et c’est maintenant que ça commence a entrer….La misère est une des seules maladie dont tout le monde peut offrir le remède mais que personne ne voit autrement qu’une peste qu’il ne faut pas toucher.

26. Qu’est-ce que vous ne supportez absolument pas ? Les lâches. Ceux qui n’assument pas ; « Oui mais en même temps vous comprenez …non ». C’est oui ou non, pas les deux. Disons que la lâcheté est un truc vraiment nul, je me demande pourquoi elle ne fait pas partie des péchés capitaux…

27. Quel est votre souvenir le plus marquant ? Il n’y en a pas qu’un. Entre un cadavre gonflés et bouffé par les vers enrober de larves de mouche ou mmon premier mariage…..et encore ce ne sont que des exemples alors.

28. Que vous inspire les Religions et les dogmes ? C’est un bon moyen de ne pas chuter trop bas quand on ne va pas bien.

29. Tendez-vous la main à votre prochain ? Si oui, de quelle façon : mandale ou secours ? Ca dépend des genres ça dépend des jours. J’ai une bonne droite vous savez mais on apprend plus et on gagne plus a aider son prochain qu’a lui en coller une vous savez….donc ça dépend.

30. Quelques secondes avant l’apocalypse, que seraient vos derniers mots, hormis « et merde » ? Tout a une fin.

et voila

Questionnaire

Plus précises seront vos réponses (et pas forcément expansives), mieux je pourrai répondre à vos attentes.
N’hésitez pas à séparer les réponses personnage / joueur, si il y a besoin de commentaire ou d’éclaircissement.

1.Nom, prénom, profession !
Mellianda O Hara, psychanalyste
2.Y a-t-il quelque chose dans votre métier que vous appréciez ou détestiez ? Pourquoi ?
Il y a énormément de chose que j'apprécie dans mon métier – sinon, eh bien je crois que je ferais autre chose, prof à l'université par exemple. Aider les autres, êtrer à l'écoute, sentir que des choses enfouies se dénouent peu à peu... Voilà ce que j'aime
Ce que je n'apprécie pas du tout, en revanche, ce sont les à côtés, les préjugés qu'ont les autres sur ma profession, qui vont de « manipulatrice psychopathe à la Basic Instinct » à « aranqueuse » ou « compliquée » ... sans compter les gens qui prennent rendez-vous juste parce qu'ils opnt besoin de justifier le vide de leur existence.
3.Quels sont vos hobbies ? Qu’est-ce qui les motive ?
Cinés, musées, DVD et cuisine. Le footing et le self defense, ce ne sont pas des hobbies mais une nécessité.
Qu'est-ce qui motive un hobby ? Le plaisir qu'on y prend en général, qu'il s'agisse de s'aérer l'esprit, de découvrir des choses nouvelles ou simplement de créer des saveurs. Reproduire des saveurs, peut-être plus, d'ailleurs.
4.Qu’aimez-vous, que détestez-vous ? Pourquoi ?
J'aime la polenta au gorgonzola, le tiramisu et le mascarpone, les soirées pyjama et les vieux films, les séries géniales (HBO) et les séries débiles (Charmed), les voyages en Europe – Rome et Florence en particulier, Paris et Berlin, aussi, j'aime le blues, le gospel et le jazz, lire
un bon gros pavé blottie dans mon rocking chair, qu'il s'agisse de Jane Austen, de William Byer ou de Virginia Woolf...
Il n'y a pas vraiment de raison au « pourquoi », ou s'il y en a, elles sont enfouies en moi et font partie de moi, de ma personnalité tout simplement
Ce que je déteste ? « Ah... d'accord » quand je révèle ma profession, l'espace là – les trois petits points qui veulent tout dire... Les soirées « gros sabots » où on invite comme par hasard le célibataire endurci du moment avec un « je suis sûr(e) que vous allez vous entendre » , alors que ni le célibataire en question, ni moi n'avons envie de rencontrer qui que ce soit, les gens qui s'incrustent... Les gens qui s'énervent au volant aussi. Et la pseudo fierté irlandaise.
Et ça, c'est lié à mon enfance.
5.L’injustice vous révolte-t-elle ?
Elle m'attriste, j'ai un peu passé l'âge de la révolte.
6.Vous êtes-vous déjà senti abandonné ? Si oui, était-ce justifié et comment avez-vous réagi ?
Quand mes parents m'ont mise dans cette institution catholique, qu'ils sont pzssés du laxisme absolu au conservatisme bon ton au niveau de mon éducation, je crois que je me suis sentie très seule. A mon entrée au collège, je voulais devenir une sorte de Basquiat indiana Jones bizarre (une amie de mes parents, Cynthia, que je trouvais très belle et très gentille, était une artiste itinérante, qui allait faire des installations en pleine nature et n'importe où – elle est morte d'une overdose (je l'ai appris plus tard) et c'est probablement ce qui a motivé mes parents àç changer... Donc, à mon entrée au collège, je me sentais très seule et malheureuse, incomprise aussi – et c'était sans doute de mon point de vue de pré-ado justifié à l'époque. Ca m'est vite passé.
Sinon, peut-être une ou deux fois, avant que j'apprenne à mettre un terme à mes relations amoureuses dès que cela commence à dégénérer
Etre psy, ça permet de relativiser pas mal de choses, et de relativiser les mots « abandon », « trop injuste » en termes « d'auto-apitoiement inutile »
7.Que vous inspire l’état du monde ? Qu’en pensez-vous ?
Le monde est en proie au chaos, les gouvernements sont corrompus, l'Amérique perd les rares valeurs qu'elle avait su faire sienne pour devenir la dictature des riches et des puritains, les gens ont de plus en plus de mal à vivre, à réfléchir également.
Je pense que j'ai de la chance de faire partie de ceux qui n'ont ni problèmes de travail, ni problème de santé (impayable) ou autre, et qu'à ce titre il normal que j'essaie d'aider les autres. Pas par des consultations gratuite, à mon cabinet. Mais en me rendant une fois par mois à l'hôpital du quartier pour écouter des gens en ifficulté, et en faisant des dons réguliers à des associations.
8.Comment vous idéalisez-vous ? Pourquoi ?
L'idéal du moi... Vaste sujet – au regard de ma profession je dirai que d'un point de vue Jungien, je m'idéalise dans l'archétype de la Mère/Marie, dans la mesure où j'aime à penser que j'aide et réconforte les autres, ce genre de choses...
D'un point de vue freudien, j'imagine que cela correspond plus à un mélange entre ma mère (la cuisine ? ) et cette fameuse Cynthia. Et de là, n peut rapidement déduire certaines chose – vraies ou fausses... Comme l'absence de famlille (Cynthia) et le métier d'analyste (maternité)...
9.La nuit, seul(e), vers qui ou quoi se tournent vos pensées ?
Quand je n'arrive pas à dormir à cause de mes patients, je prends un somnifère. Sinon, je fais partie de ces personnes qui le soir venu – passé trois heures du matin – s'écroulent sur leur lit dans un sommeil sans rêves.
10.Quelle est votre pire crainte ?
Mourir d'un cancer. Ou d'une maladie de ce genre, branchée de partout dans un hôpital avec les sourires attristés des médecins et le désespoir de mes proches. Et personne pour m'aider à mettre un terme à cela.
Et perdre un autre patient.
11.… et votre plus grande joie ?
La joie, c'est plein de petits moment, n'importe quand, n'importe où, qui ne peuvent se quantifier mais se ressentent quotidiennement
12.Vous sentez-vous l’âme d’un leader, ou d’un messager ? Si oui, comment et pourquoi ?
Je suis « l'ouvreur des chemins », je me contente d'indiquer les voies possibles, je ne guide pas et je n'influence pas. Quant aux messages, c'est à mes patients de le trouver en eux-mêmes
13.Quelle est votre définition (en trois mots maxima) de Dieu ?
Est et Non
14.Avez-vous l’âme d’un artiste, ou aimez-vous en inspirer ? Pourquoi ?
Pas particulièrement – j'adore faire la cuisine et inspirer du plaisir à ceux qui mangent mes plats, j'adore aller voir des expos, etc. Je ne suis ni une muse, ni une artiste - et ni frustrée de ne pas l'être, rassurez vous – mais plutôt un mécène (si je devais me placer dans une catégorie liée à l'art). Je me contente en général, cependant, d'être spectateur ou auditeur attentif
15.Aimez-vous le genre humain ? Pourquoi ?
Oui, sinon je n'aurai pas choisi ce métier!!!
C'est Occam qui disait « l'homme est une singularité incommunicable », et je crois qu'il a raison, l'humanité est un infini pluriel et c'est ce qui fait sa richesse. Elle est peut-être capable du pire, mais elle est aussi capable du meilleur... En fait, si je devais être plus exacte, je dirai que j'aime la plupart des singulartités incommunicables qui forment l'espèce dite humaine
16.Quel est votre rapport à la Nature (dans tout ce que cette dernière comporte) ? Pourquoi ?
Je crois qu'il faut faire tout ce qui est en notre pouvoir pour la conserver, parce que c'est le « poumon » de la terre, après pour être franche je suis plutôt citadine, moi...
17.Que vous inspire le fanatisme (de tout poil) ?
De la pitié
18.La Vérité vous importe-t-elle ? Si oui, pourquoi et comment tentez-vous de vous en rapprocher ?
Qui parle de LA Vérité est un croaynant qui fait acte de foi.
Je ne suis pas croyante. Je pense plutôt qu'il existe des vérités, je parle ici de vérités existentielles et constituives de chaque être humain. Et des « règles » morales, qui doivent être suivies mais ne constituent pas une ou la vérité.
19.Comment vous considérez-vous réellement ? Pourquoi ?
Je ne peux pas me considérer réellement – dans la mesure ou je sais que je suis en perpétuel devenir. Pour me considérer réellement, il faudrait que je ne sois pas moi-même, ou plus moi-même, ce qui me permettrait d'émettre un jugement figé daqns le temps.
20.Bâtir et édifier, mettre à jour des concepts nouveaux vous enivre-t-il ? Si oui, comment mettez-vous à profit cette envie ?
Je ne suis pas atteinte du syndrôme « nouveau nouveau nouveau », ni fashion addict, ni pareticulièrement architecte dans l'âme. Si on peut parler de « convcepts nouveau' » ce serait en cuisine, mais là encore, ce n'est pas cela qui m'amuse le plus.
21.Que pensez-vous de votre enfance ? Pourriez-vous la décrire ?
cf. historique pour la desciption.
Une enfance en deux temps, très ancrée dans son temps justement, et plutôt heureuse. Etant fille unique (une rareté dans une famille itoalo irlandaise, non ?), j'ai pu bénéficier de toute l'attention de mes parents, j'ai eu un Oedipe normal et je crois n'avoir subi d'autre traumatisme grave que le passage chez mes cousins en Irlande – catholiques, fermiers (allez, viens tuer le lapin...) et un « accident de chasse » (règlement de compte) qui a coûté une jambe à Erwan, mon cousin.
22.Vous sentez-vous un vaillant protecteur, dans cette ville où c’est chacun pour soi ? Pourquoi et comment ?
Je fais ce que je peux dans la mesure de mes modestes moyens, je ne suis ni Mère Theresa, ni l'Abbé Pierre. Et je ne suis pas une super héroïne. Je donne régulièrement de l'argent aux sans abri de Brooklyn, j'aide les petites vieilles à traverser et je réponds résente aux collectes de vieux vêtements. Mais je fais ça parce que c'est normal. Point.
23.Décrivez votre adolescence ; qu’en pensez-vous, avec du recul ?
Un début chaotique parce que « changement de cap », mais qui finalement m'a permis d'avoir une adolescence très équilibrée, avec le passage « rebellion contre l'autrité », le passage « premier amour » et l'indispensable « prof dont je suis tombée amoureuse » ... Normal, quoi.
24.Pensez-vous que la Mort appartienne au processus de la Vie ? Y avez-vous déjà songé ? Si oui sous quel angle : spirituel, métaphysique ou scientifique ?
L'homme naît, vit, meurt, c'est une créature vivante qui comme toute créature vivante subit le processus de génération et de corruption.
La mort est le terme normal de la vie, ce n'est pas pour autant que l'on peut rationnellement l'accepter. J'ai peur, comme je l'ai déjà indiqué de mourir de maladie – l'agonie me fait plus peur que la mort – et j'ai peur de perdre ceux que j'aime – mort de l'autre.
Quant à savoir s'il y a quelquer chose après ? Aucune idée
25.Que vous inspire la misère ? Pourquoi ?
De la colère, parce que c'est la manifestation même de l'injustice et de la bêtise humaine. De la résignation, parce que je ne suis pas sûre que les milliers de gouttes d'eau données par les « bonnes âmes » qui luttent contre cela puissent faire grand chose face à la voracité des puissants
26.Qu’est-ce que vous ne supportez absolument pas ?
L'auto-apitoiement.
Le mensonge par lâcheté.
27.Quel est votre souvenir le plus marquant ?
Mon premier entretien avec mon premier patient, je crois. J'avais les mains qui tremblaient et je transpirais abominablement : je m'étais mise dos au ventilateur pour ne pas que cela se voit et que cela se sente, résultat, j'ai attrappé un rhume.
Ce n'est peut-être pas le plus marquant, mais c'est celui qui là maintenant me vient à l'esprit.
28.Que vous inspire les Religions et les dogmes ?
De la curiosité scientifique.
Et un certain agacement
29.Tendez-vous la main à votre prochain ? Si oui, de quelle façon : mandale ou secours ?
Tout dépend : certaines personnes ont besoin qu'on les relèvent, d'autres pour se relever d'un bon coup de pied aux fesses. Je parle de ça en dehors de mon métier bien sûr.
30.Quelques secondes avant l’apocalypse, que seraient vos derniers mots, hormis « et merde » ?Au moins, ce sera rapide

Merci beaucoup!
Me voilà armé pour décider d'une trame pour votre avenir

Love'my play'rs !! :lgift:

Lacenaire a écrit:

Merci beaucoup!
Me voilà armé pour décider d'une trame pour votre avenir

Love'my play'rs !! :lgift:

des news de raph ?

No. Mais je dois lui faire parvenir moult textes pour samedi, donc...

Appel immédiat, Manhattan, je répète : appel d’urgence en provenance de Manh…

Outre les hurlements des automatiques, ce qui dérange le plus les cieux sont les cris. Passants sous le feu, lambdas frappés par l’averse de plomb.
La journée commençait pourtant sous les meilleures auspices : trafic moins dense qu’à l’accoutumée, temps légèrement pluvieux, pollution modérée. Comme par enchantement les rues semblaient vivables, la masse habituelle de passants s’étiolant à vue d’œil. Une aube à siffler de joie, dans les métros ou dans la rue. Seulement voilà, aux abords d’une place fréquentée, entre un pizzaïolo affairé et un prédicateur en grande forme, des regards se croisèrent. D’un côté de grands Noirs bardés de tatouages religieux, de l’autre des mafieux qui gardent sur eux, près du cœur, une bible de poche reliée cuir. Tout les séparait, mais rien ne les prédestinait à faire feu de tout poil. Comme ça, sans échange d’insulte, sans offense. Les flics en restèrent cois : personne n’avait senti le vent tourner. Lorsqu’ils comptabiliseront les dépouilles, alors que la poudre sera retombée, ils seront surpris ; cet individu aux cheveux blancs, complet noir, manteau long, ne figurera point sur les registres. Ni d’un côté ni de l’autre. C’est lui, pourtant, qui s’avança le premier, tout en farfouillant dans sa poche. Sous l’œil haineux des Noirs il exhiba un neuf millimètres et un sourire à réfrigérer les Enfers, selon les témoins.
Alors, seulement, on put parler de fusillade.
De toute part, sans discontinuer, les plombs fusèrent, chauffés à blanc. Voilà de quoi surprendre les forces de l’ordre : aux premières loges, cible toute désignée, l’anonyme en complet manquait à l’appel – aucun cadavre ne correspondrait à sa description. Même parmi ceux en morceaux, que dalle. L’échange dura pourtant bien ses cinq minutes, car aucun des belligérants ne prit le temps de se mettre à couvert. Ils préférèrent se jeter sur leurs adversaires d’un quart d’heure. Laisser les douilles déchirer leurs entrailles, répandre en brume rouge leurs organes. LSD ou crack n’explique pas tel geste, encore moins PCP ou amphétamines. D’un côté Uzi, de l’autre Beretta, mais aucun survivant, juste des fuyards, de la viande froide et deux disparus – dont le mystérieux mafieux. Il a quitté les lieux du massacre sans qu’aucun témoin n’en prenne note. Tranquillement. Sa collègue a fait de même, elle qui se tenait au milieu de ses troupes. De peau aussi sombre que la leur, banale à en mourir. Débardeur blanc et cheveux crépus, elle exhiba un Tech-9 qui crachait plus de balles qu’il n’était possible pour un chargeur normal. Tous deux se sont évanouis dans la nature ; loin des yeux loin du cœur. Il a été convenu qu’une maladresse ait donné naissance à ce triste évènement, ainsi qu’à ses répliques. Quoiqu’on en dise, la Police a bien fait son travail. Elle a bouclé des périmètres, fouillé des gens. Et pourtant d’autres fusillades ont éclaté, ces derniers temps, à Manhattan. A l’ombre des Twin Towers. Toujours des mafieux versus des gangstas Noirs. Comme si l’asphalte appelait la conquête. Quelque part, au-delà de ce que vomissaient les ondes hertziennes, voilà une vérité : le bitume en valait la peine. Loin des attentions mortelles, au-delà des recoupements policiers, l’évidence sue à grosse goutte.
– La coïncidence est de trop, susurre une voix démoniaque, à l’adresse de ténèbres plus épaisses que sa malveillance. Il ne peut y avoir tel hasard de toute la Création !
Et les ombres de répondre, chuintement presque inaudible :
– Et si le Créateur l’avait voulu ?
Au plus profond d’une Eglise désaffectée, entre les nids de cafards et le home de blattes. La première voix se racornit, malheureuse et desséchée :
– …alors les voilà retrouvés, couine-t-elle. Nos archanges, nos Sceaux de la Destruction…
– L’apocalypse incarnée, s’exaspère son supérieur.
– … à portée de main…
– Et interdiction formelle d’intervenir, reprend la première voix. Laissons aux prophéties le droit de se fourvoyer seules. Laissons aux mortels le temps des évidences et des contemplations.
– … ainsi qu’aux nôtres l’heure de la rédemption, ajoute le vassal.

c'est le genre de texte qui tue tout ou presque
:P (merci de lire ma nullerie avec jeux de mot)

fablyrr a écrit:

c'est le genre de texte qui tue tout ou presque
:P (merci de lire ma nullerie avec jeux de mot)

Argh L'Oeil de sauron a peut-être beaucoup d'humour, mais encore beaucoup de travail...

oups, j'avais même pas réalisé que c'était l'oeil de sauron

pas mal ton texte!!!

... "sur le pouce", un de plus! Mâââârci

moi aussi je peux faire le faux modeste ou le "je sais m'écrire sur le pouce" :P
ok je sors

Toujours est-il qu'enfin j'ai décidé de certaines choses vous concernant, mes agneaux

Des choix vont très vite s'imposer à vous...

euh d'accord..."beurre ou ordianire" :P

Cahouète ou noix de cajou, mmmmh?

Lacenaire a écrit:

Cahouète ou noix de cajou, mmmmh?

noix de cajou
:darkviol:

le questionnaire du 3eme joueur

Questionnaire

Plus précises seront vos réponses (et pas forcément expansives), mieux je pourrai répondre à vos attentes.
N’hésitez pas à séparer les réponses personnage / joueur, si il y a besoin de commentaire ou d’éclaircissement.

1.Nom, prénom, profession !
Ted Bump, clochard

2.Y a-t-il quelque chose dans votre métier que vous appréciez ou détestiez ? Pourquoi ?
J'aime la liberté, ne pas avoir d'attache particulière, et être en dehors de ce système. En revanche, je déteste avoir froid, avoir faim, le regard condescendant et bête des gens dit «  honnêtes »

3.Quels sont vos hobbies ? Qu’est-ce qui les motive ?
Pas de hobbies, j'essaie de survivre avant tout.

4.Qu’aimez-vous, que détestez-vous ? Pourquoi ?
J'aime avant tout la bonne chaire, quel réveil un appétit ventral ou plus bas ; ces deux appétits sans la vie. Il est évident que je déteste avant toute chose cette forme de notre société qui vise à contrôler tous et à ne pas laisser les gens vivre leur vie comme ils l'entendent ; deux jours, être quelqu'un qui n'a pas d'attache, c'était très clochard, alors quatre clochard, n'est pas être obligatoire quelqu'un sans attache.

5.L’injustice vous révolte-t-elle ?
Je vis de dedans. Évidemment, elle me révolte. Mais étant un clochard à New York, sachant que je reste tout de même à vivre, je me dis qu'il y a des injustices dans le monde plus grandes les miennes, des pays où des gens travaillent et gagnent moins que moi en une journée de mendicité.

6.Vous êtes-vous déjà senti abandonné ? Si oui, était-ce justifié et comment avez-vous réagi ?
Ma situation me laisse abandonné par une société, mais pas abandonné d'occasionnels amis, et être abandonné, c'est se sentir seul ; or moi même seul, je ne me sens pas délaissé.

7.Que vous inspire l’état du monde ? Qu’en pensez-vous ?
Rien, si ce n'est que le monde cherche a trop contrôler les gens qui vivent dedans, et a tué l'aventure ; qu'une poignée de pourris dirige habilement son petit troupeau à lui ramener chaque jour un peu plus d'argent.

8.Comment vous idéalisez-vous ? Pourquoi ?

9.La nuit, seul(e), vers qui ou quoi se tournent vos pensées ?
Lorsque j'ai peur, que j'ai froid, que j'ai faim, mes pensées ne tournent pas. Elles sont face à ces faits accomplis. En dehors de ça, il m’arrive de me demander ce qui serait advenu de moi si j'avais réussi à mener à bien la société : celle qui m'a ruiné, et celle dans laquelle je vis.

10.Quelle est votre pire crainte ?
L'homme est sa bêtise.

11.… et votre plus grande joie ?
La bonne chaire.

12.Vous sentez-vous l’âme d’un leader, ou d’un messager ? Si oui, comment et pourquoi ?
Mes quelques amis clochards me disent parfois que ma façon pensée est étrange, que mon acceptation de la situation relève parfois de la bêtise. Pourtant, ils voient en moi une forme de leader, non pas quelqu'un qui va les mener à une bataille éventuelle, mais plutôt quelqu'un qui les aide à comprendre et à accepter leur situation.

13.Quelle est votre définition (en trois mots maxima) de Dieu ?
Regarde un peu...

14.Avez-vous l’âme d’un artiste, ou aimez-vous en inspirer ? Pourquoi ?
Non.

15.Aimez-vous le genre humain ? Pourquoi ?
Oui, l'humour et l'art sont des choses merveilleuses. Mais la bêtise, la violence, l'ignorance, sont les cancers de l'être humain, avec lesquels il doit lutter chaque jour.

16.Quel est votre rapport à la Nature (dans tout ce que cette dernière comporte) ? Pourquoi ?
Là-dessus, je flotte entre deux eaux. La domination de l'homme sur la nature est quelque chose de normal. Le fait que les hommes polluent me réchauffe, et parfois me permet de manger, pourtant de détruire la planète me révolte ; si je pouvais aller et venir d'un pays à l'autre sans avoir à présenter un visa, un passeport, et que je pouvais prendre un bateau pour me balader à travers toutes les mers, marcher à travers tous les paysages, je n'aimerai pas tomber sur un papier McDonald en foulant une terre que je croyais encore vierge.

17.Que vous inspire le fanatisme (de tout poil) ?
Quelle perte de temps et d'énergie.

18.La Vérité vous importe-t-elle ? Si oui, pourquoi et comment tentez-vous de vous en rapprocher ?
Pas vraiment...

19.Comment vous considérez-vous réellement ? Pourquoi ?
Je me considère comme un philosophe de mauvaise fortune : je prends les choses avec philosophie ; pourtant je connais très bien ma situation, et je sais très bien qu'un jour je l’échangerais volontiers contre une place dans une maison douillette. Je n'oublie pas que je suis un clochard, je n'oublie pas le froid, l'indifférence, la non reconnaissance auprès de mes semblables, et parfois la solitude de la chair.

20.Bâtir et édifier, mettre à jour des concepts nouveaux vous enivre-t-il ? Si oui, comment mettez-vous à profit cette envie ?
S'il est bien une idée qui me trotte en tête, c'est de créer un document universel, un document qui permettrait à n'importe qui de voyager librement sur cette planète. Les frontières sont une bêtise que l'histoire de l'homme a construite, et qu'il serait temps d'abolir. La terre n'appartient pas à un peuple, la terre appartient au monde. Même si chaque contrée doit être dirigée par quelqu'un, que l'on arrête d'empêcher les gens d'aller et venir librement serait un grand pas pour l'homme. Rendre l'homme un peu plus libre face à des dirigeants un peu trop peureux ; voilà une idée qui me grise.

21.Que pensez-vous de votre enfance ? Pourriez-vous la décrire ?
Une enfance banale, une enfance heureuse. Fils unique, élevé par un père une mère aimante dans une petite maison de la banlieue de New York.

22.Vous sentez-vous un vaillant protecteur, dans cette ville où c’est chacun pour soi ? Pourquoi et comment ?
Chacun pour soi, même si c'est par la force des choses.

23.Décrivez votre adolescence ; qu’en pensez-vous, avec du recul ?
Élève moyen, adolescence moyenne, pas de vagues… voilà qui décrit cette période. Même la crise adolescence était moyenne.

24.Pensez-vous que la Mort appartienne au processus de la Vie ? Y avez-vous déjà songé ? Si oui sous quel angle : spirituel, métaphysique ou scientifique ?
Lorsque l'on est clochard, la mort fait partie du quotidien ; j'y pense tous les jours, et pas de gaieté de coeur. Mais l viendra un moment où je disparaîtrais, et ainsi soit-il.

25.Que vous inspire la misère ? Pourquoi ?
Une justice, mais pas une fatalité. Venant d'un homme, elle peut être dure à surmonter. Venant d'un peuple, la misère n'est pas acceptable, il suffit de se remonter les manches.

26.Qu’est-ce que vous ne supportez absolument pas ?
Moi les jours je me suis pas propre, les jours où j'ai trop froid, trop faim.

27.Quel est votre souvenir le plus marquant ?
La perte de la société.

28.Que vous inspire les Religions et les dogmes ?
Quelle perte de temps et d'énergie.

29.Tendez-vous la main à votre prochain ? Si oui, de quelle façon : mandale ou secours ?
Secours dans la mesure du possible ; du moins envers quelqu'un dans la même situation que moi.

30.Quelques secondes avant l’apocalypse, que seraient vos derniers mots, hormis « et merde » ?
Et après ?

31.Rajoutez ici la question ou les observations qui semblent vous manquer, et n’hésitez pas à les communiquer à vos petits camarades ^_^

sont petit back'
Ted Bump :
S'il y avait bien un adjectif accolé à cette personne, ce serait celui de moyen. Il n'a jamais brillé, et n'a jamais été remarqué pour sa bêtise ou son ignorance. Toute sa vie, il aura été tiède, un « vrais » gars sans histoire
À 28 ans il crée seul, son petit restaurant avec les petites économies que lui ont laissées ses parents, qui ont disparu l'un après l'autre ces dernières semaines ; l'amour les a emportés l'un après l'autre.
Il y a mis toutes ses économies et ce pécule mortuaire. Son restaurant « à la bonne chaire », c'est toute sa vie ; il espère bien faire de sa création, un endroit de convivialité, et de bonne humeur
À peine ouvert depuis quelques semaines, alors que le bouche-à-oreille commence à fonctionner et que les premiers habitués arrivent, un incendie embrase le quartier, et c'est partir en cendres son restaurant. Les créances, les dettes, ont laissé Ted sur le carreau ; au sens propre comme au sens figuré.
Deux mois après, les huissiers se saisissaient de sa maison, et Ted aussi démoralisé qu’hébété, n'eut pas le temps de se relever, et ne réussit pas à retrouver un emploi ; cherchant plus à se plaindre, et à essayer de faire revivre de ses cendres son restaurant.

Ted à maintenant 32 ans, il vit dans les rues de New York allant d’un foyer à un coin de rue sans tellement savoir où il va, ni même où il ira. De ses parents, il garde dans son portefeuille une photo d’eux deux à côté d'une carte de visite de son restaurant. Il note avec ironie que toute sa vie est partie en cendres : l'incinération de ses parents, et celle de son restaurant.

Récapitulons: un expert en droit / investigations, flic à la retraite (avec une Harley, ne l'oublions pas!). Une psychanaliste New-yorkaise, jeune, belle, et célibataire... et un SDF ancien restaurateur...

... je sens que je vais m'amuser, moa...

bah j'espere que nous aussi alors :P

Alliés et contacts de Mellianda

Fiona et Maria




Italienne, Fiona est newyorkaise comme Mellianda et elles ont été toutes deux dans le même collège, et sont pour ainsi dire "meilleures amies". Fiona est homo, et cela lui a causé pas mal de problèmes avec sa famille, assez traditionaliste - bref, un coming out qui a provoqué maints remous...
Remous qui se sont avérés raz-de-marée avec pertes et fracas plus rupture définitive avec les siens quand Fiona s'est installée avec Maria, une black ...


de dix ans son aînée de surcroit...

Maria est professeur de littérature anglo saxonne à la fac de NY, et Fiona, elle, après des études assez chaotiques (italien, puis socio, puis un an d'histoire) possède une boutique de produits pour le corps "naturels"... Elles s'adorent (et adorent mellianda) mais Fiona est d"une jalousie maladive, Maria très soupe au lait et elles ont tendance à prendre sans arrêt Melli pour arbitre (ou épancher leurs coeurs blessés...)

Betty Parker



Betty est une amie de fac, psychologue spécialisée dans la petite enfance, trois divorces, deux enfants

Lily, 11 ans

et



Sam, 9 ans

Et de nouveau un petit ami, divorcé lui aussi... Elle est adorable, mais terrorisée à l'idée d'être seule et toujours prête à vouloir que mellianda rencontre quelqu'un... sans compter une tendance "Bridget jones très prononcée (avec melli dans le rôle du journal intime...)

Contacts

Harrison Banks



C'est le psychanalyste chargé de la suivre (chaque psy est censé être syuivi par un psy)
Docteur en psychiatrie, psychanalyste, a connu Winnicott dont il a été brièvement l'élève et s'est beaucoup interressé à l'antipsychiatrie.
Un homme franc, équilibré. Qui déteste les lacaniens.

Joshua Massal



C'est le médecin en chef du service psychiatrique ou Mellianda officie régulièrement, un homme assez taciturne et très observateur, plutôt agréable à l discussion.